Les lectures de juillet 2013

J'ai fini Les Fruits du Congo de Vialatte et Les Jardins des Fruits de Saadi.
Je commence Le vieux nègre et la médaille de F Oyono.

Proust qui me donne une envie furieuse de partir en Normandie (alors que je pars pour le grand Sud cet été !!) et Hans Fallada - Seul dans Berlin. Excellent.

Bref, bonheur.

Mon seul regret : ne pas aller aux expos, faute de temps.

Constance a écrit:

Je galéjais, bien sûr, car tu es en droit de ne pas apprécier Martinet, et de l'écrire.  

Sinon, contrairement à Reilly, Jérôme ne porte pas un regard d'idéologue sur la société, ni sur la politique ni sur le système économique. Dans sa quête d'amour absolu, il demeure mystérieusement atemporel.

Je ne suis pas sûre... Reilly était un idéologue, mais un idéologue à contre-courant... Jérôme me semble du même acabit. Idéologue de ses fantasmes, même s'il peine effectivement à les cerner.
Le passage de la truite... un régal !

Aeriale a écrit:

Mmm...je vais quand même jeter un œil sur le fil alors! Tout ce qui peut rappeler de près ou de loin Ignatius me fait craquer d'avance!

N'hésite pas !

En parallèle à cette lecture, je commence doucement Humain, trop humain de Nietzsche.

tina a écrit:

Mon seul regret : ne pas aller aux expos, faute de temps.

Il y a quoi en ce moment ?

tina a écrit:

Proust qui me donne une envie furieuse de partir en Normandie (alors que je pars pour le grand Sud cet été !!)

Il faudra bien se faire un pèlerinage à Illiers-Combray et Cabourg un de ces jours. Aucun parfumé dans le coin pour une rencontre ?

The Darlings de Cristina Alger (titre français: Park avenue, traduit par Nathalie Cunnington)

 

[quote="Marko"][quote="tina"]
Il faudra bien se faire un pèlerinage à Illiers-Combray et Cabourg un de ces jours. Aucun parfumé dans le coin pour une rencontre ?[/quote]

Me rappeler d'y être absolument, il y a aussi le siège des Amis de MP ![/quote]

[quote="animal"][quote="tina"]Mon seul regret : ne pas aller aux expos, faute de temps. [/quote]
Il y a quoi en ce moment ?[/quote]

Pour les expos, j'aimerais aller à la fondation Cartier voir Ron Mueck, par exemple. Ou à l'Orangerie, les Macchiaioli.

les farpumés avaient l'air convaincus de la première... de la seconde aussi ? (en tout cas elle m'a bien plu l'expo des Macchiaioli).

Bonjour,

Je commence "1984" de George Orwell et Amélie Audiberti.

Bonne lecture à toutes et tous...

Etoiledemer a écrit:

Je commence "1984" de George Orwell

Encore un livre qui est sur ma liste de livres à découvrir absolument.

Bonne lecture à toi aussi Etoiledemer.

Heyoka a écrit:

Etoiledemer a écrit:

Je commence "1984" de George Orwell

Encore un livre qui est sur ma liste de livres à découvrir absolument.

Bonne lecture à toi aussi Etoiledemer.

Il est en effet incontournable !
 

Harelde a écrit:

Heyoka a écrit:

Etoiledemer a écrit:

Je commence "1984" de George Orwell

Encore un livre qui est sur ma liste de livres à découvrir absolument.

Bonne lecture à toi aussi Etoiledemer.

Il est en effet incontournable !
 

A moins de commencer par lire certains essais de Kundera...  

colimasson a écrit:

Constance a écrit:

Je galéjais, bien sûr, car tu es en droit de ne pas apprécier Martinet, et de l'écrire.  

Sinon, contrairement à Reilly, Jérôme ne porte pas un regard d'idéologue sur la société, ni sur la politique ni sur le système économique. Dans sa quête d'amour absolu, il demeure mystérieusement atemporel.

Je ne suis pas sûre... Reilly était un idéologue, mais un idéologue à contre-courant... Jérôme me semble du même acabit. Idéologue de ses fantasmes, même s'il peine effectivement à les cerner.
Le passage de la truite... un régal !

Hors le fait qu'ils soient tous deux obèses et qu'ils vivent sous le même toit que leur mère alcoolique, il me paraît difficile d'établir un parallèle d'ordre idéologique entre Reilly et Jérôme.
En révolte contre la contre-culture américaine, contre la société de consommation, et contre le système de gouvernance, Reilly se pose en doctrinaire avec un mépris affiché pour ses alter ego, alors que Jérôme ne revendique que le droit d'aimer et d'être aimé.  

"Le passage de la truite" : tu en es donc au chapitre 4.   rêverie surréaliste ! bien déjantée la mère !