Nos lectures de Septembre 2013

La dernière séance, Chahdortt Djavann

Actuellement, je lis Philippe Aubert de Gaspé père et fils en revue, qui est un dossier de textes critiques sur leurs oeuvres. Le fils est considéré comme l'un des premiers romanciers qui se réclame de l'esthétique romanesque que la littérature québécoise a fini par développer. Jusqu'à maintenant, je suis dans un texte très technique de ce même roman, mais je vais finir par lire d'autres choses plus intéressantes à aborder.

Je viens de conclure le tout dernier livre d'Antony Soron (2011) sur l'oeuvre d'Hubert Aquin. Il revient abondamment sur la référence proustienne dans son oeuvre et nous pouvons mieux comprendre la toile d'araignée du réseau intertextuel d'Hubert Aquin quand nous lisons ce même livre.

Gregory McDonald, Rafael, derniers jours

Fragiles serments de Molly Keane

Confiteor (Jaume Cabré)

Me voilà vraiment parti dans L'enfant de l'étranger de Alan Hollinghurst. J'aime bien cette ambiance à la façon des grands classiques de la fin du XIXe. Une grande demeure de la campagne anglaise au soir couchant, une adolescente qui aime la poesie, un style élégant et de l'humour. À suivre !

Panne de lecture durant quelques jours. J'ai donc résolu la chose en m'avalant un petit polar : Ce qu'il faut expier d'Olle Lönnaeus. Pas vraiment d'enquête, plutôt un homme hanté par le passé qui se laisse porter par les événements. Pas mal, se lit vite et agréablement, mais sans enthousiasme non plus. Mais pas mal !

J'ai repris La classe moyenne en Inde de Pavan K.Varma. Intéressantes explications sur le contraste entre les idées progressistes affirmées de Nehru et la réalité des faits, liés à la "real politique" et la pression des classes moyennes.

La constellation du chien de Peter Heller.

L'île invisible de Francisco Suniaga

Je vais commencer Los Angeles River, de Michael Connelly. J'ai du mal à me concentrer depuis la rentrée en septembre, j'espère accrocher.

Commencé La Rivière de Vie, de Ngugi wa Thiong'o. J'espère plus accrocher que je ne l'avais fait à Pétales de sang (qui fait partie de ces livres à ne surtout pas à lire de façon fractionnée dans le métro).

je reviens aux montagnes suisses avec Le déserteur de Jean Giono.

Le panda revenant à Wittgenstein, j'y reviens aussi : Leçons et conversations suivies de la conférence sur l'éthique. Il s'agit en fait de notes prises par ses étudiants sur des conférences données par le bonhomme.

Commencé et terminé Le jeune homme qu'on surnommait Bengali de Louis-René des Forêts.