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| Jonathan Coe | |
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Auteur | Message |
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Suny Main aguerrie
Messages : 522 Inscription le : 17/02/2007 Age : 40 Localisation : Rhône
| Sujet: Re: Jonathan Coe Jeu 18 Aoû 2011 - 12:15 | |
| Ton commentaire me fait envie Lalisation immédiate ^^ | |
| | | IzaBzh Agilité postale
Messages : 932 Inscription le : 19/05/2010 Age : 58 Localisation : Bourgogne/Paris
| Sujet: Re: Jonathan Coe Jeu 18 Aoû 2011 - 12:19 | |
| Je te conseille particulièrement (entre autres) la première fausse lettre de lecteur au journal étudiant, à se rouler par terre Bon sang qu'est-ce que j'aime son humour ! | |
| | | pierre de jade Posteur en quête
Messages : 91 Inscription le : 17/09/2010 Age : 34
| Sujet: Re: Jonathan Coe Ven 19 Aoû 2011 - 20:01 | |
| J'ai lue la femme de hasard, il ya 1 semaine a peu prés,a cause de l’indifférence de maria le livre m'as fait fortement penser a daria au début j’entends, ensuite cette référence et partit a vau-l’eau puisque Daria peut batailler lorsque c'est nécessaire contrairement a Maria et pour d'autre raison, j'ai énormément aimé le cynisme, mais aussi cette façon de s'adresser au lecteur, ce livre serait très déprimant sans cet humour so british que Coe distille tous le long du livre, on s'attache comme même a Maria et on a mal pour elle, souvent. Mais les autre personnage ne sont pas non plus épargné. Un livre cruel mais drôle, pour un premier livre de cet auteur, c'est pas mal ça me donne envie de lire la suite, en plus pour moi qui aime les œuvre de dépressif c'est parfait
Citation Maria jalousait Sefton pour trois choses. Et la troisième était que personne n’attendait de lui qu’il exprime le moindre intérêt ou la moindre satisfaction pour les affaires humaines. Ainsi était-il en mesure d’exhiber une indifférence stupéfiante et parfaitement légitime. À ce titre, le simple spectacle de Sefton faisait un bien fou à Maria. Visiblement, il n’en avait rien à cirer du sort de la famille, tant qu’il n’affectait pas le sien. Il était complètement égocentrique et pourtant dénué de tout égoïsme : une qualité que Maria savait, et elle le déplorait déjà, hors de sa portée. Cela n’en faisait pas moins de lui son confident préféré. Elle pouvait par exemple lui parler sans gêne de sa réussite à l’examen, puisqu’il n’y avait aucun risque qu’il manifeste la moindre excitation. Nombreux étaient les secrets que Maria avait confiés à Sefton, sachant qu’ils ne signifieraient rien pour lui, et nombreuses étaient les petites révélations qu’elle avait testées sur lui, pour puiser de la force dans l’incroyable nonchalance avec laquelle il les entendait et les ignorait. Voilà pourquoi chaque famille devrait avoir un chat. [P. 22] | |
| | | IzaBzh Agilité postale
Messages : 932 Inscription le : 19/05/2010 Age : 58 Localisation : Bourgogne/Paris
| Sujet: Re: Jonathan Coe Sam 20 Aoû 2011 - 11:42 | |
| J'aime bien la chute de la présentation Je suis contente, j'avais réservé "Le cercle fermé", la suite de "Bienvenue au club", à ma bibliothèque et il vient de rentrer | |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Jonathan Coe Dim 21 Aoû 2011 - 23:43 | |
| Testament à l’anglaise
Le titre de ce roman, m’a amené à me poser bien des questions. La plupart ont subsisté pendant la lecture. Testament de qui ? Des Winshaw, richissime famille anglaise dont les membres sont « placées » dans tous les secteurs clés de la société anglaise ? De Michael Owen, jeune écrivain dépressif au prose avec un livre-enquête ainsi qu’avec un film qui l’obsède, film dont il n’a pas pu voir la fin au moment voulu et dont il rejoue sans cesse la scène interrompue ? De la société anglaise telle qu’elle existait avant ? Avant le Thatchérisme et de la fièvre libérale qui la saisit dans ces années-là. Par où commencer ? Michael, sans aucun doute. C’est un écrivain, dépressif dont la vie va à vau de l’eau. En 1990, une visite anodine va le remettre sur les rails. Il reprend goût aux échanges humains, aux relations sociales. Il devient ami avec Fiona et bientôt un lien, ténu au départ, va se créer. Cette relation le décide à reprendre un projet délaissé depuis des années : l’histoire de la famille Winshaw. Cette famille omnipotente dans l’Angleterre moderne, dont les membres occupent des postes clés dans tous les secteurs qui comptent : politique avec Henry, député travailliste (mais surtout opportuniste), le journalisme avec Hilary qui fait l’opinion, l’art avec Roddy, l'agro-alimentaire avec Dorothy et la vente d’armes avec Mark. Ils sont les Winshaw, aiment l’argent et n’ont pas de scrupules : ils veulent réussir ! La « souche » de cette famille n’était pas dévoyée... C’est Thabitha, tante de tous ces jeunes Winshaw, qui est commanditaire de cette enquête. Elle espère bien prouver que son frère, mort il y a plus de trente ans, a été assassiné par leur autre frère. Michael Owen reprend l’enquête, renoue avec des amitiés passées (Phoebe, Joan) ; tous sont liés (victimes ? ) aux agissements de la familles Winshaw. Le roman pourrait tourner au drame, il y a plusieurs moments poignants... Mais c’est bien une satire que nous livre Coe, une satire sociale, aiguisée, alerte, captivante parfois. Si Michael Owen semble se noyer dans sa déprime, Coe s’interdit d’y plonger par un ton ironique, mordant. Les années Thatcher passent au crible, l’auteur n’occultent aucun côté, ni l’affairisme, ni la destruction de la sécurité sociale, cause directe de la mort de Fiona, ni la corruption. Le pouvoir politique marchant main dans la main avec les secteurs industriels (armement, agro-alimentaire) ou financiers au détriment de l’intérêt général est très bien décrit. Ca pourrait être déprimant, c’est passionnant. Coe, en mariant au sein d’un même roman de nombreux genres littéraires (policier, thriller, biographie, psychodrame...) arrive à créer un fresque étonnante et captivante.
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| | | chrisdusud Sage de la littérature
Messages : 2076 Inscription le : 20/04/2008 Age : 56 Localisation : Corse
| Sujet: Re: Jonathan Coe Lun 22 Aoû 2011 - 22:31 | |
| La pluie, avant qu’elle tombe
Rosamond, 73 ans vient de mourir. Sa nièce Gil est chargé de retrouver Imogèn , une petite nièce de la défunte afin de lui donner un lot de cassettes préalablement enregistrée par elle. Gil ne parvient pas à la retrouver et écoute avec ses filles les nombreuses cassettes. Rosamond va y dérouler toute sa vie. Avec l’appui de 20 photos qui ont marqué son existence. Une vie baignée d’hostilités et de tendresses.
Nous plongeons facilement dans cette vie jalonnée de traumatisme et de joie. C’est bien écrit et le récit minutieux de ces photos rend l’histoire assez bouleversante. J’ai retenu ses sombres souvenirs, les incidences des événements sur elle sans qu’elle n’ait pu s’y dérober, son besoin d’aimer, sa cuite au whisky à la fin.
Jonathan Coe est un bon auteur, je trouve. Pas extraordinaire mais bon auteur. | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Jonathan Coe Lun 22 Aoû 2011 - 22:39 | |
| Ca fait plaisir de voir le fil Coe (llins ?) croître et prospérer | |
| | | IzaBzh Agilité postale
Messages : 932 Inscription le : 19/05/2010 Age : 58 Localisation : Bourgogne/Paris
| Sujet: Re: Jonathan Coe Jeu 15 Sep 2011 - 12:50 | |
| Le cercle fermé
"L'Angleterre de Tony Blair entre dans le nouveau millénaire, et les héros de Bienvenue au club dans l'âge mûr. Vingt ans après, qu'ont-ils fait de leurs idéaux de jeunesse ? N'auraient-ils d'autre choix qu'entre compromissions et immobilisme ? Seul l'affreux Paul, leur cadet, un politicien opportuniste, semble s'adapter à ces temps nouveaux et aux nouveaux cercles du pouvoir. Mais si les utopies des années soixante-dix semblent maintenant lointaines, il suffit de bien peu pour faire resurgir les fantômes du passé... Jusqu'à ce que le cercle se referme. Tout en déroulant la chronique de l'histoire immédiate, du choc de la mondialisation à la guerre en Irak, Jonathan Coe fait le portrait d'une génération en proie à d'irréductibles contradictions. Impitoyable satiriste, il brosse un tableau ravageur de l'Angleterre de Tony Blair, qu'il dénonce avec la fureur vengeresse jadis réservée au thatchérisme. D'une lucidité aussi réjouissante qu'inconfortable, le diptyque composé de Bienvenue au club et du Cercle fermé se fait le miroir non seulement d'un pays, mais d'une époque tout entière, et constitue une fresque aussi ambitieuse et aussi aboutie que Testament à l'anglaise."
Suite de "Bienvenue au club". Que sont devenus tous ces jeunes gens et leurs familles ? Ont-ils réalisé leurs rêves ? Comment leurs amours ont-elles tourné ? Sont-ils restés fidèles à leurs principes ? Ont-ils trouvé des réponses à leurs questions ? J'ai lu ce livre avec un énorme intérêt, parce que c'est une époque que j'ai bien connue, parce que j'adore la littérature britannique, parce que plus je lis du Jonathan Coe, plus j'ai envie de me jeter sur tous ses romans que je ne connais pas encore, parce que... parce que... c'est un très bon livre, quoi ! Un peu plus amer que Bienvenue au club, mais c'est normal avec la progression de la vie. Une critique des téléphones portables et des stars des émissions de télé-réalité, de la guerre en Irak. Une observation attentive et réfrigérante de la montée de l'extrême-droite en Grande-Bretagne à cette époque - qui me fait penser à ce qu'il se passe de nos jours en France. Une charge à boulets rouges contre le blairisme - qui me fait penser là aussi au PS contemporain. Des personnages que vous adorerez détester (Paul), que vous aurez envie de baffer (Benjamin) ou dont vous suivrez le chemin avec tendresse et attention, des questions résolues (Sean et Claire). Une excellente étude sociale, un excellent roman. | |
| | | Igor Zen littéraire
Messages : 3524 Inscription le : 24/07/2010 Age : 71
| Sujet: Re: Jonathan Coe Sam 24 Déc 2011 - 10:29 | |
| La vie très privée de Mr Sim Le dernier roman de Coe enfin dispo à la médiathèque. Pas très intéressant ce Mr Sim, et il va falloir le supporter dans les 400p. D'ailleurs, vu l'état du livre ou plutôt de sa tranche, on devine aisément que nombre de lecteurs ont abandonné leur lecture au bout d'une centaine de pages. Mais bon, j'ai bien aimé les autres livres lus de cet auteur et donc je persiste. Et effectivement, les éléments de l'histoire prennent tournure au point qu'il est ensuite difficile de lâcher le livre. Par un procédé de récits dans le récit, Coe organise son roman de façon très subtile qui lui permet de donner un éclairage précis du "fameux" Mr Sim. Le roman prends à un moment l'allure d'un "road movie" et au fil des rencontres, l'auteur porte une réflexion sur son pays qui s'uniformise à grands pas. Le thème semble bien être celui du ratage, du grand ratage. De ce qui fait que toute la vie semble absolument loupée. Un sujet qui ne donne pas en effet l'envie de lire un tel bouquin, mais c'est là que Coe est bon, parce qu'il sait très bien construire son histoire et y mettre l'humour corrosif et la distance qui fait que l'on sourit beaucoup à sa lecture... Et puis un final de type "surprise" très réjouissant !
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| | | topocl Abeille bibliophile
Messages : 11706 Inscription le : 12/02/2011
| Sujet: Re: Jonathan Coe Sam 24 Déc 2011 - 10:47 | |
| il va remonter du plus profond de ma LAL. | |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Jonathan Coe Lun 26 Déc 2011 - 18:39 | |
| La vie très privée de Mr Sim - Citation :
- Maxwell Sim est un loser de quarante-huit ans. Voué à l'échec dés sa naissance (qui ne fut pas désirée), poursuivi par l'échec à l'âge adulte ( sa femme le quitte, sa femme rit doucement de lui), il s'accepte tel qu'il est et trouve même certaine satisfaction à son état.
Mais voilà qu'un proposition inattendue lui fait traverser l'Angleterre au volant d'une Toyota hybride, nantie d'un GPS à la voix bouleversante, dont, à force de solitude il va tomber amoureux. Coe force un peu le trait pour ce Mr Sim, quelconque, tellement qu'on n'y croit pas. Ses réactions, son attitude, son renoncement permanent comme philosophie de vie... Tout ça est trop gros. Puis, petit à petit, mettant de côté cet aspect du personnage, je me suis pris à me passionner pour la vie désopilante du bon Mr Sim. Désopilante à force d'errance, de situations loufoques, de découvertes sur son passé. C'est léger, plus que d'autres romans de Coe que j'ai pu lire, mais j'ai beaucoup ri ! Préférant l'humour au désespoir, l'auteur Britannique m'a enchanté ! Et il s'est réservé le mot de la fin, me surprenant et éclairant aussi tout le roman d'un autre lumière. Effectivement, tout au long du roman, Coe revisite l'histoire de son pays ; et il excelle, réjouissant le lecteur par ce regard critique et corrosif sur l'epoque actuelle, mais également sur des périodes passées de l'Angleterre (années soixante). | |
| | | Maryvonne Zen littéraire
Messages : 4259 Inscription le : 03/08/2009 Localisation : oui, merci.
| Sujet: Re: Jonathan Coe Mar 27 Déc 2011 - 10:06 | |
| Non, non, non ! La fin est digne des mauvais films de SF.
| |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Jonathan Coe Mar 27 Déc 2011 - 10:23 | |
| - Maryvonne a écrit:
- Non, non, non ! La fin est digne des mauvais films de SF.
Ah ? Je l'ai trouvé bien dans le ton du livre, un façon d'expurger un trop plein de mal-être, encore une fois de manière légère et décalée. | |
| | | topocl Abeille bibliophile
Messages : 11706 Inscription le : 12/02/2011
| Sujet: Re: Jonathan Coe Mar 17 Jan 2012 - 16:12 | |
| La vie très privée de M Sim.
Ce livre est un Jeu au cours de la lecture duquel on prend plaisir à imaginer la jubilation que Coe a eue à l’écrire ; on l’imagine assemblant patiemment ses pièces, semant ses indices, peaufinant ses éléments révélateurs. Quant au lecteur , attention : Le début parait simplement gentil et sympa, sans plus. On suit cela d'un oeil amusé et sans doute un peu distrait. Coe éparpille ses indices de façon apparemment anodine, mais il faut bien faire attention et ne rien louper car il n'est pas un détail qui ne trouvera son sens dans la suite. Et ce n’est donc que dans la deuxième partie que l’importance de chaque personnage, de chaque rencontre apporte une profondeur au récit, et contribue à sa cohérence.
Après la 150ème page, on s ‘amuse beaucoup, les pièces du puzzle s’imbriquent, on s’extasie du talent de Coe, on apprécie son humour, on passe un excellent moment en sa compagnie. Derrière le canular léger, on découvre des interrogations sur la solitude, la communication, la modernité, le hasard et le destin. Il ne faut surtout pas s'arrêter à la présentation très réductrice qui a été faite du livre un peu partout, racontant que c'est l'histoire d'un homme amoureux de son GPS. Ceci n'est qu'un des nombreux éléments palpitants du roman, traité avec beaucoup de finesse : l'une des nombreuses pièces de ce puzzle, chacune potentialisant la valeur de l'autre.
Un petit régal. Un monument de finesse et d'humour, jusque dans les dernières pages.
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| | | Igor Zen littéraire
Messages : 3524 Inscription le : 24/07/2010 Age : 71
| Sujet: Re: Jonathan Coe Mar 17 Jan 2012 - 17:04 | |
| - topocl a écrit:
- La vie très privée de M Sim.
Ce livre est un Jeu au cours de la lecture duquel on prend plaisir à imaginer la jubilation que Coe a eue à l’écrire ; on l’imagine assemblant patiemment ses pièces, semant ses indices, peaufinant ses éléments révélateurs. Quant au lecteur , attention : Le début parait simplement gentil et sympa, sans plus. On suit cela d'un oeil amusé et sans doute un peu distrait. Coe éparpille ses indices de façon apparemment anodine, mais il faut bien faire attention et ne rien louper car il n'est pas un détail qui ne trouvera son sens dans la suite. Et ce n’est donc que dans la deuxième partie que l’importance de chaque personnage, de chaque rencontre apporte une profondeur au récit, et contribue à sa cohérence.
Après la 150ème page, on s ‘amuse beaucoup, les pièces du puzzle s’imbriquent, on s’extasie du talent de Coe, on apprécie son humour, on passe un excellent moment en sa compagnie. Derrière le canular léger, on découvre des interrogations sur la solitude, la communication, la modernité, le hasard et le destin. Il ne faut surtout pas s'arrêter à la présentation très réductrice qui a été faite du livre un peu partout, racontant que c'est l'histoire d'un homme amoureux de son GPS. Ceci n'est qu'un des nombreux éléments palpitants du roman, traité avec beaucoup de finesse : l'une des nombreuses pièces de ce puzzle, chacune potentialisant la valeur de l'autre.
Un petit régal. Un monument de finesse et d'humour, jusque dans les dernières pages.
Bravo! quel résumé! J'ai autant de plaisir à le lire qu'à lire le livre (OK, j'exagère. Mais si peu). Tout est dit et très bien dit. Moi qui ait un mal fou à formuler deux mots intelligents sur un bouquin ça m'assoie cette précision et cette facilité. Mais c'est cela qu'être " un Sage de la littérature"!!! | |
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| | | | Jonathan Coe | |
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