Richard Powers

Je viens de terminer "trois fermiers s'en vont au bal".

A partir d'une photographie l'auteur nous emmène à la recherche des personnages et le Passé et le présent se rencontrent dans ce récit.

Ce fut une lecture un peu ardue pour moi ; j'ai du faire appel au dico pour connaître le sens de certains mots ; de plus il y a je trouve certaines longueurs (par exemple des explications spécifiques à la photographie) et peut-être un "étalage" de connaissances, notamment sur les "illustres Hommes" dont certainses n'apportent, à mon sens, rien au récit.

D'où un plaisir de lecture inégal.

J'ai bien aimé le concept selon lequel le regard que nous portons sur une photographie créé "une histoire" à cette photographie.

Je conserverai, un bon souvenir de cette lecture tout de même, car certains passages sont très interessants et les personnages aussi.

Je lirai plus tard un deuxième livre de R. Powers, le Temps où nous chantions, car je peux le trouver à la Biblliothèque.

ps Besoin de Senti pour une question sur l'un des personnages.

Bédoulène a écrit:

Ce fut une lecture un peu ardue pour moi ; j'ai du faire appel au dico pour connaître le sens de certains mots ; de plus il y a je trouve certaines longueurs (par exemple des explications spécifiques à la photographie) et peut-être un "étalage" de connaissances, notamment sur les "illustres Hommes" dont certainses n'apportent, à mon sens, rien au récit.

Même impression que toi

Bédoulène a écrit:

ps Besoin de Senti pour une question sur l'un des personnages.

Lance-toi Bédou, je ne garantie rien mais je suis toute ouïe

Je ne comprends pas la filiation de Peter Mays.

En effet, Wies ( 2 amants Hubert tué et Peter/théo qui est resté ensuite en France) a eu un enfant nommé Peter Hubernatus lequel a tardivement émigré aux USA avec sa fille et son mari, mais ladite fille n'ayant pas eu d'enfant, comment expliquer la présence de Peter Mays ?

merci Senti

Ah ben c'est facile ça comme question !
Et bien Bédou... je suis comme toi, j'e n'ai pas compris cette filiation non plus.
Mais je suis restée zen, et j'ai continué ma lecture en me disant que ce ne devait pas être très important finalement
Je suis bien obligée de procéder de la sorte avec quelques auteurs, sinon je ne m'en sors plus

Maintenant, si quelqu'un d'autre l'a lu et a trouvé la réponse, Bédou et moi, nous sommes preneuses

Donc Peter/théo ou Peter Hubertus nous auraient caché une aventure

merci Senti de ta réponse.

Des nouvelles du Temps où nous chantions,pas encore fini.Exceptionnel.

Bellonzo a écrit:

Des nouvelles du Temps où nous chantions,pas encore fini.Exceptionnel.

Le temps où nous chantions est un un roman exceotionnel.Ce livre vous prend du temps mais il installe une telle envie de ne pas quitter les personnages qu'on l'abandonne à regret.Merci à Marko qui a su me décider à le lire.Tant de présence de la musique,tant d'intelligence sur lhistoire américaine,tant de conviction et un style remarquable.Je n'en dis pas davantage car vous l'avez tous encensé et vous aviez bien raison.

Bellonzo a écrit:

Le temps où nous chantions est un un roman exceotionnel.Ce livre vous prend du temps mais il installe une telle envie de ne pas quitter les personnages qu'on l'abandonne à regret.Merci à Marko qui a su me décider à le lire.Tant de présence de la musique,tant d'intelligence sur lhistoire américaine,tant de conviction et un style remarquable.Je n'en dis pas davantage car vous l'avez tous encensé et vous aviez bien raison.

Je savoure à plein Le temps où nous chantions.
J'absorbe les mots un à un .
Je vis l'atmosphère du moment .

Pas de course lecture .
Lentement et agréablement

Spoiler:

Sortie prévue pour le 16 avril 2009:
(livre paru en 2000 en Amérique)



L'ombre en fuite

kenavo a écrit:

Sortie prévue pour le 16 avril 2009:
(livre paru en 2000 en Amérique)



L'ombre en fuite

Couverture sobre, mais qui correspond bien au titre : la touche escape pour une ombre en fuite... jolie association.

Eve Lyne a écrit:

Couverture sobre, mais qui correspond bien au titre : la touche escape pour une ombre en fuite... jolie association.

je n'ai pas trouvé de résumé sur le 'Net - mais dans le nouveau Lire on peut découvrir un extrait

Je me suis plongée dans La Chambre aux échos. Les apartés sont en effet gênantes, elles génèrent une certaine lenteur mais je prend plaisir à suivre le côté thriller psychologique.
>traduction en français depuis Wikipedia :

Citation :

"L'illusion Capgras est nommé" d'après Joseph Capgras (1873-1950), un français psychiatre, qui décrit pour la première fois le trouble dans un document de 1923 co-écrit avec Reboul-Lachaux. [2] [3] Ils ont utilisé le terme de l'illusion des sosies ( l'illusion du double) pour décrire le cas d'une femme française qui se sont plaints que les différents "doubles" a pris la place des gens qu'elle connaissait. However, the term illusion has a subtly different meaning from delusion in psychiatry, so the Capgras delusion has been adopted as the more accurate name. Toutefois, le terme illusion a une signification légèrement différente de l'illusion dans la psychiatrie, de sorte que l'illusion Capgras a été adopté comme nom plus précis..."

kenavo a écrit:

Sortie prévue pour le 16 avril 2009:
(livre paru en 2000 en Amérique)



L'ombre en fuite

Quatrième de couverture : Washington. Adie Klarpol, une jeune artiste désillusionnée, est engagée par une compagnie d'informatique pour travailler sur un système expérimental, « la Caverne ». Ce simulateur d'univers virtuels en 3D permet de revisiter, entre quatre murs, les chefs-d'oeuvre de l'art.
Beyrouth. Taimur Martin, professeur d'anglais, est pris en otage par des fondamentalistes islamistes. Seul dans un cachot, il n'a que sa mémoire et son imagination pour s'évader.
Un simulateur d'univers virtuels, un cachot : deux pièces dissemblables, toutes deux ouvertes à toutes les transformations, l'une par la magie de l'informatique, l'autre par la ténacité de l'esprit humain. Deux univers a priori inconciliables dont Richard Powers, avec son sens renversant du romanesque, tire une polyphonie grandiose.
Le romancier explore le destin de l'art à l'époque du virtuel, celui de la mémoire à l'époque de l'informatique et questionne une fois de plus les rapports entre science, histoire et imagination.