Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 LC Padura L'homme qui aimait les chiens

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Bédoulène
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyDim 1 Mai 2016 - 8:21

Ramon est tellement persuadé qu'il est "le justicier", mais c'est quand justement il prend le dessus sur Jacques qu'il me récupère, je retrouve celui qui voulait se battre pour sa République, qui regrettait de voir Luis le faire à sa place et que son tempérament d'Espagnol s'exprime, parce que là il se libère de l'assesseur.

"Tel un volcan en éruption Ramon Mercader déborda par tous les pores de Jacques Mornard."


Le portait de l'assesseur Kotov/Tom/Mister Roberts...... que dresse Padura est saisissant, cet homme qui a à sa disposition (mais on se doute de quelle manière il les a obtenus) des yeux et des oreilles dans tous les pays.

Saura-t-on son vrai nom ? ou bien est-il un personnage de fiction ?

En fait les seuls qui méritent notre compassion je pense sont Natalia la femme de Trotski et Sergueï (apolitique) qui n'avait de tort que d'être le fils de Trotski

Trotski continue a être maltraité, encore de nos jours à travers les Trotskistes de notre temps !!

Les "intellectuels de gauche Français" pro-communistes en prennent plein la figure !

je continue,

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Bédoulène
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyDim 1 Mai 2016 - 21:12

Jacques ne peut étouffer Ramon, quand celui-ci voit l'enfant avec le chien c'est bien Ramon qui réagit il ne peux s'empêcher d'appeler l'animal, le caresser, lui parler.

S'il y a quelque chose qui me plait chez ces hommes c'est leur amour des chiens, je pense donc que Padura, vu les propos qu'il fait tenir à ses protagonistes, les aime aussi.



Je me demande si un homme a été aussi traqué que Lev Davidovitch ? quelle force d'esprit, quelle constance dans ses idéaux, je crois qu'une phrase peut le résumer :

"De toute façon, je resterai du côté de Spartacus, jamais des César, et en dépit de la science, je continue à affirmer ma confiance dans la capacité des masses travailleuses à se libérer du joug capitaliste, qui a vu ces masses en action sait que c'est possible. Les erreurs de Lénine, les miennes, celles du parti bolchevick, qui ont permis la déformation de l'utopie, ne devraient jamais être attribuées aux travailleurs. Non, jamais il en resterait persuadé."



C'est avec les yeux et le coeur d'Ivan que nous découvrons Cuba, la misère qui a atteint mortellement Ana, l' exode massif à l'ouverture des frontières en 1994 est terrible pour ceux qui vont risquer leur vie sur des embarcations de fortune et pour lui qui y assiste impuissant.

Lorsque le livre de Luis Mercader, le frère de Ramon lui parvient, il sait qu'il doit écrire le récit confié par "l'homme aux chiens" il reconnait son besoin d'écrire.

"Cependant, au lieu de la libération ou du bénéfice de la connaissance, ma première réaction fut la peine que j'éprouvai, pour moi et pour nous tous, trompés, utilisés, qui avions cru un jour à la validité de l'utopie fondée dans le pays des soviets, déjà disparu à cette époque ; plus que du rejet, je ressentis même un sentiment évident de compassion envers Mercader lui-même et je crois que pour la première fois je compris l'ampleur de sa foi, de ses peurs et son obsession du silence à outrance qui ne le quitterait plus jusqu'à son dernier soupir."






à suivre
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shanidar
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyLun 2 Mai 2016 - 9:44

Je te rejoins complètement, Bédou, à propos de Natalia Sedova, la femme de Trotski : quelle abnégation, quelle force, quel amour il lui a fallu pour suivre contre vents et marées un homme qu'elle admire... D'ailleurs, la plupart des femmes de ce livre sont admirables même quand elles sont dangereuses.
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Bédoulène
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyLun 2 Mai 2016 - 10:45

tout à fait, Caridad, Africa et même la "laide" Sylvia dont on comprend qu'elle se jette dans les bras de Jacques

la tablette est en charge et je continue la lecture, hâte de savoir
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Bédoulène
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyMar 3 Mai 2016 - 15:33

quelques éléments : David Alfaro Siqueiros recevra le prix Lénine pour la paix en 1966.  ( LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 162492 )

 Le 13 juillet 1954, Frida Kahlo meurt d'une pneumonie. Malgré sa promesse de garder à la cérémonie de funérailles un caractère neutre, Rivera fait couvrir le cercueil d'un drapeau rouge orné d'un marteau et d'une faucille. Le peintre, qui avait sollicité plusieurs fois sans succès sa réintégration dans le Parti communiste mexicain, l’obtient deux mois après la cérémonie.  ( LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 162492 )

diego rivera :  Le 24 novembre, il décède d'une crise cardiaque. Son souhait, exprimé en 1954, que ses cendres soient déposées avec celles de Frida dans un caveau de l' « Anahuacalli »14 n'est pas respecté. (bien fait !) Sa dépouille est inhumée au Panteón de Dolores (en) à Mexico.

Nahum Isaakovich Eitingon  est Ketov, Tom, Mister Roberts.......... officier du renseignement soviétique, qui a été parfois décrit comme un organisateur majeur de Joseph Staline de terrorisme d' état ​​système


des anecdotes qui montrent combien les gens fantasment avec  des assassins  : Siqueiros lui fait parvenir un tableau !    Sara Montiel une actrice Espagnole vient le visiter !



J'ai terminé le livre et je suis comme toi Shanidar sensible à la vie du narrateur, l'une des millions de victimes innocentes de cette utopie, la révolution prolétaire, tronquée, pervertie, volée.



L'assassinat de Trotski, programmé par Staline  sert de fil "rouge" à l'auteur pour construire dans sa fiction, d'après des faits réels, le destin dramatique de tant de gens, bourreaux et/ou victimes, de l'utopie qu'a représenté la révolution prolétaire en Union Soviétique. Le Stalinisme en détruisant les idéaux de cette révolution a éteint la foi que les hommes avaient en elle et portaient en eux.

Mais selon l'aveu de Trotski, lui-même et  Lénine sont coupables d'avoir "forcé ceux qui n'y croyaient plus à croire de force" (la fin justifie les moyens ?)

Le cas de Lev Davidovitch démontre que l'on peut être à la fois bourreau et victime, mais comme le précise Ramon Mercader son assassin (lui aussi bourreau et victime de son crime, de sa foi) à l'affirmation de Nahum Eitingon qui se dit lui aussi victime : "certains plus que d'autres".




Une écriture à la fois puissante et sensible ; l'auteur sous les traits d'Ivan, le narrateur, exprime la difficulté de vivre à Cuba, notamment  durant la crise des années 90 alors que l'union Soviétique agonisait. Les cinq années de doute, de tristesse, de joie d' Ivan alors qu'il décidait d'écrire le récit à lui confié, ont été vécues  par l'auteur lors de l'écriture de ce livre.

Je suis touchée par les mots de l'auteur et par l' histoire dans l'Histoire.


Dernière édition par Bédoulène le Mar 3 Mai 2016 - 20:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyMar 3 Mai 2016 - 16:27

Bédoulène a écrit:

Mais selon l'aveu de Trotski, lui-même et  Lénine sont coupables d'avoir "forcé ceux qui n'y croyaient plus à croire de force" (la fin justifie les moyens ?)

Le cas de Lev Davidovitch démontre que l'on peut être à la fois bourreau et victime, mais comme le précise Ramon Mercader son assassin (lui aussi bourreau et victime de son crime, de sa foi) à l'affirmation de Nahum Eitingon qui se dit lui aussi victime : "certains plus d'autres".








--- Et cela continue dans certains pays, lorsque je vois à la télé les défilés de masse et les sourires figés des acteurs en Corèe du Nord je ne peux m'empêcher de penser aux rassemblements sur la Place de la Revolution à La Havane chacun brandissant un petit drapeau (sachant que les ouvriers qui s'y rendaient étaient cochés, ne pas s'y rendre c'était perdre son boulot fourni par l'état, peut être un peu plus soft dans certains pays non...?) Very Happy
pris et broyés par un système, adhérents volontaires et enthousiastes au début, mais trompés, la déception et la peur doivent être difficiles à supporter...
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyMar 3 Mai 2016 - 18:34

Chamaco, en évoquant la peur, tu soulignes un point que j'ai oublié de noter ici : la peur, partout, tout le temps ; celle qui fait fuir Trotski de Turquie au Mexique, qui gagne son épouse et ses enfants (lesquels meurent les uns après les autres alors que Trotski ne peut plus rien pour eux) ; ce qui rappelle toutes ces familles prises en otages par des régimes dictatoriaux et forcées à se taire par peur, pour soi, pour les autres... La peur de Ramon Mercader également, qui sait bien à partir du moment où il dit 'oui' à sa mère en pleine Guerre d'Espagne qu'il ne pourra plus faire machine arrière et que la peur (de mourir, de trahir, d'être trahi, d'être méprisé par les femmes de sa vie) le guide plus que la haine. Car c'est bien la peur (envers Staline -lui-même complètement paranoïaque-) qui crée la plupart des comportements de nos protagonistes et non la haine contre un homme ou contre des idées...
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyMar 3 Mai 2016 - 20:46

zut le brouillon a mangé l'une de mes phrases, je disais (oublié le mot à mot) : Staline (pervers, paranoïaque) qui a installé tellement de peur qu'il ne pouvait lui-même y  échapper. Certainement que l'on peut mettre à son passif autant de morts par sa perversion que par peur.

note : ne plus faire confiance au brouillon


Je n'ai pas lu "le manifeste communiste de Marx" mais je me demande s'il reconnaîtrait ses idées dans ce drame du 20ème siècle ?
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyMer 4 Mai 2016 - 16:13

J'ai L'idéologie allemande de Marx et Engels à la maison, mais je n'ai jamais osé l'ouvrir... jypeurien
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Bédoulène
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyJeu 5 Mai 2016 - 8:21

et maintenant que vais-je lire de Padura ?

je penche pour Hérétiques dans quelque temps


j'ai trouvé ce lien qui explique les raisons qui ont poussé Paduro à l'écriture de ce livre http://www.sudouest.fr/2011/01/23/comment-est-ne-l-homme-qui-aimait-les-chiens-297849-2780.php

Mais j'aimerais savoir s'il avait, a eu des chiens ? car pour en parler comme il le fait je pense qu'il faut les aimer (est-ce un indice que le narrateur travaille dans une clinique vétérinaire ?)
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Chamaco
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyJeu 5 Mai 2016 - 11:01

Pour te repondre Bedoulène j'ai croisé une image de Padura avec son chien (me souviens plus de la race) et je me demande si je l'ai pas mise sur le fil "La Havane", mais après ma nuit en pointillés je ne me sens pas de remonter toutes les pages de ce fil, je suis cassé...Persuadé qu'il aime les chiens.... Very Happy
Oui les Hérétiques c'est une bonne pioche... bravo
De mon côté je continue "l'homme qui aimait les chiens" à mon rythme c'est à dire pas tres vite, en ecoutant du Eliades Ochoa Very Happy
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyJeu 5 Mai 2016 - 17:13

Tu as vu, Bédou, nous avons encore une fois croisé Otto Katz et Willi Münzenberg, des amis de notre ami Koestler... et je ne savais pas que Katz avait lui aussi été épuré. C'est tout de même incroyable que tant de gens, connus et inconnus, aient été comme ça, effacé de la carte du monde et que cela n'ait pas ébranlé le pouvoir... Il y a un côté fascinant au pouvoir de Staline.

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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyVen 6 Mai 2016 - 11:37

bien sur Shanidar, je me suis fait la remarque.
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kenavo
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyVen 6 Mai 2016 - 13:32

Bédoulène a écrit:
et maintenant que vais-je lire de Padura ?

je penche pour Hérétiques dans quelque temps
oui, bonne idée Very Happy

moi, je viens de commander son nouveau, paru aujourd'hui miammiam

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Ce qui désirait arriver

Citation :
Personne ne quitte jamais vraiment Cuba. En quelques mots, on y est. Cuba, La Havane, comme un regret sans fond, comme un vieux boléro. Un doigt de rhum Carta Blanca (quand il en reste), soleil de plomb, solitude. Magie des décors qui n'ont pas besoin de description, ou si peu. Les héros de Padura sont des tendres ; ils se heurtent à la société, au destin, au temps qui passe ; à ce désir qu'ont les choses, souvent, d'arriver contre notre gré, sans nous consulter. Ainsi, les toits qui s'effondrent, les pénuries de rhum, le départ intempestif d'êtres aimés. On trouve de tout dans ce recueil de nouvelles, amours bêtement gâchées, soldat en fin de mission à Luanda, vieille écrivaine en herbe, archange noir, nuits torrides, jeunes gens désoeuvrés, fonctionnaires désabusés, rêves brisés, souvenirs cuisants... On trouve surtout le sel des romans de Leonardo Padura, sa marque de fabrique : l'humanité qui transpire à chaque ligne, la nostalgie des vies qu'on ne vit pas, et l'art suprême de nous plonger dans une île qu'on emporte toujours avec soi.
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MessageSujet: Re: LC Padura L'homme qui aimait les chiens   LC Padura L'homme qui aimait les chiens - Page 3 EmptyVen 6 Mai 2016 - 13:37

Merci Kenavo pour cette info bravo , je vais le commander dans les jours qui viennent... Very Happy

un ensemble de petites nouvelles, cela promet une belle lecture...
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