Ce livre ou ce film devrait te plaire...

coline a écrit:

aériale a écrit:

Et voir de plus près Sylvain Trudel dont vous parlez (m'a pas l'air bien gaie quand même cette histoire )

Du mercure sous la langue...Brrrr...Je recule le moment de lire ce roman...
Je ne le conseillerais pas particulièrement à Aériale.
De Sylvain Trudel j' ai apprécié un recueil de nouvelles très fortes , La mer de la tranquillité (que j'ai racheté hier car mon exemplaire je l'ai prêté à je ne sais plus qui dans mon entourage qui ne me l'a pas rendu...)

J'ai toujours du mal à conseiller individuellement un livre...
Je voudrais vous conseiller à tous La mer de la tranquillité de Sylvain Trudel...mais avec une petite pensée spéciale pour Queenie et Marko tout de même...

puisqu'il y a plusieurs membres qui le lisent à l'instant / qu'on parle de lui..

Henry James.. je ne peux jamais penser à lui sans aussi penser à ce livre s-u-b-l-i-m-e


Colm Toibin, Le maître

Citation :

Présentation de l’éditeur
Le roman s’attache à cinq années de l’existence du romancier Henry James, de 1895 à 1899. Il commence par l’un des événements les plus douloureux de l’existence de James : l’échec retentissant de sa pièce de théâtre, Guy Domville, à Londres en janvier 1895. Lors de la première, les applaudissements des amis de James sont noyés sous les sifflements du public. Dans un théâtre voisin, en revanche, la nouvelle pièce d’Oscar Wilde fait un triomphe. Après ce fiasco, James décide de retourner au roman, mais d’abord il accepte les invitations de quelques-uns de ses amis de la noblesse installés en Irlande, espérant ainsi échapper aux échos de son échec londonien – cette visite permet à Colm Tóibín de s’attarder avec ironie sur les abus de l’occupation anglaise, sujet qui lui tient davantage à cœur qu’à James, peu préoccupé par ses lointaines origines irlandaises.
Les quatre années suivantes traitent chacune d’un événement qui ravive la mémoire de James et le contraint à se rappeler quelque incident de son passé : l’épouvantable procès intenté à Oscar Wilde et qui rappelle à James ses propres incertitudes sexuelles ; la mort de sa sœur Alice, esprit caustique ; l’achat d’une maison dans la campagne anglaise où James se voit contraint de renvoyer un couple de serviteurs ; le suicide de son amie de cœur ; un voyage en Italie où il tombe amoureux du sculpteur Henrik Andersen. Enfin, pour conclure, la visite de son frère aîné, le philosophe Williams James, avec lequel James se réconcilie après un long éloignement. Durant ces cinq années, James écrit, entre autres, Ce que savait Maisie, Le Tour d’écrou et Les Ambassadeurs. Tóibín, en un constant mouvement d’oscillation, embrasse à la fois l’intimité de son héros et les instants décisifs qui l’ont amené à créer les situations et les personnages de ses romans – tous inspirés de sa vie privée.

Cependant, plus qu’une brillante biographie, Le Maître est l’interrogation passionnée et effrayée d’un artiste face au talent d’un pair. Pour Colm Tóibín, l’apparente froideur de Henry James, le vide émotionnel de son existence tout entière vouée à l’art, pose une question vertigineuse. Pour être un tel génie littéraire, Henry James devait-il nier sa sexualité, refuser tout engagement amoureux, censurer ses émotions, en bref, passer à côté de la vie ? Peut-on penser, comme Henry James, qu’il y a dans l’art quelque chose que jamais une émotion réelle ne saurait atteindre ? Tel est le sujet réel du roman, par-delà l’exploration de l’intimité de Henry James : la place de l’art dans la vie d’un artiste.

Le Maitre, je vais le lire très bientot, en espérant etre un peu plus en forme que ces derniers temps...

Quand j'aurais un peu avancé dans l'oeuvre de James, ce livre m'intéressera certainement beaucoup.

A tous ceux qui aiment Modiano, il y a quelque chose de lui, par le style et les thèmes, dans Grand Paradis d'Angélique Villeneuve (fil à venir). Sans que ce soit un copier/coller, non plus.

traversay a écrit:

A tous ceux qui aiment Modiano, il y a quelque chose de lui, par le style et les thèmes, dans Grand Paradis d'Angélique Villeneuve (fil à venir). Sans que ce soit un copier/coller, non plus.

je viens de lire son fil, merci en passant et je note naturellement Angélique Villeneuve

Darkanny, ce commentaire - ici - va peut être te donner envie pour nous ouvrir un fil sur Maylis de Kerangal?
En tout cas j'ai bien envie mainenant de le découvrir.. le résumé me tente..

Pour Aériale je le sais, mais peut être d'autres parfumés qui aiment l'Argentine.. la littérature argentine??
Eventuellement pour Maline - avec une Foire à Frankfort à venir avec le pays invité: l'Argentine??



Hernán Ronsino, Dernier train pour Buenos Aires

Citation :

Présentation de l'éditeur
Ce roman aussi court que marquant se situe dans un bourg à 150 km de Buenos Aires. Il donne la parole tour à tour à plusieurs narrateurs à des époques différentes et emporte le lecteur dans une sorte de roman puzzle parsemé d’indices qui prennent au fil du texte toute leur importance. Que s’est-il vraiment passé dans cette petite ville de province, il y a bien des années ? Pourquoi Vardemann, le coiffeur taciturne, se demande-t-il s’il doit ou non pardonner à Miguelito sur son lit de mort ? Qui était la Negra et pourquoi a-t-elle pris un jour le train pour Buenos Aires et n’est jamais revenue ? Elle avait des jambes sublimes, la Negra Miranda, de quoi faire tourner la tête des jeunes hommes du bourg, de quoi rendre fou de jalousie un mari policier… Tour à tour, chacun dit ce qu’il sait, les souvenirs estompés, l’abandon, la vengeance. Et soudain, à la dernière ligne, tout s’éclaire.

Je le note, merci Kena!
Il me semble que Traversay aussi parlait d'un auteur argentin dernièrement...Je vais chercher!

kenavo a écrit:

Darkanny, ce commentaire - ici - va peut être te donner envie pour nous ouvrir un fil sur Maylis de Kerangal?
En tout cas j'ai bien envie mainenant de le découvrir.. le résumé me tente..

oui mais faut que je lise son dernier car "Corniche Kennedy" c'est un peu loin , j'ai du mal quand je laisse passer trop de temps pour poster sur le sujet.

darkanny a écrit:

oui mais faut que je lise son dernier car "Corniche Kennedy" c'est un peu loin , j'ai du mal quand je laisse passer trop de temps pour poster sur le sujet.

de même pour moi.. Corniche Kennedy est un souvenir trop lointain.. mais son nouveau me dit vraiment et je vais aussi me l'acheter.. donc, on va avoir un fil pour elle dans les prochaines semaines

Pour Nezumi (parce qu'elle a déjà parlé de cet auteur) mais aussi pour d'autres parfumés qui aiment ce sujet



Michel Pastoureau

Citation :

Présentation de l'éditeur
Croma est un grand livre de photos, un objet précieux, un hommage des plus grands photographes du monde à toutes les nuances de couleurs. Les couleurs sont omniprésentes dans nos vies, elles nous entourent, influencent notre environnement, nos comportements, notre langage et notre imaginaire avec leur sens caché. À travers le rouge, le vert, le jaune, le bleu, le noir et le blanc Croma donne vie à un dialogue silencieux de 347 images (paysages, portraits, objets…) La préface et les textes d’introduction de Michel Pastoureau donnent toutes les clés pour comprendre le sens et appréhender la force des couleurs.

mais à ce prix, faudra attendre le père Noël

Très très très intéressant...

Merci pour l'info! je ne sais pas si j'attendrai jusqu'à Noël...

Nezumi a écrit:

Merci pour l'info! je ne sais pas si j'attendrai jusqu'à Noël...

Noël a d'ailleurs déjà commencé pour moi.. à partir du 1er octobre c'est trop facile de se faire un petit cadeau "pour Noël" parce que c'est tellement proche

D'ailleurs, chacun sait que Noël est une période super-stressante, le rush de dernière minute, les achats à faire tous en même temps etc. C'est donc bien mieux d'étaler Noël sur le reste de l'année!