Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Le cinéma de traversay

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyLun 11 Oct 2010 - 23:05

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 52009

Le repas des fauves (Christian-Jaque, 1964)
Sous l'Occupation, sept amis se retrouvent réunis pour un repas d'anniversaire. Deux officiers allemands sont abattus sous leurs fenêtres. Un capitaine de la Gestapo demande aux invités de désigner eux-mêmes deux d'entre eux comme otages.
Un huis-clos pendant lequel les masques tombent et où les rancoeurs et la peur révèlent la bassesse des uns et des autres, qu'ils soient collaborateurs ou faux résistants. Le film doit tout aux dialogues de Henri Jeanson, acérés et cruels au possible, qui transforment le psychodrame en comédie de moeurs impitoyable. Grand numéro de Francis Blanche, Claude Rich et Claude Nicot.

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 Le_Repas_des_fauves_01
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyMer 13 Oct 2010 - 21:47

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 20090722153638-singapore

Singapour (Singapore, John Brahm, 1947)
Aimez-vous Brahm ? Oui, quand il tourne une poignée de films noirs, modèles déposés (Le médaillon), lui qui vient de l'école expressionniste allemande. Beaucoup moins, lorsqu'il s'attaque au genre exotico-romantico-fumeux tel ce Singapour à l'improbable scénario flanqué d'un dénouement sous forme de happy-end ridicule. Au côté d'un Fred McMurray aussi expressif qu'un poulpe, Ava Gardner, au summum de sa beauté, éblouit. C'est une consolation.

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 Album.fred_ava


Dernière édition par traversay le Mer 20 Oct 2010 - 0:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyDim 17 Oct 2010 - 23:04

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 Domino_principle

La théorie des dominos (The Domino Principle, Stanley Kramer, 1977)
Un échantillon du cinéma de complot très à la mode dans le cinéma américain des années 70, une décennie après l'assassinat de Kennedy. C'est assez efficace mais guère crédible car bourré d'invraisemblances. A la décharge de Kramer, le film devait durer 3 heures et a été quasi coupé de moitié. Gene Hackman est impeccable, comme d'habitude.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyMer 20 Oct 2010 - 0:32

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 28139

Les héros sont fatigués (Yves Ciampi, 1955)
Un pays anglophone d'Afrique. Tristes tropiques, rendez-vous des déclassés, des épaves et des aventuriers. Le scénario n'est pas plus mauvais qu'un autre, autour de diamants volés, et l'ambiance est moite sous les aisselles. Distribution internationale : l'ancien de la Luftwaffe (Jürgens), le beau gosse ancien résistant (Montand), l'ex-collabo imbibé d'alcool et de ressentiments (Servais), la bombe latina (Felix), plus quelques comparses opportunistes ou paumés. Le tout, dans une ambiance de fête, parce que les noirs, n'est-ce pas, ne pensent qu'à s'amuser (le film n'est pas ouvertement raciste mais laisse planer un doute). Le genre de film qui fit hurler les critiques des Cahiers du cinéma à l'époque et qui, aujourd'hui se révèle tel qu'il est : un divertissement exotique pas si mal fichu.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyMer 20 Oct 2010 - 0:39

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 44700

La fureur des hommes (From Hell to Texas, Henry Hathaway, 1958)
Un western très pur, bien de la manière de Hathaway. Une ligne narrative simple : un type, faussement accusé de meurtre, est poursuivi par une poignée de justiciers qui ne veulent rien savoir. Tourné dans des décors naturels somptueux, le film est avant tout un plaidoyer convaincant contre la violence. Avec son héros frêle des genoux, mais bon tireur quand même, faut pas pousser, et une petite histoire d'amour bien mignonnette. Pas loin d'être un classique du genre.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptySam 23 Oct 2010 - 18:11

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Fort Bravo (Escape from Fort Bravo, John Sturges, 1953)
Excellent western dans le décor naturel de Monument Valley. Des rebelles sudistes se font la belle, une escouade nordiste les poursuit, les indiens s'invitent au jeu. Rien que du classique, mais bien écrit, même la note sentimentale ne semble pas ridicule, c'est dire. William Holden, la classe ; Eleanor Parker, le charme. La mise en scène ne fait pas de prodiges, ce n'est que du John Sturges.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyDim 24 Oct 2010 - 22:30

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Lucky Jo (Michel Deville, 1964)
Pas un grand Deville, pas un médiocre non plus. Une histoire de gendarmes et de voleurs pas très sérieuse, ce qui autorise quelques bagarres roboratives, où Eddie Constantine perd à peine son chapeau. Les Brasseur père et fils, en flics patelins, ne sont pas mal non plus. Du Melville qui aurait été réécrit par Echenoz ou Oster, si on veut situer. Un fort parfum de désenchantement flotte sur le film, et pas uniquement parce que les cadavres s'accumulent. A la fin, Constantine part seul avec un cocker qui ne lui appartient même pas. Un Deville, même léger, ça reste bien !

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 Lucky_Jo_1
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyLun 25 Oct 2010 - 9:00

de bons acteurs de belles femmes, souvenir de tes derniers films vus !

bonne continuation

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyLun 25 Oct 2010 - 11:09

Merci Bédoulène, "Ma" lectrice Very Happy

J'ai un coffret Louise Brooks qui m'attend. Voir ou revoir Loulou, Prix de beauté et Le journal d'une fille perdue.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyLun 25 Oct 2010 - 15:15

Merci Bédoulène, "Ma" lectrice sourire


des thèmes assez sombres (d'après ce que j'en lis) comme l'époque (?)
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyLun 25 Oct 2010 - 17:01


Louise attaque ! (1)

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Mary Louise Brooks est née en 1906 dans l'Etat du Kansas. Adolescente, elle débute comme danseuse et se produit à Broadway où elle est remarquée par les studios américains. Elle signe pour la Paramount et tourne dès 1925 dans des comédies légères jusqu'au rôle charnière de Une fille dans chaque port de Howard Hawks en 1928. William Wellman l'engage pour Les mendiants de la vie où elle fait sensation. Indépendante, elle se tient à l'écart du monde hollywoodien et part tourner en Europe, sous la direction de Pabst, un film, Loulou, dont le traitement cru des moeurs sexuelles en fait une véritable icône. Elle joue ensuite dans Le journal d'une fille perdue et Prix de beauté, films en partie censurés. Elle retourne à Hollywood mais figure désormais sur une liste noire qui l'empêche de tourner. En 1938, humiliée d'avoir à apparaître dans des séries B, elle se retire du show businesss et travaille quelques années comme vendeuse dans un grand magasin de New York. Réhabilitée dans les années 50, elle se lance dans l'écriture de scénarios, une fois surmonté son problème avec l'alcool. Après deux mariages sans enfant, elle vit seule pendant de nombreuses années avant de s'éteindre paisiblement en 1985. Au total, elle n'aura tourné que dans une petite vingtaine de films mais elle est aujourd'hui considérée comme l'une des plus belles et grandes actrices de l'histoire du cinéma.

Loulou (Die Büchse der Pandora, G.W Pabst, 1929)
C'est après voir vu Une fille dans chaque port, de Hawks, que Pabst décide d'engager Louise Brooks, plutôt que Marlene Dietrich, pour son adaptation de deux pièces du dramaturge allemand Wedekind. Et c'est ainsi qu'une icône nait. Scandaleusement belle, scandaleusement immorale, scandaleusement libre : la Loulou de Pabst outrage les bonnes moeurs (ne séduit-elle pas un père et son fils, n'entretient-elle pas une relation homosexuelle ?). Le côté sulfureux et érotique de la chose semble bien dépassé aujourd'hui mais, dans l'Allemagne pré-nazie de 29, on ne plaisante pas avec ça. Résultat : le film est mutilé au mépris de toute chronologie. Il faudra attendre 1980 pour qu'une restauration soit présentée dans sa version originelle de 2h12. Dans le film, Louise Brooks oscille entre la femme fatale et la jeune fille (presque) innocente et victime. Elle a plus qu'un point commun avec la Nana de Zola, d'ailleurs adaptée par Renoir, deux ans plus tôt. Quant au style de Pabst, il appartient davantage à l'école réaliste qu'à l'expressionnisme, hormis les dernières séquences brumeuses de Londres.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyLun 25 Oct 2010 - 23:01

Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 2192_3

Règlement de comptes à O.K. Corral (Gunfight at the O.K. Corral, John Sturges, 1957)
Wyatt Earp, shériff de la légende de l'ouest. On ne compte plus les films où il apparait. John Sturges montre son savoir-faire, mais aussi ses limites. L'action aurait mérité d'être resserrée. La mise en scène manque d'énergie. L'affrontement final tient ses promesses, mais c'est le duo Lancaster/Douglas qui tient le baraque. Solidement.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyMar 26 Oct 2010 - 22:48

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L'inconnu de Las Vegas (Ocean's eleven, Lewis Milestone, 1960)
Il est impossible de ne pas comparer l'original avec son remake par Soderbergh, 40 ans plus tard. Exercice un peu vain, l'esprit est le même, mais la deuxième version a bénéficié de moyens tout autres et d'un metteur en scène bien au-dessus d'un Milestone, qui se contente d'assurer le minimum syndical. Quant à comparer la coolitude du Rat Pack (Dean Martin, Frank Sinatra, Sammy Davis Jr, etc.) à celle des Clooney, Pitt et consorts, là encore, c'est sans intérêt. D'un côté un film des années 60, divertissant et classe ; de l'autre un film des années 2000, brillant et très classe (ses deux suites ne sont pas au même niveau, hélas).

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyMer 27 Oct 2010 - 9:27

de nombreuses versions de ce fameux duel ! une présence ce Burt Lancaster !


l'Inconnu de Las Vegas : de bons acteurs de l'époque

à tantôt



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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 33 EmptyMer 27 Oct 2010 - 15:38

Louise attaque ! (2)

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Le journal d'une fille perdue (Das Tagebuch einer Verlorenen, G.W Pabst, 1929)
Moins immédiatement séduisant que Loulou à cause d'un scénario davantage convenu. En revanche, la mise en scène est plus brillante. Cette adaptation d'un roman de Margarete Böhme est avant tout une attaque au vitriol contre la bourgeoisie allemande. Son héroïne ne trouve t-elle pas une certaine forme de bonheur au sein du bordel où elle échoue, alors qu'elle a vêcu un enfer familial ? Le rôle de Louise Brooks a beau ne pas avoir la même ampleur que dans Loulou, l'actrice est néanmoins exceptionnelle, démontrant une palette de jeu incomparable. Jugé scandaleux, le film fut censuré. L'actuelle version de 105 minutes est malgré tout très proche de la version initiale.

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