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| La première Guerre mondiale en livres et en images | |
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Auteur | Message |
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Constance Zen littéraire
Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010
| | | | Constance Zen littéraire
Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Mer 14 Mai 2014 - 14:34 | |
| . - Citation :
- A-t-on vraiment saoulé le soldat avant les assauts ? - Pourquoi l'uniforme français ne pouvait-il être que bleu clair ? - Que doit-on à Louis Adrian ? - Pourquoi la guerre est-elle devenue mondiale ? - Pourquoi tant de soldats avaient-ils une canne ? Jean-Pierre Verney, qui a permis l'ouverture du Musée de la Grande Guerre de Meaux en cédant plus de 20 000 objets, allie le savoir d'un historien à une connaissance intime du conflit au quotidien. Il était donc la personne idéale pour répondre aux questions passionnantes que cette incroyable guerre continue de soulever. L'ouvrage aborde aussi bien le service postal, les toiles de camouflage, l'art des tranchées, le sport, la condition féminine que la Suisse, le Siam, les jardiniers de Salonique ou les troupes chinoises et russes envoyées en France.
Immense collectionneur, Jean-Pierre Verney, a été commissaire de plusieurs expositions sur la Grande Guerre. Il a participé à la bande-dessinée « Putain de guerre » de Jacques Tardi, et il a été conseiller technique sur Un long dimanche de fiançailles de Jean-Pierre Jeunet. Il est également l’auteur de La Grande Guerre en relief (Editions Les Arènes). | |
| | | majeanne Main aguerrie
Messages : 466 Inscription le : 05/06/2008 Age : 64 Localisation : le Grand Sud
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Jeu 15 Mai 2014 - 13:03 | |
| J'ai eu un peu de mal avec "la grande permission" qui a suivi "le feu".
Les "envolées lyriques" de Wiechert (auteur que j'avais beaucoup apprécié ds "les enfants Geronime") après le style sobre et cru de Barbusse c'était pas évident.
Une bonne lecture tout de même. | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Ven 16 Mai 2014 - 10:05 | |
| Wiechert est absent des rayons de la médiathèque... dommage... et pour infos : - Citation :
- Sortis directement de l'enfer de 14-18, l'un censuré, l'autre publié en clandestinité, deux pamphlets féroces et hallucinés, celui de l'allemand Fritz von Unruh et celui de l'austro-hongrois Andreas Latzko, pour dénoncer la folie de la guerre.
source : Le Matricule des anges Le chemin du sacrifice Fritz von UnruhHommes en guerre Andreas Latzko | |
| | | Constance Zen littéraire
Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Dim 18 Mai 2014 - 11:31 | |
| - majeanne a écrit:
- J'ai eu un peu de mal avec "la grande permission" qui a suivi "le feu".
Les "envolées lyriques" de Wiechert (auteur que j'avais beaucoup apprécié ds "les enfants Geronime") après le style sobre et cru de Barbusse c'était pas évident.
Une bonne lecture tout de même. J'ai achevé la lecture de "La grande permission" hier soir. Il est vrai que certaines envolées lyriques, dans la veine exacerbée du romantisme allemand confinent parfois au ridicule, toutefois je me suis laissée porter par le sublime souffle poétique de certains passages. | |
| | | Constance Zen littéraire
Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Lun 26 Mai 2014 - 12:54 | |
| Pour agrandir la collection de GGG ... . - Citation :
- La société française porte un regard intense, souvent chargé d’émotion, sur la Première Guerre mondiale. La richesse des recherches menées ces dernières années comme les préparatifs de son centenaire en témoignent une fois encore. Comment alors rendre compte d’un tel événement ? Comment en faire le récit aujourd’hui ?
À partir de 100 mots clés, André Loez éclaire les multiples facettes de la Grande Guerre. S’il fait la part belle aux citations et aux mots de l’époque, c’est pour donner à entendre la voix des contemporains et se faire l’écho de leur expérience de cette guerre. Il dresse surtout un panorama des savoirs actuels tout en pointant les questions encore débattues par les historiens. Mot après mot, sont ainsi racontés l’entrée en guerre et ses causes, le déroulement du conflit, ses acteurs, la vie des soldats du front et celle des sociétés à l’arrière, l’empreinte laissée par la guerre, ainsi que sa mémoire. Table des matières :- Spoiler:
Alcool – Alliances – Alsace-Lorraine – Anciens combattants – Archéologie – Argot – Arme – Armistices – Artisanat de tranchées – Artistes, intellectuels, universitaires – « As » – Atrocités – Barbelé – Bataille de la Marne – Bataille de la Somme – Blessés – Bleu horizon – Blocus et guerre sous-marine – Brest-Litovsk – « Brutalisation » – Buts de guerre – Camaraderie – Caporetto – Censure – « Chanson de Craonne » – Chars d’assaut – Chemin des Dames – Cinéma – Clemenceau – Conscription et volontariat – Correspondance – « Coup de poignard dans le dos » – « Crapouillots » – Déclaration Balfour – « Der des ders » – Deuil – Économie de guerre – Églises et papauté – Embusqués – Empires coloniaux – Enfants et orphelins – Ennemi – Espionnage et « espionnite » – Fraternisations – Front / Arrière – Fusillés – Gallipoli – Généraux – Génocide des Arméniens – Grippe espagnole – Guerre courte – Guerre mondiale – « Guerre totale » – « Gueules cassées » – Guillaume II – Infirmières – Inflation – Médailles – Mines (guerre des) – Mobilisation – Monuments aux morts – Munitionnettes – Musées – Mutineries – Nationalités – Négociations secrètes – « No man’s land » – Obus – Occupations – Offensive – Officiers – Origines immédiates de la guerre – Pacifismes – Permission – Pétain – « Poilu » – Prisonniers – Profiteurs – Propagande – Prostitution – Reconstruction – Réfugiés – Régénération – Réparations – Révolutions – Rumeur – Sarajevo – Sépultures – « Shell-Shock » – Société des nations – Soldat inconnu – Soldats et travailleurs coloniaux – Témoignages – Traité de Versailles – Tranchées – « Union sacrée » – Verdun – Wilson – Ypérite – Zeppelin
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| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Jeu 29 Mai 2014 - 15:49 | |
| reprise d'une partie d'un message de Sigismond sur le fil Giono : ici - Sigismond a écrit:
- Il me semble qu'il faudrait peut-être "lier" ce texte au fil "La guerre de 14..." (enfin, la modération verra). L'extrait est long, très pudding et quasi magmaïen même; Giono, sans art, en style presque télégraphique. Mais le contenu se suffit, amplement, l'art du romancier serait superflu, qui sait s'il ne dénaturerait pas ou n'en atténuerait pas l'inhumanité absolue, recevons-donc ce récit brut - et n'hésitez pas à le faire partager - comme dit Animal "En y réfléchissant, il suffirait peut-être de regarder dehors et penser à des drames toujours actuels"...
- extrait de recherche de la pureté a écrit:
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- Spoiler:
Sous le fer de Verdun les soldats tiennent. Pour un endroit que je connais, nous tenons parce que les gendarmes nous empêchent de partir.On en a placé des postes jusqu'en pleine bataille, dans les tranchées de soutien, au-dessus du tunnel de Tavannes. Si on veut sortir de là il faut un ticket de sortie. Idiot mais exact. Non pas idiot, terrible. Au début de la bataille, quand quelques corvées de soupe réussissent encore à passer entre les barrages d'artillerie, arrivées là, elles doivent se fouiller les cartouchières et montrer aux gendarmes le ticket signé du capitaine. L'héroïsme du communiqué officiel, il faut ici qu'on le contrôle soigneusement. Nous pouvons bien dire que si nous restons sur ce champ de bataille, c'est qu'on nous empêche soigneusement de nous en échapper. Enfin, nous y sommes, nous y restons; alors, nous nous battons ? Nous donnons l'impression de farouches attaquants; en réalité nous fuyons de tous les côtés. Nous sommes entre la batterie de l'hôpital, petit fortin, et le fort de Vaux, qu'il nous faut reconquérir. Cela dure depuis dix jours. Tous les jours, à la batterie de l'hôpital, entre deux rangées de sacs à terre, on exécute sans jugement au revolver ceux qu'on appelle les déserteurs sur place. On ne peut pas sortir du champ de bataille, alors maintenant on s'y cache. On creuse un trou; on s'enterre; on reste là. Si on vous trouve on vous traîne à la batterie et entre deux rangées de sacs à terre on vous fait sauter la cervelle. Bientôt il va falloir faire accompagner chaque homme par un gendarme. Le général dit "ils tiennent". A Paris est un historien qui s'apprête à conjuguer à tous les temps et à toutes les personnes (y compris la sienne) le verbe "tenir à Verdun". Ils tiennent, mais, moi général, je ne me hasarderais pas à supprimer les gendarmes ni à conseiller l'indulgence à ce colonel du 52ème d'infanterie qui est à la batterie de l'hôpital. Cela dure depuis quinze jours. Depuis huit jours les corvées de soupe ne reviennent plus. Elles partent le soir à la nuit noire et c'est fini, elles se fondent comme du sucre dans du café. Pas un homme n'est retourné. Ils ont tous été tués, absolument, tous, chaque fois, tous les jours sans exceptions. On n'y va plus. On a faim. On a soif. On voit là-bas un mort couché par terre, pourri et plein de mouches mais encore ceinturé de bidons et de boules de pain passées dans un fil de fer. On attend que le bombardement se calme. On rampe jusqu'à lui. On détache de son corps les boules de pain. On prend les bidons pleins. D'autres bidons ont été troués par les balles. Le pain est mou. Il faut seulement couper le morceau qui touchait le corps. Voilà ce qu'on fait tout le jour. Cela dure depuis vingt-cinq jours. Depuis longtemps il n'y a plus de ces cadavres garde-manger. On mange n'importe quoi. Je mâche une courroie de bidon. Vers le soir, un copain est arrivé avec un rat. Une fois écorché, la chair est blanche comme du papier. Mais, avec mon morceau à la main, j'attends malgré tout la nuit noire avant de manger. On a une occasion pour demain: une mitrailleuse qui arrivait tout à l'heure en renfort a été écrabouillée avec ses quatre servants à vingt mètres en arrière de nous. Tout à l'heure on ira chercher les musettes de ces quatre hommes. Ils arrivaient de la batterie. Ils doivent avoir emporté à manger pour eux. Mais il ne faudrait pas que ceux qui sont à notre droite y aillent avant nous. Ils doivent guetter aussi de dedans leur trou. Nous guettons. L'important c'est que les quatre soient morts. Ils le sont. Tant mieux. Cela dure depuis trente jours. C'est la grande bataille de Verdun. Le monde entier a les yeux fixés sur nous. Nous avons de terribles soucis. Vaincre ? résister ? tenir ? faire notre devoir ? Non. Faire nos besoins. Dehors, c'est un déluge de fer. C'est très simple: il tombe un obus de chaque calibre par minute et par mètre carré. Nous sommes neuf survivants dans un trou. Ce n'est pas un abri, mais les quarante centimètres de terre et de rondins sur notre tête sont devant nos yeux une sorte de visière contre l'horreur. Plus rien au monde ne nous fera sortir de là. Mais ce que nous avons mangé, ce que nous mangeons se réveille plusieurs fois par jour dans notre ventre. Il faut que nous fassions nos besoins. Le premier de nous que ça a pris est sorti; depuis deux jours il est là, à trois mètres devant nous, mort déculotté. Nous faisons dans du papier et nous le jetons là devant. Nous avons fait dans de vieilles lettres que nous gardions. Nous sommes neuf dans un espace où normalement on pourrait tenir à peine trois serrés. Nous sommes un peu plus serrés. Nos jambes et nos bras sont emmêlés. Quand un veut seulement plier son genou nous sommes tous obligés de faire les gestes qui le lui permettront. La terre de notre abri tremble autour de nous sans cesse. Sans cesse les graviers, la poussière et les éclats soufflent dans ce côté qui est ouvert vers le dehors. Celui qui est le près de cette sorte de porte a le visage et les mains écorchés de mille petites égratignures. Nous n'entendons plus à la longue les éclatements des obus; nous n'entendons que le coup de masse d'arrivée. C'est un martellement ininterrompu. Il y a cinq jours que nous sommes là-dedans sans bouger. Nous n'avons plus de papier ni les uns ni les autres. Nous faisons dans nos musettes et nous les jetons dehors. Il faut démêler ses bras des autres bras, et se déculotter, et faire dans une musette qui est appuyée sur le ventre d'un copain. Quand on a fini on passe la saleté à celui de devant, qui la passe à l'autre qui la jette dehors. Septième jour. La bataille de Verdun continue. De plus en plus héros. Nous ne sortons toujours pas de notre trou. Nous ne sommes plus que huit. Celui qui était devant la porte a été tué par un gros éclat qui est arrivé en plein dedans, lui a coupé la gorge et l'a saigné. Nous avons essayé de boucher la porte avec son corps. Nous avons bien fait. Une sorte de tir rasant qui s'est spécialisé depuis quelques heures sur ce morceau du secteur fait pleuvoir sur nous des éclats de recul. Nous les entendons frapper dans le corps qui bouche la porte. Malgré qu'il ait été saigné comme un porc avec la carotide ouverte, il saigne encore à chacune de ces blessures qu'il reçoit après la mort. J'ai oublié de dire que depuis plus de dix jours aucun de nous n'a de fusil, ni de cartouches, ni de couteau, ni de baïonette. Mais nous avons de plus en plus ce terrible besoin qui ne cesse pas, qui nous déchire. Surtout depuis que nous avons essayé d'avaler de petites boulettes de terre pour calmer la faim, et aussi parce que cette nuit il a plu et, comme nous n'avions pas bu depuis quatre jours, nous avons léché l'eau de la pluie qui ruisselait à travers les rondins et aussi celle qui venait de dehors et qui coulait chez nous par dessous le cadavre qui bouche la porte. Nous faisons dans notre main. C'est une dysenterie qui coule entre nos doigts. On ne peut même pas arriver à jeter ça dehors. Ceux qui sont au fond essuient leurs mains dans la terre à côté d'eux. Les trois qui sont près de la porte s'essuient dans les vêtements du mort. C'est de cette façon que nous nous apercevons que nous faisons du sang. Du sang épais, mais absolument vermeil. Beau. Celui-là a cru que c'était le mort sur lequel il s'essuyait qui saignait. Mais la beauté du sang l'a fait réfléchir. Il y a maintenant quatre jours que ce cadavre bouche la porte et nous sommes le 9 août, et nous voyons bien qu'il se pourrit. Celui-là avait fait dans sa main droite; il a passé sa main gauche sur son derrière; il l'a tirée pleine de ce sang frais. Dans le courant de ce jour-là nous nous apercevons tous à tour de rôle que nous faisons du sang. Alors, nous faisons carrément sur place, là, sous nous. J'ai dit que nous n'avons plus d'armes depuis longtemps; mais nous avons tous notre quart passé dans une courroie de notre équipement, car nous sommes à tous moments dévorés par une soif de feu, et de temps en temps nous buvons notre urine. C'est l'admirable bataille de Verdun. Deux ans plus tard, au Chemin des Dames, nous nous révolterons (à ce moment-là je survivais seul de ces huit derniers) pour de semblables ignominies. Pas du tout pour de grands motifs, pas du tout contre la guerre, pas du tout pour de grands mots d'ordre, simplement parce que nous en avons assez de faire dans notre main et de boire notre urine. Simplement parce qu'au fond de l'armée, l'individu a touché l'immonde.
Voilà...à vous lire, si ça vous inspire (?), c'est un des plus forts témoignages que j'ai trouvé sur ladite "Grande Guerre", s'ensuit immédiatement dans le texte d'où c'est extrait ("Recherche de la pureté") un autre témoignage, sur les révoltes dans les troupes, récit lui aussi tout ce qu'il y a de plus recommandable ! | |
| | | Constance Zen littéraire
Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Ven 30 Mai 2014 - 12:54 | |
| Edith Cavell, naît 4 décembre 1865 à Swardeston, dans le Norfolk, elle est fusillée le 12 octobre 1915 à Schaerbeek, en Belgique. En avril 1896, elle entre au Royal London Hospital comme aide-infirmière. En 1907, elle part pour Bruxelles où elle nommée infirmière en chef à l'institut Berkendael à Ixelles. Antoine Depage fonde une école d'infirmières dont il lui confie la direction générale. Quand la Première Guerre mondiale éclate, l'école et l'institut sont pris en main par la Croix-Rouge de Belgique. Edith Cavell et ses élèves soignent les blessés quelle que soit leur nationalité : alliés ou allemands. Mais elle participe également à un mouvement de Résistance, en aidant des centaines de soldats alliés à passer de la Belgique occupée vers les Pays-Bas neutres grâce à un réseau d'évasion organisé par des Belges de la région de Mons et des Français de la région de Lille. En juin 1915, deux hommes se présentent à l'institut se prétendant soldats français en fuite. L'un est Gaston Georges Quien, un français qui fut condamné à mort pour trahison en 1919, et l'autre un agent allemand infiltré. Les arrestations des membres du réseau débutent le 31 juillet 1915. Tous sont jugés les 7 et 8 octobre 1915. Edith Cavell ne se défend pas, admettant les actes qui lui sont reprochés. Six des accusés sont condamnés à mort le 11 octobre 1915. Pour faire cesser les protestations internationales conduites par l'ambassadeur Brand Whitlock, les juges allemands font exécuter Edith Cavell le lendemain à 2 h du matin au Tir National, un site militaire (aujourd'hui mémorial). Edith Cavell par Georges Belllows (1918) - Citation :
- Après la guerre, son corps est exhumé et ramené au Royaume-Uni. Après un service mémorial à l'abbaye de Westminster conduit par le roi George V, sa dépouille est conduite par train spécial à Thorpe Station, à Norwich, où elle repose aujourd'hui. (Source Wikipedia)
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| | | Sigismond Agilité postale
Messages : 875 Inscription le : 25/03/2013
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Ven 27 Juin 2014 - 16:02 | |
| Pour continuer avec Giono, il faut un jour que je prenne le temps de commenter ses écrits non romanesques; bon, ça ne sera pas à la hauteur, mais tant pis. Ce qui est dénoncé dans cette vidéo, il le pressent, quant il ne le met en évidence, et pendant l'entre-deux-guerres encore...
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| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Ven 27 Juin 2014 - 17:16 | |
| un lien très intéressant, merci Sigismond | |
| | | majeanne Main aguerrie
Messages : 466 Inscription le : 05/06/2008 Age : 64 Localisation : le Grand Sud
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Dim 20 Juil 2014 - 13:29 | |
| Passé un bon moment avec " Un long dimanche de fiançailles" de Japrisot | |
| | | Constance Zen littéraire
Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010
| | | | majeanne Main aguerrie
Messages : 466 Inscription le : 05/06/2008 Age : 64 Localisation : le Grand Sud
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Sam 9 Aoû 2014 - 15:13 | |
| "Le diable au corps" de Radiguet
"Taïa" de t' Serstevens | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Dim 10 Aoû 2014 - 16:05 | |
| J'ai visité ce w end l'église de Préaux du perche dont le vitrail principal a été utilisé comme un monument funéraire avec les noms et parfois la photo des poilus morts pour la France. Sur l'un des murs de la charmante petite église les photos et les vies de cette vingtaine de poilus (pour une commune de 600 habitants, gloups) sont relatées en quelques mots. Je suis sortie particulièrement émue par cet endroit de mémoire et troublée par les histoires de ces hommes aux vies et surtout aux morts épouvantables. | |
| | | topocl Abeille bibliophile
Messages : 11706 Inscription le : 12/02/2011
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images Lun 11 Aoû 2014 - 11:19 | |
| l'expo 14 à la gare de l'est (jusqu'au 30 novembre.) | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: La première Guerre mondiale en livres et en images | |
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| | | | La première Guerre mondiale en livres et en images | |
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