Nos lectures de janvier 2014

GrandGousierGuerin a écrit:

Armor-Argoat a écrit:

L'auteur, vétérinaire comportementalisme, explore les causes et conséquences du phénomène de l'attachement chez l'animal, avec des ponts vers les humains.

J'ai du m'y reprendre à deux fois pour enfin comprendre que tu ne parlais pas de notre cher admin ...  

  

GrandGousierGuerin a écrit:

Naufrages de Yoshimura

J'adore la couverture  

Actes Sud a depuis toujours le chic des très belles couvertures

et concernant ton nouvel avatar: faut pas le changer de si tôt, il est e-x-t-r-a

kenavo a écrit:

et concernant ton nouvel avatar: faut pas le changer de si tôt, il est e-x-t-r-a

Dommage ... Il ne va tenir que cette semaine ... J'ai encore 22 autres avatars à placer sans en créer de nouveaux ....
Mais heureusement que tu tiens à jour la collection ...
Merci à toi conservatrice d'avatars   

dommage... mais autant que cela ne bouge ou ne clignote pas, tout changement est ok

kenavo a écrit:

dommage... mais autant que cela ne bouge ou ne clignote pas, tout changement est ok

Il y en aura   

J'ai lu quelques chapitres de La lie de la terre de Koestler et comme il faut attendre, j'ai débuté La montage volante.

Propagandes silencieuses - Ignacio Ramonet


Presse, pub et "culture" au sens large, particulièrement le cinéma sont autant de vecteurs de manipulation mentale, et maintenant mondiale avec Internet, pour faire obéir et consommer.

Cela, on le sait déjà, mais c'est une bonne synthèse de cette société de distractions et d'activités pseudo-intellectuelles qui nous enorgueillissent, tout en nous tenant...muselés !

Pour le plus grand bonheur des politiques, surtout ceux qui disent incarner LA - "THE" démocratie.

Huxley souvent cité en toile de fond et avec raison.

On ne parle pas assez de son Monde meilleur, qui avait tout prévu...


SOIXANTE-QUATRE MILLE REPETITIONS FONT LA VERITE.

A. Huxley

shanidar a écrit:

La panne de Durrenmatt sous-titré : Une histoire encore possible car nous dit l'auteur dans une très courte première partie : C'est dans ce monde hanté seulement par la panne, dans ce monde où il ne peut plus rien arriver sinon des pannes, que nous nous avançons désormais (...)

Argh, je n'aurais pas dû lire ça, maintenant ça a piqué ma curiosité. é_è  

Méphistophélès a écrit:

shanidar a écrit:

La panne de Durrenmatt sous-titré : Une histoire encore possible car nous dit l'auteur dans une très courte première partie : C'est dans ce monde hanté seulement par la panne, dans ce monde où il ne peut plus rien arriver sinon des pannes, que nous nous avançons désormais (...)

Argh, je n'aurais pas dû lire ça, maintenant ça a piqué ma curiosité. é_è  

ce qu'on appelle le coup de la panne !   (un tout petit livre qui se lit très vite et reste sans doute très longtemps en mémoire..., commentaire complet demain !)
je commence Zones de Jean Rolin   

Ha! ha!

Arabella a écrit:

j'ai débuté La montage volante.

Je me demande ce que tu vas en penser.   

pia a écrit:

Arabella a écrit:

j'ai débuté La montage volante.

Je me demande ce que tu vas en penser.   

de même...

Après L'alcool et la nostalgie et La côte sauvage, deux lectures fortes, je reste dans les trios infernaux et je relis Les enfants terribles de Cocteau.

Terminé Vie de poète de Robert Walser. Je poursuis de plus belle avec Ce peuple qui ne fut jamais souverain de Roger et Jean-François Payette. En marge de mes cours cette session-ci, ce livre s'avère une excellente réflexion-méditation.

Topocl, tu as une vitesse de lecture incroyablement élevée !   

pia a écrit:

colimasson a écrit:

pia a écrit:

Steven a écrit:

Je lis Crime et châtiment de Dostoïevski.

Je veux absolument lire du Dostoïevski un jour...

Tiens, c'est drôle, moi aussi

Une petite LC?

J'allais te le proposer justement... et je pense que ça pourrait aussi intéresser Heyoka

Armor-Argoat a écrit:

Je lis un livre très intéressant qui m'a été offert : Au risque d'aimer de Claude Béata.

L'auteur, vétérinaire comportementalisme, explore les causes et conséquences du phénomène de l'attachement chez l'animal, avec des ponts vers les humains. Il insiste notamment sur la notion de plaisir, quasi absente des études scientifiques, parce que non quantifiable. Pourtant, et sa démonstration est très probante, l'attachement chez les mammifères ne peut s'expliquer par les seules contraintes de la survie.
Un exemple ? Il est impossible de faire adopter un orphelin par une brebis primipare. Par contre, une femelle ayant déjà eu d'autres petits l'acceptera volontiers ; cette attitude serait inexplicable si le petit n'était que contraintes. Par contre, si on inclut le plaisir partagé à être ensemble, là, ça s'explique…
Bref, c'est vraiment intéressant, et d'une lecture fluide, grâce notamment aux nombreuses anecdotes rapportées.
Saviez-vous, par exemple, que certains perroquets donnent "un nom" à leurs petits ? Les appelant par une vocalise propre à chacun, et qu'ils vont conserver tout au long de leur vie.

N'empêche, j'ai relevé une erreur. (D'autant plus remarquée que l'auteur parle d'un documentaire que j'avais vu et qui m'avais marquée). Bref, il parle d'un troupeau d'éléphants, lors d'une sécheresse, et de la décision difficile que doit prendre une maman d'abandonner ou non son petit. Le troupeau a un peu attendu, mais ça devient impossible, le danger de mort est trop grand. L'auteur nous écrit donc que  "le patriarche" décide de reprendre sa marche.
Sauf que… Sauf que chez les éléphants, les mâles adultes sont solitaires. Les troupeaux ne sont composés que de femelles et de jeunes mâles. Et le chef du troupeau est toujours une matriarche, l'une des femelles les plus âgées et expérimentées. Et normalement, un vétérinaire qui regarde plein de documentaires animaliers sait ça.

Vous me direz, c'est un détail. Oui oui, mais  un détail qui montre bien le poids du patriarcat sur nos esprits…   

(Merci de ne pas déplacer ce petit commentaire, j'essaierai d'un faire un un peu plus présentable en fin de lecture).

Intéressant, merci.

J'ai commencé Son excellence Eugène Rougon de Zola.