Nos lectures de janvier 2014

je vais chainer avec Vaisseaux dans le ciel de Gunnar Gunnarson.

J'ai commencé la côte sauvage de Jean René Huguenin. C'est charmant, les fiancés se vouvoient. Mais avec ce frère tourmenté, on sent que ça ne va pas rester charmant longtemps.

topocl a écrit:

J'ai commencé la côte sauvage de Jean René Huguenin. C'est charmant, les fiancés se vouvoient. Mais avec ce frère tourmenté, on sent que ça ne va pas rester charmant longtemps.

houlà.. Je l'ai lu il y a 100 ans.. Mais c'était bien, à l'époque?

Je lis un polar Mauvaise étoile de R. J. Ellory, Ce que j'appelle oubli de Laurent Mauvignier, et la BD sur les Kerguelen ( reçue en 3 exemplaires, car comment ne pas l'offrir à Papa qui y a passé 14 mois à batifoler avec les éléphants de mer, oui, il était fou avant, mais même si on l'appelait Papa Freud là bas, ça ne l'a pas arrangé..passons) Voyage aux Iles de la Désolation d'Emmanuel Lepage.

Marie a écrit:

la BD sur les Kerguelen ( reçue en 3 exemplaires, car comment ne pas l'offrir à Papa qui y a passé 14 mois à batifoler avec les éléphants de mer, oui, il était fou avant, mais même si on l'appelait Papa Freud là bas, ça ne l'a pas arrangé..passons) Voyage aux Iles de la Désolation d'Emmanuel Lepage.

oh, tu vas nous dire... elle se trouve depuis un bon moment sur ma LAL

Avadoro a écrit:

Les lois de la frontière (Javier Cercas)

  ah oui, je l'ai commandé, très curieuse de voir ton avis... j'adore tellement cet auteur...

pia a écrit:

Steven a écrit:

Je lis Crime et châtiment de Dostoïevski.

Je veux absolument lire du Dostoïevski un jour...

Tiens, c'est drôle, moi aussi

animal a écrit:

je vais chainer avec Vaisseaux dans le ciel de Gunnar Gunnarson.

Ah! Comment tu vas ressentir la lecture? J'avais beaucoup aimé ce livre..., et j'ai encore d'autres de lui en attente.

Steven a écrit:

pia a écrit:

   

Steven a écrit:

Je lis Crime et châtiment de Dostoïevski.

Je veux absolument lire du Dostoïevski un jour...

J'avais déjà lu Le joueur, qui est, dans mon souvenir, un livre très fort. L'idiot également, mais j'ai une préférence pour Le joueur. Là, je me régale, avec les monologues du début... J'aime beaucoup pour l'instant.

Le joueur? le titre ne m'attire pas vraiment. Ça ne veut surement rien dire. Mais…L’idiot….Crimes et châtiments….Mon cœur balance.

colimasson a écrit:

pia a écrit:

Steven a écrit:

Je lis Crime et châtiment de Dostoïevski.

Je veux absolument lire du Dostoïevski un jour...

Tiens, c'est drôle, moi aussi

Une petite LC?

La panne de Durrenmatt sous-titré : Une histoire encore possible car nous dit l'auteur dans une très courte première partie : C'est dans ce monde hanté seulement par la panne, dans ce monde où il ne peut plus rien arriver sinon des pannes, que nous nous avançons désormais (...)

colimasson a écrit:

pia a écrit:

Steven a écrit:

Je lis Crime et châtiment de Dostoïevski.

Je veux absolument lire du Dostoïevski un jour...

Tiens, c'est drôle, moi aussi

Moi aussi.   

Marie a écrit:

topocl a écrit:

J'ai commencé la côte sauvage de Jean René Huguenin. C'est charmant, les fiancés se vouvoient. Mais avec ce frère tourmenté, on sent que ça ne va pas rester charmant longtemps.

houlà.. Je l'ai lu il y a 100 ans.. Mais c'était bien, à l'époque?

Je lis un polar Mauvaise étoile de R. J. Ellory, Ce que j'appelle oubli de Laurent Mauvignier, et la BD sur les Kerguelen ( reçue en 3 exemplaires, car comment ne pas l'offrir à Papa qui y a passé 14 mois à batifoler avec les éléphants de mer, oui, il était fou avant, mais même si on l'appelait Papa Freud là bas, ça ne l'a pas arrangé..passons) Voyage aux Iles de la Désolation d'Emmanuel Lepage.

Batifoler avec les éléphants de mer ? ça m’a l’air d’un sacré personnage ton père!   

Heyoka a écrit:

colimasson a écrit:

pia a écrit:

Steven a écrit:

Je lis Crime et châtiment de Dostoïevski.

Je veux absolument lire du Dostoïevski un jour...

Tiens, c'est drôle, moi aussi

Moi aussi.   

 Tiens!   

Marie a écrit:

topocl a écrit:

J'ai commencé la côte sauvage de Jean René Huguenin. C'est charmant, les fiancés se vouvoient. Mais avec ce frère tourmenté, on sent que ça ne va pas rester charmant longtemps.

houlà.. Je l'ai lu il y a 100 ans.. Mais c'était bien, à l'époque?

Oui je l'avais lu aussi, et c'était bien en effet (ma folie relecture compense ma PAL vide). Un peu tôt pour se prononcer. Peut être quel le héros torturé qui emmerde tout le monde va moins bien passer à la cinquantaine qu'à l’adolescence. A suivre...

Je lis un livre très intéressant qui m'a été offert : Au risque d'aimer de Claude Béata.

L'auteur, vétérinaire comportementalisme, explore les causes et conséquences du phénomène de l'attachement chez l'animal, avec des ponts vers les humains. Il insiste notamment sur la notion de plaisir, quasi absente des études scientifiques, parce que non quantifiable. Pourtant, et sa démonstration est très probante, l'attachement chez les mammifères ne peut s'expliquer par les seules contraintes de la survie.
Un exemple ? Il est impossible de faire adopter un orphelin par une brebis primipare. Par contre, une femelle ayant déjà eu d'autres petits l'acceptera volontiers ; cette attitude serait inexplicable si le petit n'était que contraintes. Par contre, si on inclut le plaisir partagé à être ensemble, là, ça s'explique…
Bref, c'est vraiment intéressant, et d'une lecture fluide, grâce notamment aux nombreuses anecdotes rapportées.
Saviez-vous, par exemple, que certains perroquets donnent "un nom" à leurs petits ? Les appelant par une vocalise propre à chacun, et qu'ils vont conserver tout au long de leur vie.

N'empêche, j'ai relevé une erreur. (D'autant plus remarquée que l'auteur parle d'un documentaire que j'avais vu et qui m'avais marquée). Bref, il parle d'un troupeau d'éléphants, lors d'une sécheresse, et de la décision difficile que doit prendre une maman d'abandonner ou non son petit. Le troupeau a un peu attendu, mais ça devient impossible, le danger de mort est trop grand. L'auteur nous écrit donc que "le patriarche" décide de reprendre sa marche.
Sauf que… Sauf que chez les éléphants, les mâles adultes sont solitaires. Les troupeaux ne sont composés que de femelles et de jeunes mâles. Et le chef du troupeau est toujours une matriarche, l'une des femelles les plus âgées et expérimentées. Et normalement, un vétérinaire qui regarde plein de documentaires animaliers sait ça.

Vous me direz, c'est un détail. Oui oui, mais un détail qui montre bien le poids du patriarcat sur nos esprits…   

(Merci de ne pas déplacer ce petit commentaire, j'essaierai d'un faire un un peu plus présentable en fin de lecture).

Armor-Argoat a écrit:

Je lis un livre très intéressant qui m'a été offert : Au risque d'aimer de Claude Béata.

L'auteur, vétérinaire comportementalisme, explore les causes et conséquences du phénomène de l'attachement chez l'animal, avec des ponts vers les humains. Il insiste notamment sur la notion de plaisir, quasi absente des études scientifiques, parce que non quantifiable. Pourtant, et sa démonstration est très probante, l'attachement chez les mammifères ne peut s'expliquer par les seules contraintes de la survie.
Un exemple ? Il est impossible de faire adopter un orphelin par une brebis primipare. Par contre, une femelle ayant déjà eu d'autres petits l'acceptera volontiers ; cette attitude serait inexplicable si le petit n'était que contraintes. Par contre, si on inclut le plaisir partagé à être ensemble, là, ça s'explique…
Bref, c'est vraiment intéressant, et d'une lecture fluide, grâce notamment aux nombreuses anecdotes rapportées.
Saviez-vous, par exemple, que certains perroquets donnent "un nom" à leurs petits ? Les appelant par une vocalise propre à chacun, et qu'ils vont conserver tout au long de leur vie.

N'empêche, j'ai relevé une erreur. (D'autant plus remarquée que l'auteur parle d'un documentaire que j'avais vu et qui m'avais marquée). Bref, il parle d'un troupeau d'éléphants, lors d'une sécheresse, et de la décision difficile que doit prendre une maman d'abandonner ou non son petit. Le troupeau a un peu attendu, mais ça devient impossible, le danger de mort est trop grand. L'auteur nous écrit donc que  "le patriarche" décide de reprendre sa marche.
Sauf que… Sauf que chez les éléphants, les mâles adultes sont solitaires. Les troupeaux ne sont composés que de femelles et de jeunes mâles. Et le chef du troupeau est toujours une matriarche, l'une des femelles les plus âgées et expérimentées. Et normalement, un vétérinaire qui regarde plein de documentaires animaliers sait ça.

Vous me direz, c'est un détail. Oui oui, mais  un détail qui montre bien le poids du patriarcat sur nos esprits…   

(Merci de ne pas déplacer ce petit commentaire, j'essaierai d'un faire un un peu plus présentable en fin de lecture).

Intéressant ... J'attends avec impatience ton commentaire final ...

Armor-Argoat a écrit:

L'auteur, vétérinaire comportementalisme, explore les causes et conséquences du phénomène de l'attachement chez l'animal, avec des ponts vers les humains.

J'ai du m'y reprendre à deux fois pour enfin comprendre que tu ne parlais pas de notre cher admin ...  

Naufrages de Yoshimura

J'adore la couverture  

Armor-Argoat a écrit:

(Merci de ne pas déplacer ce petit commentaire, j'essaierai d'un faire un un peu plus présentable en fin de lecture).

maintenant que tu es modo, tu as les atouts de le replacer dans ce fil mais pas de soucis, on ne déplace pas