Nos lectures de février 2014

Grosse maline que je suis, j'ai posté en janvier.
Je recommence!
Je pars dans la taïga sibérienne avec John Vaillant: je pourchasse Le tigre

topocl a écrit:

Grosse maline que je suis, j'ai posté en janvier.
Je recommence!
Je pars dans la taïga sibérienne avec John Vaillant: je pourchasse Le tigre

Et grosse maline bis que je suis, j'allais te répondre en janvier.
Je recommence !
Le résumé de ce voyage dans la taïga sibérienne est prometteur.

Jérôme de Martinet est en attente ... mais pas abandonné  

Amit Chaudhuri, Un nouveau monde. Je n'accroche pas vraiment, ça me paraît assez superficiel, et les petites réflexions qui se veulent profondes tombent parfois comme des cheveux sur le soupe. ( Je me demande quand même  si la traduction n'y est pas parfois pour quelque chose. Certaines phrases m'étonnent.) Bref, ça n'est pas inintéressant, ça se lit, mais sans enthousiasme.
De lui, j'ai Une étrange et sublime adresse ; ce sont des nouvelles, et je pense que son style peut bien s'y prêter. J'avais aussi craqué sur un roman paru cette année, Les immortels, dont l'action se déroule dans une famille de chanteurs de musique classique indienne. A le feuilleter, le style me paraît très différent, bien plus "proche" des personnages. Le peu que j'avais pu lire m'avait bien plu. A voir...

Je poursuis Ce peuple qui ne fut jamais souverain et je viens de débuter la lecture du recueil poétique de René Lapierre, Pour les désespérés seulement. Ce dernier recueil s'est mérité le prix du gouverneur-général en 2013.

GrandGousierGuerin a écrit:

Jérôme de Martinet est en attente ... mais pas abandonné  

Ben alors !

Armor-Argoat a écrit:

Amit Chaudhuri, Un nouveau monde. Je n'accroche pas vraiment, ça me paraît assez superficiel, et les petites réflexions qui se veulent profondes tombent parfois comme des cheveux sur le soupe. ( Je me demande quand même  si la traduction n'y est pas parfois pour quelque chose. Certaines phrases m'étonnent.) Bref, ça n'est pas inintéressant, ça se lit, mais sans enthousiasme.
De lui, j'ai Une étrange et sublime adresse ; ce sont des nouvelles, et je pense que son style peut bien s'y prêter. J'avais aussi craqué sur un roman paru cette année, Les immortels, dont l'action se déroule dans une famille de chanteurs de musique classique indienne. A le feuilleter, le style me paraît très différent, bien plus "proche" des personnages. Le peu que j'avais pu lire m'avait bien plu. A voir...

Je me demande aussi parfois si ce ne sont pas les traductions qui me gâchent le livre!

Je viens de finir Ravages de Violette Leduc et je commence La dame N˚13 de José Carlos Somoza. Tellement contente de commencer ce bouquin !

Dire qu'on est déjà en février, je n'ai pas vu passer janvier.   

Revenons-en à la lecture, j'ai commencé Café de l'Europe d'Anton Kuh et vais certainement lire du Nietzsche en parallèle (je n'ai encore jamais essayé, j'espère que la traduction n'est pas trop mauvaise même si on m'a souvent dit le contraire).

Méphistophélès a écrit:

Dire qu'on est déjà en février, je n'ai pas vu passer janvier.   

de même!

Méphistophélès a écrit:

Revenons-en à la lecture, j'ai commencé Café de l'Europe d'Anton Kuh

hm... je viens de faire un peu de recherches pour voir ce que c'était... très intéressant... et personnage intriguant...
tout comme je me l'imaginais, il n'aimait pas son nom de famille: Kuh est le mot allemand pour vache
à la question d'un ami qui lui demandait pourquoi il était toujours si agressif, il a répondu:

Wenn einer Kuh heißt und ernst genommen werden will, muß er so tun, als wäre er ein Stier

Si quelqu'un qui s'appelle Kuh (Vache) veut être pris au sérieux, il doit faire comme s'il serait un taureau  

Lecture principale: Steve Tesich -Karoo
Lectures intermittentes: Nouvelles - Too much happiness - Alice Munro et Quatre jours de Vsevolod Garchine
Lecture poètique: Anthologie de la poèsie russe du XIXème siècle
Lecture spirituelle: Maître Eckhart/Paroles pour chaque jours

Méphistophélès a écrit:

...et vais certainement lire du Nietzsche en parallèle (je n'ai encore jamais essayé, j'espère que la traduction n'est pas trop mauvaise même si on m'a souvent dit le contraire).

Jamais lu en français, mais comme toujours on se demande qu'est-ce qui se perd dans une traduction. Nietzsche est quand même assez inventif, pathétique, créatif... en allemand. Ce qui va avec le contenu, on pourrait le dire, en allemand, aussi de sa langue: "wortgewaltig"... (Racines: riche/fort/impressionant voit imposant, en paroles).

Si jamais tu peux déchiffrer l'allemand, cela serait une belle chose de mettre l'originale à coté de la traduction (p.ê quand même néccessaire). Je pense on VOIT cette puissance à l'oeuvre.

Alors en continuant en allemand le livre de Meckel sur son père, je commence "trop de bonheur" de notre dernier Prix Nobel.

Contes du vampire.