de retour de la bibliothèque...

ah Les eaux étroites...

- Francisco Goldman : Dire son nom

- Renata Vigano : Agnès va mourir

- Cees Nooteboom : Hotel Nomade

- Adalbert Stifter : Le Sentier forestier et autres nouvelles

- Robert Walser : Petite prose

- Henri Calet : Un grand voyage

- James Sallis : Drive

- Arthur Rimbaud : Correspondance, 1888-1891

- Mastroianni-sur-mer d'Enrique Vila-Matas
- Théâtre de l'apesanteur de Philippe More
- Les coq-à-l'âne, de Norge
- La résistance en héritage. Le discours culturel des essayistes de Liberté (2006-2011) de Rachel Nadon

À propos de la dernière, il est drôle de constater qu'elle m'a interviewé à mes débuts en Études littéraires et qu'elle est rendu aujourd'hui au niveau de doctorat. J'ai commencé à lire le livre qui est tiré d'un mémoire de maîtrise et je dois dire que j'apprécie la facture de l'analyse.

De l'assassinat considéré comme un des Beaux-Arts de Thomas de Quincey (à peine emprunté, déjà entamé !)

La route de Beit Zera d'Hubert Mingarelli

Trois tristes tigres de Guillermao Cabrera Infante

Après avoir emprunté plusieurs livres il y a deux jours et que je n'ai pas mentionné complètement ici, j'ai fait un tour à la bibliothèque municipale pour faire le plein des recueils de poésie, d'analyse littéraire et de carnets d'écrivains. Je note Grosse guitare rouge de Patrice Desbiens que je n'avais toujours pas lu... J'ajoute à ceci le tout dernier recueil de Caroline Louisseize, Répliques.

Suite à un challenge avec quelques amis Parf, je suis revenue avec:

Le seigneur des porcheries- Tristan Egol

Avril Enchanté-Elizabeth Von Arnim

L'idiot- Dostoïevski-

Paysage avec palmiers de Bernard Wallet

Maurice à la poule de Matthias Zschokke

Personne n'est allé à la bibliothèque depuis plus de deux semaines...? Ça paraît que nous sommes encore en période de vacances...

J'avais relâché et espacé mes visites à la bibliothèque dans les dernières semaines. J'ai rallongé plusieurs prêts jusqu'à l'extrême-limite. Je pataugeais encore un peu parmi les lectures qui tenaient davantage du débarras et des thèmes recyclés qu'autre chose... j'ai tracé un sillon qui est le mien depuis janvier. Il fallait bien que je fasse le point là-dessus avant de poursuivre plus loin.

Présentement, je spotte à nouveau les derniers arrivages poétiques susceptibles de m'intéresser, mais je prends également le parti de m'intéresser à des lectures poétiques étrangères au Québec...

J'ai pris des recueils d'Emily Dickinson (Lieu-dit l'éternité), Valérie Rouzeau (Neige rien), Michel Monnereau (Je suis passé parmi vous), William Carlos Williams (Les humeurs) et deux recueils de Dominique Gaucher (Avant de renoncer et Trajets, passages et autres déménagements d'atomes).

J'ai emprunté un grand nombre de séries (Downton Abbey, Law and Order, 2e saison et un documentaire historique sous forme de série sur la famille Roosevelt) et de films (au nombre de cinq, dont l'adaptation du vieil homme et de la mer, Serpico et trois films québécois, dont un film où Sophie Desmarais joue, celle qui passe pour moi comme l'Audrey Hepburn québécoise post-2000).

Pas mal pour un programme de vacances, jack !

Peut-être, mais je ne lis pas autant que je le voudrais en certaines occasions. Une chance que je voyage les matins en autobus quand je me rends au travail.

oh Jack tu arrives à lire dans l'autobus..............chapeau !

bonne lecture à tous

Quand le voyage est assez long, je résiste mal à l'envie de plonger la tête dans mes lectures.

J'ai emprunté Récits en rêve d'Yves Bonnefoy où se trouvent : L'Arrière-pays, Rue traversière, Remarque sur la couleur, l'Origine de la parole.
Les titres sont très aguicheurs !

C'est marrant, j'ai le même livre dans ma bibliothèque et je songeais à le lire, juste avant que Bonnefoy décède. C'est comme Maurice Pons aussi, il est mort trois jours après que j'ai terminé ses Saisons qui m'ont déçu. Y a eu d'autres coïncidence comme ça, cette année.

Je ne suis définitivement pas fait pour Bonnefoy, du moins à ce qu'il me semble...

J'ai pris plusieurs recueils de poésie à la bibliothèque. J'ai fait maison nette là-dessus.

Je note deux recueils anthologiques de Mahmoud Darwich. J'ai retenu des lectures féminines d'Anise Koltz, Louise Warren et Claire Genou. Je me suis mis sur les cas d'Aimé Césaire, Daniel Dargis, Nuno Judice et Martine Audet. J'ai mis la main sur Le guetteur mélancolique de Guillaume Apollinaire. J'ose espérer que ce sera mieux que Poèmes à Lou. Il y a sûrement aussi une question d'attentes et de circonstances qui font que j'appréhende un type de poésies plus ouvrières.