Nos lectures de mai 2014

colimasson a écrit:

Hé, salut Heyoka !   

Hé, salut Limace !  

topocl a écrit:

Je pars en Argentine avec l'autobus de Eugenia Almeida

Je peux me glisser dans ton sac à dos ?

- Syster :  Bengt Ohlsson. - Phébus

Ce livre a bénéficié d' une bonne critique. Je vous tiendrai au courant...

Heyoka a écrit:

topocl a écrit:

Je pars en Argentine avec l'autobus de Eugenia Almeida

Je peux me glisser dans ton sac à dos ?

T'es pas trop lourde, au moins?
(en fait, le problème c'est que tout au long du livre, l'autobus n'arrive pas, donc, je t'emmènerai peut-être une autre fois)

L'enfant criminel de Genet
L'homme qui plantait des arbres de Giono

Bien, sans plus.

Et j'ai acheté

Bartleby le scribe de Melville
Bleu presque transparent de Ryu Murakami
Les belles endormies de Kawabata

Quatre nouvelles de Balzac :

Adieu
La maison du chat qui pelote
Le Chef d'oeuvre inconnue
La femme abandonnée

tina a écrit:

églantine a écrit:

Joyce Cary :Sara

Et tu aimes ???

Tina , grâce à toi , je me régale , merci !      

La bonne surprise de trouver sur les rayonnages de la librairie le dernier roman traduit de Saneh Sangsuk: Seule sous un ciel dément aussitôt commencé.

Dreep a écrit:

Bartleby le scribe de Melville
Bleu presque transparent de Ryu Murakami

Finalement Tu as acheté Bartleby le scribe?
J'ai lu Miso soup de Ryû et j'aime son écriture. Des scènes assez durs parfois...

Après un démarrage difficile (je te comprends Kenavo), je suis à peu entrée dans L'arrière saisons de Stifter. Le rythme est lent, il ne se passe pour ainsi dire rien, il y a une image de la société inimaginablement rétrograde (la place des femmes et des classes laborieuses est digne de Pétain) et pourtant cela dégage un charme étrange au final. Je vais voir si cela tient jusqu'au bout des 650 pages....

Arabella a écrit:

Après un démarrage difficile (je te comprends Kenavo), je suis à peu entrée dans L'arrière saisons de Stifter. Le rythme est lent, il ne se passe pour ainsi dire rien, il y a une image de la société inimaginablement rétrograde (la place des femmes et des classes laborieuses est digne de Pétain) et pourtant cela dégage un charme étrange au final. Je vais voir si cela tient jusqu'au bout des 650 pages....

Oui, on dit généralement que la littérature allemande de l'époque n'était pas très à la pointe, quand on compare à ce qui se faisait par exemple en France à la même époque...

Après Alexis Zorba (Nikos Kazantzaki ; très sympathique), j'ai bien entamé Les Petites filles et la mort (Alexandre Papadiamantis, un auteur grec de la deuxième moitié du XIX ° siècle : extrêmement sombre, et là on se dit qu'on préfère encore la place des femmes sous Pétain à celle de cette Grèce, dans laquelle la mort est une délivrance... les hommes qui ne sont pas des bons à rien partent tous à l'étranger... c'est vraiment très sinistre).

Papadiamantis est réputé etre une des fondateurs modernes de la langue.
Mais c' est vrai qu' il est sinistre. J' ai lu Les petites filles et la mort et aussi L' amour dans
la neige.
Dans le genre noir, il  me fait penser à Andreiev, Ungar ou encore Sadegh Hedayat...
A lire à  petites doses ou alors s' ennivrer...

Marko a écrit:

La bonne surprise de trouver sur les rayonnages de la librairie le dernier roman traduit de Saneh Sangsuk: Seule sous un ciel clément aussitôt commencé.

J'espère que tu en diras plus (j'ai beaucoup aimé Venin)...

pia a écrit:

Dreep a écrit:

Bartleby le scribe de Melville
Bleu presque transparent de Ryu Murakami

Finalement Tu as acheté Bartleby le scribe?
J'ai lu Miso soup de Ryû et j'aime son écriture. Des scènes assez durs parfois...

J'attends toujours ma commande (Pierre ou les ambiguïtés) Mais comme Bartleby le scribe est court je vais le lire dans la lancée.

shanidar a écrit:

Marko a écrit:

La bonne surprise de trouver sur les rayonnages de la librairie le dernier roman traduit de Saneh Sangsuk: Seule sous un ciel clément aussitôt commencé.

J'espère que tu en diras plus (j'ai beaucoup aimé Venin)...

J'y compte bien!

Sur récommandation parfumée j'ai emprunté et commencé à lire Les Golovlev de Saltykov-Chtchedrine.

Arabella a écrit:

Après un démarrage difficile (je te comprends Kenavo), je suis à peu entrée dans L'arrière saisons de Stifter. Le rythme est lent, il ne se passe pour ainsi dire rien, il y a une image de la société inimaginablement rétrograde (la place des femmes et des classes laborieuses est digne de Pétain) et pourtant cela dégage un charme étrange au final. Je vais voir si cela tient jusqu'au bout des 650 pages....

je n'ai toujours pas abandonné l'idée de le terminer un jour... la lecture s'est fait à un moment de mon déménagement, qui était plus stressant que prévu et du coup, Stifter n'était pas la bonne lecture