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| Patrick Modiano | |
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Auteur | Message |
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kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mar 13 Avr 2010 - 17:21 | |
| - Marko a écrit:
- Le premier à m'avoir emballé était Villa Triste
ô oui.. très bon choix.. c'est un de ceux que j'ai relu au moins 3 fois.. et par après on doit voir le film - traversay a écrit:
- Pourquoi pas par le premier : La place de l'Etoile ?
hm.. je ne recommande toujours pas un des sa 'trilogie' du début.. peut être parce que j'avais abandonné ma lecture la première fois.. par après j'ai bien aimé (et surtout il ne me restait plus aucun autre livre de lui à lire, alors il me fallait sauter dans cette expérience ).. oui, qui sait.. cela fera peut être aussi une bonne 'première'? Bédoulène va trouver quoi prendre - à part Un pédigré - pas touche avant au moins avoir lu la moitié de ses livres | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| | | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mar 13 Avr 2010 - 17:58 | |
| - Marko a écrit:
- Le Parfum d'Yvonne qui est un des "bons" films de Patrice Leconte. Il a pas mal rendu ce climat de réminiscences fantômatiques du passé et l'opacité de ce personnage de mythomane.
j'avais vu ce film avant d'avoir lu une ligne de Patrick Modiano.. et lorsque je suis arrivée lors de mes lectures à Villa triste, j'avais une impression de 'déjà vu'.. des recherches m'ont naturellement appris qu'il s'agissait du film à partir de ce livre.. que de joie, parce qu'il rend quand même très bien l'atmosphère.. je l'adore | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mar 13 Avr 2010 - 18:52 | |
| - Marko a écrit:
- kenavo a écrit:
- Marko a écrit:
- Le premier à m'avoir emballé était Villa Triste
ô oui.. très bon choix.. c'est un de ceux que j'ai relu au moins 3 fois.. et par après on doit voir le film
Le Parfum d'Yvonne qui est un des "bons" films de Patrice Leconte. Il a pas mal rendu ce climat de réminiscences fantômatiques du passé et l'opacité de ce personnage de mythomane.
Il va falloir que je vois ce film! Après avoir lu le livre bien sûr. |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mer 14 Avr 2010 - 8:15 | |
| Merci de vos réponses et je suivrai le conseil de Kena (ne pas lire tout de suite "un pédigré")
ce sera une vraie découverte car je ne suis jamais "montée" à Paris !
à tantôt
Dernière édition par Bédoulène le Mer 14 Avr 2010 - 17:56, édité 1 fois | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mer 14 Avr 2010 - 8:23 | |
| - Bédoulène a écrit:
- (ne pas lire tout de suite "un pédigré")
c'est comme si tu lisais 20 pages d'un polar et puis la dernière page pour savoir le meurtrier.. tu vas te gâcher la lecture.. "Un pédigrée" donne des explications pour beaucoup de choses dans les romans de Modiano.. c'est mieux de ne pas le lire tout de suite - Bédoulène a écrit:
- ce sera une vraie découverte car je ne suis jamais "montée" à Paris !
il y en a de ses romans qui ne se situent pas à Paris.. mais c'est vrai, ils sont rares.. en tous les cas, je te souhaite une bonne découverte | |
| | | Nathria Sage de la littérature
Messages : 2867 Inscription le : 18/06/2008 Age : 57
| Sujet: Re: Patrick Modiano Sam 17 Avr 2010 - 21:16 | |
| L'horizonEtrange écriture semblable à celle de la transcription du souvenir d'un rêve qu'on viendrait de faire. Belle histoire avec une fin si touchante! j'en ai des frissons rien qu'à y repenser... J'ai aimé (entre autres) le passage de la machine à écrire avec les lettres qui donnent l'exotisme nécessaire au texte! Et j'ai noté ce passage: P78: Demander à des avocats de le défendre contre quoi? La vie? Il s'imaginait mal face au professeur Ferne et à maître Suzanne Ferne, eux solennels et lui se laissant aller aux confidences, essayant de leur expliquer le sentiment de culpabilité qu'il éprouvait depuis son enfance sans savoir pourquoi, et cette impression désagréable de marcher souvent sur du sable mouvant...D'abord, il n'avait jamais confié ses états d'âmes à personne ni n'avait jamais demandé aucune aide à quiconque. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Patrick Modiano Lun 19 Avr 2010 - 20:01 | |
| - Nathria a écrit:
- L'horizon
Etrange écriture semblable à celle de la transcription du souvenir d'un rêve qu'on viendrait de faire. Belle histoire avec une fin si touchante! Oui... Je viens de lire quelques avis sur ce site: http://blogs.lexpress.fr/prixdeslecteurs/2010/03/patrick-modiano-lhorizon-galli.php Je cite certaines phrases très justes. "Des souvenirs en forme de nuages flottants », cette expression qui figure en page 156 de L’horizon ne serait-elle pas une belle définition de ce qui fait l’unité et l’originalité de l’œuvre de Patrick Modiano ?" "Quant à l’horizon, dessine-t-il un avenir, des lignes de fuite ?" "Se plonger dans un roman de Modiano, c’est un peu comme s’installer devant un café en compagnie d’un ami et l’écouter captivée raconter son histoire, notre histoire, l’Histoire." " les personnes croisées deviennent de potentielles belles rencontres et nos sentiments eux-mêmes sont sublimés par la magie de l’art. L’horizon ne fait pas exception à la règle." "Alors quand les dernières pages se profilent, on devient fébrile, déçu, sachant qu’il faudra attendre quelque temps avant la prochaine rencontre." "Comment exprimer le plaisir à ne faire aucun effort pour être emporté par l’histoire de cet homme, qui nous ouvre sa mémoire." "Le prodige est que jamais la nostalgie ne pollue le désir d’avenir de Jean Bosmans" "Un livre qui se savoure, sans fin. Avec des douceurs de mots qui fondent sous la langue. Avec des temps savamment mélangés. Des souvenirs chancelants. Des secrets ombrageux. Un Paris habité. Des noms de rues délicatement servis sous cloche. Des amoureux inquiets et intemporels qui luttent contre l'oubli. Ici le lecteur, pris aux mots, reste atablé aux pages jusqu'au bout. Un roman léger en bouche. Un roman voyageur. "Quiconque a lu une page de ce livre résiste à une journée de voyage." comme dirait Goethe." "On pourrait presque parler ici aussi d’"impressionnisme littéraire".Certains faits manquent au puzzles, certes, mais chaque moment relaté est vécu par le lecteur qui devient acteur de la scène grâce à l’écriture juste et sans fioriture de Modiano, qui se concentre sur la perception et qui fait de ce roman une sorte de rêve inscrit dans une époque parisienne, que l’on lit avec plaisir tout en essayant nous aussi de combler les trous " "(...)ce qui nous entoure est nimbé d’un halo poétique, nostalgique qu’on ne lui connaissait pas auparavant." Des avis négatifs que je ne partage pas mais il est tjrs intéressant de voir des avis différents (je n'ai pris que les passages intéressants): "Et pourtant, ce roman peine à enchanter le lecteur. Est-ce la froideur de l'écriture de Modiano, déjà ressentie lors de la lecture de La Ronde de nuit ? Il est difficile de s'attacher à ces personnages. L'auteur n'est pas un spécialiste de l'évocation des sentiments. Et même si on peut lire en filigrane un amour réciproque, on en vient à se demander pourquoi le narrateur en vient à se remémorer cet épisode particulier de sa vie, si ce n'est par la disparition inexpliquée de la belle." "J’avoue avoir été très déçue par « L’horizon » au risque d’être estampillée « amatrice de lettres ne sachant pas reconnaître la grande littérature » car je me suis ennuyée en lisant cette histoire d’amour entre le narrateur et une énigmatique Margaret Le Coz, mais en fait est ce vraiment une histoire d’amour ? Une errance dans les souvenirs, des errances dans les villes, une espèce d’immatérialité des choses et des êtres ne suffisent pas à faire un livre jubilatoire mais au contraire un texte qu’on parcourt dans un état presque cotonneux" "Si Modiano recompose parfaitement la façon dont les souvenirs resurgissent à la faveur d'un éclairage ou au détour d'une rue, j'avoue bien volontiers que l'histoire floue de cette femme n'a jamais suscité enmoi plus qu'un vague intérêt poli. Je ne suis hélas pas parvenue à m'attacher à ces personnages et à leurs motivations pour le moins nébuleuses, finalement soulagée de les laisser à la dernière page de ce roman qui m'a paru bien plus long qu'il n'est en réalité." Ah si j'ai tt de même eu une réticence semblable à celle de cette femme, mais qui ne s'est pas prolongée: "Je n’avais jamais lu de Modiano tant j’étais quelque part effrayée par l’étiquette systématique de créateur de chef d’œuvre, l’occasion était donnée de se lancer." |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Patrick Modiano Lun 19 Avr 2010 - 20:31 | |
| - Lara a écrit:
- Des avis négatifs que je ne partage pas mais il est tjrs intéressant de voir des avis différents
d'accord avec toi.. on ne peut pas s'enthousiasmer tous au même niveau pour un auteur/un livre.. je peux comprendre le point de vue des avis négatifs - mais heureusement pour moi, j'éprouve autrement chacun son univers littéraire | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Patrick Modiano Lun 24 Mai 2010 - 20:54 | |
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L’HORIZON
Pas de surprise…Toujours le même charme qui nous fait succomber…Un roman écrit dans le plus pur style modianesque…Des personnages aux contours mystérieux, qui surgissent du passé…Presque rien, un récit fragile, qui tremble comme la voix de son auteur…Ce qui est le plus précis, le plus net, comme toujours, les noms des lieux, des rues, les numéros… Je suis toujours étonnée de me laisser entraîner finalement au fil des pages des romans de Patrick Modiano qui racontent si peu, bercée par sa nostalgie.
Dans L’horizon, un écrivain, Jean Bosmans, dont on peut imaginer qu’il a une soixantaine d’années, se souvient de « ce qui aurait pu être et qui n'avait pas été »., de « brèves rencontres, rendez-vous manqués, lettres perdues, prénoms et numéros de téléphone figurant dans un ancien agenda et que vous avez oubliés, et celles et ceux que vous avez croisés sans même le savoir ».... Il inscrit tout cela dans un carnet et voilà que surgit la « matière sombre » : il se souvient, quarante ans plus tôt, et explore le souvenir. «Comme en astronomie, cette matière sombre était plus vaste que la partie visible de votre vie. Elle était infinie. […] Et lui, il répertoriait dans son carnet quelques faibles scintillements au fond de cette obscurité.»
«Il vous arrive de perdre au bout de quelques jours un objet auquel vous tenez beaucoup : trèfle à quatre feuilles, lettre d’amour, ours en peluche, alors que d’autres objets s’obstinent à vous suivre pendant des années sans vous demander votre avis. Quand vous croyez vous en être débarrassé pour de bon, ils réapparaissent au fond d’un tiroir.»
C’est le nom de Mérovée (personnage bien insignifiant dans l’histoire) qui le ramène à celui de Margaret Le Coz. Un amour de jeunesse, une jeune femme inquiète et solitaire, auréolée de mystère, qui disparut brusquement sans laisser de traces. D’origine bretonne, née à Berlin, ayant vécu à Annecy , puis gouvernante à Lausanne des enfants d’un certain Bagherian dont elle est la maîtresse occasionnelle , puis employée de bureau à Paris…Harcelée (pourquoi ?) par un type qui s’appelait Boyaval….On ne saura pas grand-chose finalement…
Bosmans, lui, à l’époque, commençait à écrire et travaillait dans une petite maison d’édition. Il avait une famille, étrange et caricaturale, qui le poursuivait pour lui demander de l’argent. On a peine à y croire…Des symboles, cette mère, « gorgone aux cheveux rouges », accompagnée de son mari qui a l’air d’un prêtre défroqué ?...Un véritable cauchemar…Un couple irréel…
Bosmans et Margaret doivent tous deux se cacher. Un brutal mouvement de foule les a fait se rencontrer… Et cet amour qui lie les deux esseulés n’est pas de ceux qui transportent. Plutôt une tendresse, un refuge… « Ils n'avaient décidément ni l'un ni l'autre aucune assise dans la vie. Aucune famille. Aucun recours. Des gens de rien. »
« Il y avait même des jours de soleil où Margaret ne le fixait plus de ses yeux inquiets. »
Bosmans va chercher à élucider le mystère Margaret Le Coz. Il y croit…Le pur hasard lui fait croiser dans un café une personne essentielle, une certaine Yvonne Gaucher …C’est à peine crédible…Il y a si longtemps!...Paris est un mouchoir de poche !...Mais les personnages ressemblent finalement plus à des fantômes qu’à des êtres réels.
« Pour la première fois, il avait dans la tête le mot : avenir, et un autre mot : l’horizon. Ces soirs-là, les rues désertes et silencieuses du quartier étaient des lignes de fuite, qui débouchaient toutes sur l’avenir et l’HORIZON».
"Il avait toujours imaginé qu'il pourrait retrouver au fond de certains quartiers les personnes qu'il avait rencontrées dans sa jeunesse, avec leur âge et leur allure d'autrefois. Ils y menaient une vie parallèle, à l'abri du temps... Dans les plis secrets de ces quartiers-là, Margaret et les autres vivaient encore tels qu'ils étaient à l'époque. Pour les atteindre, il fallait connaître des passages cachés à travers les immeubles, des rues qui semblaient à première vue des impasses et qui n'étaient pas mentionnées sur le plan. En rêve, il savait comment y accéder à partir de telle station de métro précise. Mais, au réveil, il n'éprouvait pas le besoin de vérifier dans le Paris réel. Ou plutôt, il n'osait pas... »
«Il suffisait d’entrer, de suivre le couloir jusqu’au bureau de la réception et de demander le numéro de la chambre de Margaret. Il devait bien rester des ondes, un écho de son passage dans cet hôtel et dans les rues avoisinantes.»
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| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mer 26 Mai 2010 - 14:50 | |
| Je viens de finir Villa Triste et je suis très contente de l'avoir enfin relu ! J'avais peur que Modiano soit un peu poussiéreux, qu'il ai mal vieilli, j'avais peur de m'ennuyer un peu, d'être déçue par le côté légèrement aristocratique de son propos. Et me voici peinée de devoir quitter si vite Yvonne, Victor et René (les trois protagonistes) qui m'ont enchantée. Le mystère, le secret, la douce torpeur, la fatigue qui lient, habitent, entament les personnages semble une sorte de filtre pour le lecteur, comme une invitation à la langueur, à prendre le temps du temps et j'aime cette manière un peu distanciée, un peu 'froide' de se laisser aller vers l'indolence. Les personnages semblent englués dans une toile qui les empêchent de casser leurs chaînes, René est lié à d'étranges personnes dont on n'apprendra rien, Yvonne à la paresse, le narrateur à son angoisse et chaque mouvement paraît être un effort. J'ai aimé cette langueur, les répétitions de lieux, de temps, le resserrement de l'écriture autour des trois personnages est aussi un astucieux moyen de ne pas perdre le lecteur, tout en ne lui donnant aucun détail sur la vie des uns et des autres. L'art de Modiano est tout entier dans le bercement hypnotique de sa narration, il est comme un serpent qui danse, se balance et envoûte. | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mer 26 Mai 2010 - 14:54 | |
| Aïe ! J'ai oublié de souligner à quel point Modiano peut être drôle ! Si, si ! Je ne suis pas sûre que ce soit le qualificatif le plus représentatif de cet auteur, mais j'ai beaucoup souri et même ri en lisant Villa Triste. Le personnage de René et son incroyable fascination pour la Reine Astrid, le dogue allemand et sa dépression chronique, les échappées inattendues du narrateur... oui, vraiment, Modiano est plein d'humour... | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mer 26 Mai 2010 - 15:46 | |
| Merci pour tes impressions de lectures Shanidar, et contente que tu as tentée de retrouver Modiano.. expérience réussie | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mar 14 Sep 2010 - 17:20 | |
| - kenavo a écrit:
- jack-hubert bukowski a écrit:
- Réussi à mettre la main sur un ouvrage assez neuf d'Anne-Yvonne Julien concernant Modiano ou les Intermittences de la mémoire.
uhu... merci pour ce titre.. mais il va falloir qu'il attende un peu.. à ce prix, c'est plutôt un cadeau de noël Qu'est-ce que vous en pensez de ce livre-là ? Je dois faire un cadeau à quelqu'un qui est fan de Modiano, mais je m'y connais peu voire pas du tout, je n'ai jamais rien lu de lui. Mais il a l'air intéressant pour quelqu'un féru de cet auteur... Quelqu'un l'a lu ? Kenavo peut-être ? |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Patrick Modiano Mar 14 Sep 2010 - 17:41 | |
| - Nezumi a écrit:
- Quelqu'un l'a lu ? Kenavo peut-être ?
non, je ne viens que de réaliser qu'il y a ce livre, grâce au message de Jack-Hubert, je l'ai noté, mais pas encore acheté (mais je pense que c'est un très beau cadeau pour tout fan de Modiano.. en tout cas, moi je vais me faire un cadeau avec celui-là ) en ce qui concerne les livres sur lui que j'ai lu (et écouté pour le 2ème) Lectures de Modiano - Citation :
- Présentation de l'éditeur
Lire Modiano est le premier ouvrage collectif denvergure consacré à lauteur de La Place de létoile, Rue des boutiques obscures ou, plus près de nous, Dora Bruder et Un pedigree. Les thèmes majeurs qui sous-tendent ses romans quelque vingt-cinq titres à ce jour sont abordés par des spécialistes de la littérature contemporaine : la question fondamentale de la mémoire et du genre autofictionnel, le rapport quasi obsessionnel de lécrivain à lHistoire, son imaginaire, tout en pointillés, de la ville et de quelques objets du quotidien. Autant détudes attentives et minutieuses qui éclairent les contours dune uvre faite dombres et de lumières et qui sest imposée comme lune des plus originales de ces quarante dernières années. Lire Modiano pour mieux le relire, en somme. Nadia Butaud, Patrick Modiano (livre + 1CD audio) | |
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