A la radio..

il y avait Chloe Delaume dans la radio ce matin :

Emission : Je l'entends comme je l'aime sur France Culture (qui finit à 8h) : clic là Queenie !

A la radio (je pense qu'elle ne peut s'écouter que sur le net) il y avait Philippe Forest et son “Siècle des nuages”. C'est sur Télérama radio, J’aime mieux lire
A écouter : ici

23. 30 France Culture Du jour au lendemain. Alain Veinstein reçoit Nathalie Kuperman pour
Nous étions des etres vivants.


Et puis jetez un coup d' oeil de temps en temps sur Arte Radio, c' est une radio magnifique, très inventive, bien plus que la chaine télévisuelle.

Tous les soirs à 20 h et jusqu' à vendredi sur France Culture, dans l' émission A voix nue, le peintre
Henri Cueco, un homme adorable et plein d' humour. Il est un pilier de l' émission Des papous
dans la tete...
"Ce peintre et écrivain vivant entre Corrèze et Paris, fut enseignant, syndicaliste, décorateur
de théatre, animateur culturel, mais aussi grand collectionneur, glaneur, amoureux des paysages et des bouts de ficelle qui ne servent à rien, dit sa productrice.

Je me souviens qu' à une époque, il gardait des patates chez lui et les peignait dans tous ses états
de transformtion...

Tariq Ali nous livre une analyse poussée de la dialectique Obamesque. Où comment le poids de ses mots volent en éclat face à la réalité et au poids de "l'empire américain". Tariq Ali, que je ne connaissais pas par ailleurs, expose, démontre. Vraiment passionant.

Citation :

Tariq Ali
Obama s’en va-en-guerre (Editions de la Fabrique)

Au lendemain des élections de mi mandat qui, le mois dernier, ont confirmé le désamour des Américains envers leur si séduisant président, Barack Obama n’a pas cherché à minimiser l’avertissement. Car s’il y a quelque chose qu’il sait toujours aussi bien agencer, ce sont les mots. Mais face à la crise économique qui a fait monter à 15 millions le nombre des chômeurs, face aux faillites personnelles de familles surendettées, aux inégalités qui s’accroissent, aux interventions militaires qui n’en finissent pas, les mots d’Obama, si hâtivement couronné par un étrange Prix Nobel, aujourd’hui, ont perdu leur pouvoir d’enchantement.

Tariq Ali n’a guère changé depuis Mai 68 où il était à la tête de la contestation étudiante en Grande Bretagne. Dirigeant de la New Left Review et de Verso, qui a édité Sartre, Levi Strauss, Althusser, il publie alternativement des romans qui racontent l’histoire des Lumières du monde musulman entre le IXè et le XIIIè siècle, tous publiés chez Sabine Wespieser, et des essais radicaux sur la politique dont le troisième vient de paraître aux éditions de La Fabrique. « Obama s’en va-t-en guerre » est une analyse précise et d’autant plus accablante de la politique réellement menée par le président démocrate depuis deux ans et du poids des intérêts qui l’ont porté au pouvoir. Tariq Ali est, ce soir, l’invité de l’Humeur Vagabonde. Ses propos seront interprétés par Xavier Combe.

L'humeur vagabonde

Et vers 21h00, dans Partir avec, Gwenaëlle Abolivier a dressé un portrait de Joseph Kessel ; un portrait qui n'évite pas les clichés mais où elle arrive à faire rencontrer cet homme :

Citation :

Bienvenue à tous dans « Partir Avec » notre émission du voyage et de l’ailleurs, où tous les mercredis soirs, nous plongeons dans les archives sonores et nous entendons de nouveau des voix qui ont marqué le XXème et qui continuent faire sens aujourd’hui. Ce sont des voix d’ hommes et de femmes, curieux du monde, qui portent en elles le souffle du grand large et goût de l’aventure !

Ils ont passé leur vie à bourlinguer et à arpenter la planète en tous sens, captant et observant, tout entier tournés vers les autres et la différence ! Ils s’appellent Jean Rouch, Paul-Emile Victor ou encore Ella Maillart.

Ce soir, nous partons avec l’un des plus grand reporters, un baroudeur intrépide un voyageur inlassable, surnommé « l’empereur » par tous ces confrères, il a passé sa vie à se rendre sur les points chauds du globe, pour être au plus prêt de l’actualité et du monde marche, mué par cette volonté farouche d’ informer ses lecteurs de bien des fureurs qui se prolongent aujourd’hui.

Témoin implacable, notre homme a toujours été « pressé d’avoir peur ». Cultivant un certain goût du risque et du danger, il devient reporter de guerre couvrant, les deux conflits mondiaux, une révolution, des guerres civiles et devient également , résistant de la première heure auprès de Charles de Gaulle.

Brillant conteur d’aventures, à la crinière flamboyante et au visage d’épopée, il s’inscrit dans la lignée des Conrad , Kipling Stevenson ou encore Jack London, en élevant le journalisme au rang de genre littéraire où il fait entendre, à travers plus de 80 romans, le chant des steppes et de la pampa, et celui des batailles et la souffrance du monde.

Celui qui déclarait « l’humanité de vaut pas cher mais je l’aime et quoi qu’il arrive, j’aime la vie » signe :

La steppe rouge, Belle de jour, Le lion, Les cavaliers, L’armée des ombres, les ou encore La passante du sans-souci.

Bienvenue à tous, ce soir dans « Partir Avec » nous avons rendez-vous avec un homme à la curiosité et la générosité contagieuse, a qui l’on doit d’avoir écrit le « Chant des Partisans », Joseph Kessel.

partir avec

Bon c'est pas pour parler d'une émission c'est juste pour dire que j'ai vu que la radio de chez moi a mis un lien pour aller sur le forum à propos d'un auteur.
Le livre qui a changé votre vie : Jean-Louis Ezine
Vous deroulez jusqu'à Jean-louis et le lien est à droite

C'est sympas de voir un lien comme ça sur la radio

Ce soir, sur France inter, Bryan Ferry est en concert privé !

Bravo !
Et d' ailleurs, il est toujours aussi brillant Ferry !

Pas comme d' autres !

Petit question pour les spécialistes es ordinateurs. Quand je veux faire un lien pour écouter en direct, ça me donne ça : [url=javascript:go_live();]javascript:go_live();[/url] et ça ne marche pas. Pourquoi ?

tu as pris le "lien" qui est derrière un bouton ou un "clic pour écouter" ? ce n'est pas une adresse (qui commencerait en http://) mais un appel de "fonction javascript" qui se débrouille en fonction de la page où tu te situes et d'autres trucs encore sans doute. le plus simple est de prendre l'url de la page dans ces cas là.

D'accord animal et merci. Ca veut dire que je peux mettre un lien pour arriver directement sur la page, mais pas ce "bouton" directement. C'est ça ?

ouaip, après le parfumé motivé ira cliquer le bouton avec ses petits doigts.

16. OO - - France Culture - Une vie, une oeuvre : Roverto Bolano, avec Robert Amutio, son traducteur, Javier Cercas, des journalistes, écrivains et universitaires.

Demain, l'invitée de l'Humeur vagabonde (France Inter, 20h00) est Simonetta Greggio .
J'ai lu quelques critiques de son Dolce Vita : 1959-1979 et je vais peut-être me laisser tenter.

Citation :

Livre d’investigation construit comme un scénario de film avec flash-back et plans séquences, Dolce vita est le roman de l’Italie entre 1959 et 1979. Affaires de moeurs, scandales financiers, Brigades rouges, enlèvement et meurtre de Moro, mort du réalisateur et poète Pasolini, Cosa Nostra, Vatican… Toutes les grandes affaires qui ont traversé ce pays durant vingt ans sont évoquées ici. Les événements éclairés, les liens occultes mis au jour. Dans la trame du récit se détache peu à peu un fil de sang tissé entre Vatican, Loge maçonnique déviée P2 et Mafia, tandis que se dessine l’ombre d’une autre puissance, l’Amérique, à laquelle l’Italie doit sa libération et un nouveau, plus discret, asservissement.
Dessinant le portrait fascinant d’un pays voisin infiniment romanesque, Dolce vita donne les clés de l’Italie d’aujourd’hui, celle d’un Berlusconi tragicomique. Racontée par le dernier Guépard, son histoire a la saveur douceamère et le charme vénéneux d’une fin de règne qui n’en finit plus, car un pays qui ne fait pas les comptes avec son passé est un pays qui ne cesse de le payer.

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