[2007-2008] A l\'affiche ou bientôt sur les écrans

coline a écrit:

Sortie le 5 mars du dernier film d' Olivier Assayas


La rumeur dit qu'il est très réussi...

Il me dit bien aussi
Par contre je suis allée voir Paris! Pour l'instant aucun Kaplisch ne m'a déçue

coline a écrit:

Ce film m'évoque un autre film , Rembrandt de Charles Matton (artiste peintre et réalisateur) avec Klaus Maria Brandauer dans le rôle de Rembrandt... Le plusgrand intérêt de ce film était l'image, la lumière...

il paraît que pour Ronde de Nuit, c'est pareil. Un jeu ampoulé, un scénario pas gégêne, mais une lumière superbe... si j'ai le temps, je me l'offrirais.

faudra m'expliquer pourquoi je suis allée voir Bienvenue chez les ch'tis... qu'est-ce qui m'a pris d'écouter la populace... je suis descendue de mon trône, j'ai glissé sur ma couronne et je me suis vautrée dans la cuvette de Mordicus...

Désolée, pour ceux qui ont aimé. Mais je ne lui trouve rien d'original, et le pire, le piiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire c'est qu'il sue les bons sentiments, la gentillesse niaise, et les arcs en ciel après la pluie..... j'aiiiiiiime pôôôôô ça

Queenie a écrit:

faudra m'expliquer pourquoi je suis allée voir Bienvenue chez les ch'tis... qu'est-ce qui m'a pris d'écouter la populace... je suis descendue de mon trône, j'ai glissé sur ma couronne et je me suis vautrée dans la cuvette de Mordicus...

Eh bien, moi qui pensais aller le voir car parfois ça fait du bien de se détendre, tu me mets fortement le doute Queenie!
La bande-annonce est assez hilarante, elle m'a fait penser au fameux passage du Diner de cons avec Villeret et Lhermitte ("Non, Juste c'est juste mon nom") qui me fait toujours autant rire...

J'ai lu que Fantaisie l'avait vu aussi...Je me demande ce qu'elle en a pensé?

aériale a écrit:

Queenie a écrit:

faudra m'expliquer pourquoi je suis allée voir Bienvenue chez les ch'tis... qu'est-ce qui m'a pris d'écouter la populace... je suis descendue de mon trône, j'ai glissé sur ma couronne et je me suis vautrée dans la cuvette de Mordicus...

Eh bien, moi qui pensais aller le voir car parfois ça fait du bien de se détendre, tu me mets fortement le doute Queenie!
La bande-annonce est assez hilarante, elle m'a fait penser au fameux passage du Diner de cons avec Villeret et Lhermitte ("Non, Juste c'est juste mon nom") qui me fait toujours autant rire...

J'ai lu que Fantaisie l'avait vu aussi...Je me demande ce qu'elle en a pensé?

elle avait bien aimé il me semble Fantaisie.
Mon avis n'est pas parole d'or, d'autant plus que je ne suis pas une férue de la comédie au cinéma.

Aériale, va plutôt voir L'Orphelinat de Juan Antonio Bayona !
Si je me rappelle bien, tu avais adoré Le labyrinthe de Pan de Guillermo del Torro, pas vrai ?

Comme je suis une grande résistante dans l'âme et que je ne me soumets jamais à la tentation, je crois que je vais aller le voir dès ce soir

sentinelle a écrit:

Aériale, va plutôt voir L'Orphelinat de Juan Antonio Bayona !
Si je me rappelle bien, tu avais adoré Le labyrinthe de Pan de Guillermo del Torro, pas vrai ?

Oui, je vais peut-être vous écouter! vous m'avez mis le doute toutes les 2
Pour le Labyrinte de Pan, c'estle genre de film qui me marque, mais que j'apprécie une fois digérées les images fortes
S'il est dans cette veine-là, il doit valoir le coup...je vais aller voir de plus près ce que vous en dites.

Andalucia de Alain Gomis


Bande-Annonce: cliquer ici

de Brillante Mendoza

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Film de Davide Ferrario

Bande annonce

Le 27 juin 1945, Primo Levi est libéré d'Auschwitz. Il mettra dix mois à rentrer à Turin, traversant la Pologne, l'Ukraine, la Roumanie, la Hongrie, l'Autriche et l'Allemagne. Il racontera ensuite les aventures, rencontres et observations de ce voyage dans son livre, La Trêve.
Soixante ans plus tard, Davide Ferrario et son scénariste Marco Belpotili suivent à leur tour cet itinéraire à travers l'Europe post-communiste.
Ce road movie sur les pas de Primo Levi est aussi une peinture de cette nouvelle Europe encore reliée aux restes de l'Union soviétique, ses mouvements neo-nazis, Tchernobyl, les villages d'immigrés...

Et puis aussi le premier film de Philippe Claudel, réalisateur...
Le réalisateur va-t-il nous séduire autant que l'écrivain?


Bande-Annonce:ici

MON FUHRER

un film allemand sur Hitler, un film comique. Je vais essayer d'aller le voir. Rien que parce qu'en ce moment le regard des artistes sur la seconde guerre mondiale change en bien je trouve : déculpabilisation (on commence à montrer les bons et les méchants qu'il y avait dans tous les camps), et parce qu'un Hitler tourné en dérision ça ne peut que faire du bien.

Hum ce film ne m'inspire rien de bon... Ca fait longtemps que j'en entend parler (je crois qu'il est sorti il y a déjà deux ans en Allemagne et apparemment c'était plus un exutoire, un moyen de déculpabiliser la population qu'un film vraiment drôle).

Critique de Télérama :

Citation :

Rire de Hitler ? Pourquoi pas. Mais cela exige du talent, ce que Dani Levy possédait du temps d'I was on Mars (1992) et de quelques autres films réalisés depuis. Le contexte ici est celui de la fin de la guerre, la défaite s'annonce pour Hitler, déprimé, qui doit tenir un grand discours à Berlin. Pour réveiller sa haine, Joseph Goebbels imagine de faire appel à un professeur de théâtre juif. Grünbaum (interprété par Ulrich Mühe, l'acteur regretté de La Vie des autres), c'est son nom, est aussitôt libéré du camp de concentration de Sachsenhausen et se voit introduit dans l'immense bureau du Führer.

Au début réfractaire, le dictateur se soumet peu à peu aux directives de celui qui va bientôt devenir son juif favori. Hitler en survêtement caca d'oie faisant des exercices de respiration ou des pompes est une entrée en matière assez savoureuse. Lorsque le corps même de Hitler est employé comme un matériau comique, le film ­arrive parfois à faire mouche, non sans quelques emprunts à Lubitsch et Chaplin. La raideur du Führer, son autorité mé­canique le rapprochent d'une marion­nette ou d'un personnage de cartoon. Le moment où une maquilleuse lui coupe la moustache malencontreusement, puis celui où Hitler a une extinction totale de voix sont sûrement les plus drôles parce que soudain le dictateur est nu.

Mais Dani Levy n'a pas grand-chose de plus dans sa besace et la farce finit par tourner court. Le réalisateur se risque alors à aller plus loin dans l'intime : il montre Hitler en incontinent, en impuissant sexuel, en enfant traumatisé par un père cruel. Face à lui, Grünbaum est tiraillé entre l'envie d'assassiner son « employeur » et celle de sauver sa famille. Sa position intenable aurait pu fournir un scénario délirant, oppressant ou rocambolesque. Mais c'est loin d'être le cas.

Et puis ayant La vie est belle et Le dictateur (d'ailleurs il faudrait vraiment créer un fil sur ces deux chefs d'oeuvre) dans la tête, je ne peux qu'être déçue par ce genre de films. :)

Queenie a écrit:

LE CAHIER (sortie aujourd'hui)

Cette bande annonce m'a fait froid dans le dos

Vu Le cahier et beaucoup aimé! Un film à ne pas rater, où se dégage une certaine poésie dramatique et dont quelques images marquent à tout jamais. J'en parle demain, mais merci à vous de l'avoir noté

coline a écrit:

Sortie le 5 mars du dernier film d' Olivier Assayas


La rumeur dit qu'il est très réussi...

Si y'en a qui l'ont vu: franchement vous avez vu l'image de la jeunesse qu'Assayas donne dans ce film ??? Geulards, insolents, incultes, shootés, amateurs de rap et de boums et qui plus est, font du scooter sans casques ! C'est honteux
Mais rassurez-vous, nous ne sommes pas tous comme ça^^