Expositions

Moi non plus
Cette photo fait partie de mes préférées

sentinelle a écrit:

Moi non plus
Cette photo fait partie de mes préférées

Je le savais!...Je le savais!...

À Louvain, Hergé a désormais son musée


Surtout ne pas confondre : c’est un musée Hergé qui s’est ouvert mardi à Louvain, pas un musée Tintin ! Fanny Rodwell qui fut l’épouse du grand dessinateur belge et dirige la Fondation Hergé a donc confié à l’architecte Christian de Portzamparc la tâche de tracer un écrin pour rendre l’hommage que mérite le génie créatif d’un homme qui ne fut pas que le père de Tintin.
Illustrateur, caricaturiste, affichiste, graphiste, peintre mais aussi créateur de Jo, Zette et Jocko, Quick et Flupke, Hergé a depuis cette semaine son musée « moderne, vaste, lumineux, coloré et unique » selon les voeux de Fanny Rodwell. Bruxelles ne disposant pas d’un lieu au goût de l’héritière, c’est à Louvain-la-Neuve, l’université verte, qu’est revenu le plaisir d’accueillir le musée. Confié à Sophie Tchang, conservatrice, fille de l’ami fidèle de Georges Rémi (Hergé), ce musée se visite de haut en bas (deux étages) jusqu’à l’atrium où on mesure toute la beauté de l’édifice.
Salle après salle, on découvre sur 2000 m² chacune des facettes du talent d’Hergé. En octobre, commenceront les expositions temporaires, la première sera consacrée à Tchang et Hergé. • C.B.d’H.
source

PRATIQUE Musée Hergé, 26 rue du Labrador à Louvain-la-Neuve

site du musée

Foto: Adrian Lienhard - Giacometti chez Beyeler


Giacometti à Bâle - Fondation Beyeler
31 mai - 11 octobre 2009

Citation :

La grande exposition d'été de la Fondation Beyeler promet d'être un sommet du calendrier culturel européen. Elle est consacrée à l'artiste suisse Alberto Giacometti (1901-1966) qui est devenu, à Paris, un des artistes les plus influents de l'époque moderne. Ses figures très expressives et ses dessins pleins de poésie nous émeuvent encore aujourd'hui. Giacometti se considérait comme partie intégrante d'un cosmos spatio-temporel dont les membres de sa famille étaient des points de référence essentiels. Cette exposition présente plus d'une centaine de travaux de toutes les périodes de création de l'artiste, appartenant à sa famille ou à des collections réputées du monde entier. Ils sont complétés par quelques oeuvres de son père Giovanni, de son frère Diego et de son oncle Augusto.

Fondation Beyeler

Elles@centre Pompidou
Le site ici, beaucoup de documents!

kenavo a écrit:

Foto: Adrian Lienhard - Giacometti chez Beyeler

Je vais prendre cette photo comme fond d'écran pendant un petit moment

Marko a écrit:

Je vais prendre cette photo comme fond d'écran pendant un petit moment

c'est ce que je me suis dit aussi quand je l'ai trouvé.. elle est tout simplement ouf...

On pourrait mettre cet article presque sur le fil "Cela fait rire les oiseaux"

Vol d'un Carnet de Picasso : une mauvaise affaire

NOUVELOBS.COM | 10.06.2009 | 13:15

Bernard Géniès revient sur le vol d'un Carnet de dessins de Picasso, et explique pourquoi les voleurs n'ont pas franchement fait une bonne affaire...
Le vol d'un carnet de dessins de Pablo Picasso a été signalé mardi 9 juin. Le butin vaut 8 millions d'euros.
Les voleurs qui ont dérobé un Carnet de dessins au musée Picasso à Paris en début de semaine (la disparition a été constatée le mardi 9 Juin) on fait une très mauvaise affaire. Pourquoi ? A cela plusieurs raisons:

1/ Ce n’est vraiment pas le moment de dérober des tableaux, des sculptures ou des dessins. Le marché de l’art étant en train de plonger, tous les prix sont revus à la baisse. Y compris pour les Picasso. On rappellera pour la petite histoire qu’un tableau de l’artiste (période cubiste) n’a pas trouvé preneur lors de la récente vente Saint-Laurent/Bergé à Paris, l’estimation (plus de 20 millions d’euros) étant à l’évidence trop élevée.
2/ Impossible de négocier, comme cela est parfois le cas, avec des compagnies d’assurances pour la bonne raison que les œuvres des musées français ne sont pas assurées. En ce domaine, c’est l’Etat qui est son propre assureur. Il faudrait donc que les voleurs négocient avec le ministère de la Culture (ou du Budget ?) ce qui paraît peu probable.
3/ Ces dessins sont invendables parce que parfaitement identifiés. Reste une possibilité : que les truands démembrent le carnet pour en écouler les feuilles une à une. Difficile dans la mesure où il leur faudrait trouver autant d’acquéreurs que de feuilles (au nombre d’une trentaine). De plus, la vente à l’unité (un dessin de Picasso vaut entre 15.000 et 40.000 euros) n’est pas d’un rapport forcément intéressant : c’est l’ensemble du carnet qui a une vraie valeur.
4/ Le dernier vol d’œuvres de Picasso a mal tourné : dans la nuit du 26 au 27 février 2007, deux de ses tableaux et un dessin avaient été dérobés chez la petite-fille du peintre, Diana Widmaier Picasso. Estimées à 50 millions d’euros les deux toiles ont été retrouvées six mois plus tard aux "mains de professionnels du vol et du recel". Ils n’étaient visiblement pas parvenus à entrer en contact avec d’éventuels acquéreurs.

Comme toujours dans ce genre d’affaires le mythe du "collectionneur fou" -qui commande à des braqueurs l’objet de ses désirs- refait surface. Mais cette légende-là a rarement été vérifiée dans les faits. Certes, les truands ont la possibilité "d’enterrer" l’œuvre pour la faire réapparaître dans plusieurs années. Un pari risqué : d’abord parce que l’œuvre est fragile (le papier est sensible à la lumière, l’humidité et la température de l’air). Ensuite, parce que l’œuvre figurera toujours dans les bases de données des services de police, tant français qu’européens ou américains. Dernière incertitude : si le marché de l’art continue sa dégringolade, qui sait combien vaudra en 2012 par exemple ce carnet (généreusement) estimé aujourd’hui à 8 millions d’euros : 6 millions, 4 millions ? Un comble : les voleurs risquent d’être volés!

Bernard Géniès

source

Agustí Centelles
Journal d’une guerre et d’un exil, Espagne-France, 1936-1939

du 09 juin au 13 septembre 2009

au Jeu de Paume
site

Cette exposition retrace le parcours du photographe catalan Agustí Centelles (Valence, Espagne, 1909 / Barcelone, 1985) entre 1936 et 1939, de son expérience de la guerre civile d'Espagne à son internement en France, au camp de Bram.

Citation :

Photojournaliste renommé dans les temps troubles de l’avant-guerre, Centelles, face au putsch de l’extrême droite, s’engagea en juillet 1936 dans la défense de l’État démocratique. Mobilisé en 1937 par le Bureau de propagande républicain, il devint l’un des grands iconographes de la résistance.
Après la défaite de 1939, comme des milliers d’autres Espagnols, il prit le chemin de l’exil et fut interné dans le camp de réfugiés de Bram, en France, où il continua à exercer son métier avec des moyens extrêmement précaires. Quand il prit la décision de fuir la France occupée et de retourner clandestinement en Espagne, il fut contraint de cacher plusieurs milliers de négatifs dans une maison de Carcassonne pour protéger l’identité de tous ceux qui auraient pu être reconnus par la police fasciste. Quarante ans plus tard, après la mort de Franco, Centelles retourna en France et récupéra ses très nombreuses archives.

L'exposition présente une centaine de photographies — réalisées pendant la guerre civile et pendant les neuf mois passés à Bram –, pour la plupart inédites en France, et une collection de documents (magazines, lettres et carnets de notes du photographe).

Magnifique! (je suis presque tentée pour mon avatar...)

anagramme a écrit:

Magnifique! (je suis presque tentée pour mon avatar...)

oui.. elle est vraiment extra.. moi j'adore les images 'plages' et celle-là figure parmi mes préférées

Moi aussi j'adore les images plage

je veux aller à Londres




site de la National Gallery