Quand l’imaginaire rencontre la réalité….. [INDEX 1ER MESSAGE]

Citation :

“but we require secondary sources.”

Tina et Edward sur le bateau pour le Mexique, 1923, photo probablement par Chandler Weston


Tina Modotti et Edward Weston dans L'impertinence d'un été de Ruben Pellejero et Denis Lapière

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Young Perez et Mireille Balin dans À l’ombre de la gloire de Denis Lapière et Aude Samama : ici

Guillaume Apollinaire et Pablo Picasso dans Pablo de Julie Birmant et Clément Oubrerie : ici

Jacques Guérin dans Le manteau de Proust de Lorenza Foschini: ici


mais il y a naturellement aussi

le manteau de Proust dans ce livre

Henry David Thoreau dans Thoreau de Maximilien Le Roy et A.Dan: ici


et le fil de Thoreau

Jan Breughel l'Ancien dans Lubie de Frédéric Clément: ici

Richard Wagner dans Richard W. de Vincent Borel : ici

Citation :

En ce soir de juin 1865, au Hoftheater de Munich, la magie opère dès que s’élèvent les premières notes de Tristan. Le très jeune Louis II de Bavière est subjugué. Wagner, à cinquante-deux ans passés, a enfin trouvé un protecteur. Les années d’errance et de misère sont derrière lui, il va pouvoir donner forme à ses rêves d’un théâtre entièrement nouveau et mettre en œuvre la conception de sa fresque révolutionnaire, L’Anneau du Nibelung.
Comme sa carrière, l’intimité du compositeur est bouleversée en cette année faste : son mariage avec Minna, jeune actrice conformiste, peu encline à partager ses fulgurances, battait de l’aile. Il vient de rencontrer l’âme-sœur, Cosima, la fille de Liszt, qui encre ses partitions. Pour lui, elle va divorcer de Hans von Bülow, le chef d’orchestre tout dévoué à Wagner.
Vincent Borel, toujours au plus près de l’émotion d’un fou d’opéra, nous plonge dans le creuset de l’œuvre, là où vie et création se mêlent. Les combats menés avec Bakounine sur les barricades de Dresde en 1849, les conversations avec Nietzsche au moment de La Naissance de la tragédie sont une puissante source d’inspiration, de même que les fréquentes escapades dans une nature complice. En Suisse où Richard et Cosima ont trouvé refuge avec leurs enfants, Isolde, Eva et Siegfried, la musique du maître, élémentaire et cosmique, est le centre de leur vie, et leur vie, au cœur de sa musique.
Ce roman-portrait est un voyage à l’intérieur du corps de Richard Wagner, de ses humeurs, de ses intuitions et de son tumulte. Par-delà le « cas Wagner », Vincent Borel livre une éblouissante plongée dans le mystère de la création artistique. Son aisance épargne toute dévotion et nous dévoile un homme bien éloigné du mythe qu’a construit la postérité.

Dans le livre L’étoile du matin de Wu Ming 4 il y a tout un groupe de personnes connues, entre autre :



T.E. Lawrence


Robert Ranke Graves, poète


J.R.R. Tolkien, son fil



C.S. Lewis, son fil

Adolf de Meyer, 1912

Luisa Amann, épouse du marquis Casati Stampa di Soncino dans La Casati, la muse égoïste de Vanna Vinci : ici

La légende rapporte que 123 peintres ont fait le protrait de la Casati, voici quelques uns:


Giovanni Boldini, 1908


Giovanni Boldini


Adolf de Meyer, 1912


Léon Bakst, 1912


Alberto Martini, 1912


Kees Van Dongen


Romaine Brooks, 1920


Man Ray, 1922


pour lire plus sur sa vie

Kurt Gerron dans Retour indésirable de Charles Lewinsky

Citation :

Présentation de l'éditeur
Kurt Gerson, dit Gerron, né de parents juifs à Berlin en 1897, voudrait devenir médecin, mais il est envoyé au Front à plusieurs reprises comme soldat, pendant la Première Guerre mondiale. En 1920, il abandonne ses études pour être comédien puis metteur en scène et réalisateur. Il participera en 1928 à la création mondiale de l' Opéra de quat' sous sous la direction de Bertolt Brecht, puis il tourne aux côtés de Marlene Dietrich, dans ' l' Ange bleu '.
Acteur et metteur en scène reconnu, l'un des mieux payés, il côtoie à ce titre les plus grands noms du milieu artistique de l'époque. Il déclinera des offres de travail qui auraient pu le conduire à Hollywood, préférant travailler en Allemagne. Mais en 1933, il doit quitter Berlin avec sa famille ; il se réfugie à Paris, puis il travaille aux Pays-Bas jusqu'en 1940. Mais quand l'Allemagne envahit le pays, Gerron tombe entre les mains de la Gestapo, qui l'interne dans le camp de Westenbork, avant de le déporter avec les siens à Theresienstadt.

Franz Kafka dans La splendeur de la vie de Michael Kumpfmüller

Citation :

Présentation de l'éditeur
En juillet 1923, Franz Kafka accompagne sa s ur Elli à Müritz, une petite station balnéaire de la Baltique. C est là qu il rencontre Dora Diamant. Il a 40 ans et il est gravement malade, elle a 25 ans et elle est la vie même. Moins connu que son histoire avec Milena ou Felice, ce dernier amour de Kafka est probablement le plus abouti et à coup sûr le plus poignant. Bravant sa faiblesse et l'hostilité parentale, il la rejoint à Berlin, ils déménagent d une petite chambre à l'autre, elle fait des menus boulots, il écrit la nuit, l'inflation galope et l'argent manque, l'antisémitisme est déjà sensible. Mais ils sont heureux. Onze mois après leur rencontre, Kafka meurt dans les bras de Dora dans un sanatorium près de Vienne.
Michael Kumpfmüller, qui s est imprégné de ses journaux et de sa correspondance au point de se fondre dans l'âme et dans le style de Kafka, réinvente justesse le point de vue de la jeune fille aimante et lucide qu est Dora.

Cet hommage à Kafka est un livre d'une portée universelle.

Dans son roman La splendeur de la vie, Michael Kumpfmüller n'évoque pas seulement Dora Diamant (ci-dessus à gauche) la dernière compagne de Franz Kafka, ou "le docteur" comme l'auteur le nomme dans son livre, mais aussi l'ami Max Brod (photo du milieu milieu) et une de ses soeurs, Ottla Kafka (à droite).

Maline a écrit:

Dans son roman La splendeur de la vie, Michael Kumpfmüller n'évoque pas seulement Dora Diamant (ci-dessus à gauche) la dernière compagne de Franz Kafka, ou "le docteur" comme l'auteur le nomme dans son livre, mais aussi l'ami Max Brod (photo du milieu milieu) et une de ses soeurs, Ottla Kafka (à droite).

merci pour ces ajouts
j'avais prévu de le lire mais des commentaires assez négatifs (côté allemand) m'ont pris un peu ma motivation...

kenavo a écrit:

j'avais prévu de le lire mais des commentaires assez négatifs (côté allemand) m'ont pris un peu ma motivation...

Pas du tout d'accord avec ces commentaires. Les 3,4 amis allemands qui ont lu le roman l'ont en général bien apprécié. Je l'ai quasiment avalé en trois soirées et j'ai voulu écrire un commentaire cet après-midi mais à la place ... j'ai créé un index pour ce fil - que j'aime consulter