Quand l’imaginaire rencontre la réalité….. [INDEX 1ER MESSAGE]

Voilà encore un fil bien intéressant !

J'ai pensé spontanément à Blonde de J.C. Oates.

nezumi a écrit:

kenavo a écrit:

jusqu'à présent les 1.000 pages (ou presque ) m'ont empêché - mais il est sur ma LAL

N'hésite pas! Ces 1000 pages passent très (trop) vite.

Je partage cet avis : j'en aurais bien repris un p'tit peu plus long...

Une autre belle lecture :



Gengis Khan dans Le Loup mongol, d'Homéric.

Les exploits de Tèmudjin sont si incroyables qu'ils traversent la steppe, menant ceux qui l'avaient abandonné à rejoindre son armée d'archers. Habile connaisseur, Tèmudjin a le flair du loup et est aidé par le fidèle Bo'ortchou qui veille sans relâche sur le futur Gengis Khan (XIe et XIIe siècles). En vingt ans, il ralliera les clans mongols sous sa bannière : menant des conquêtes, annexant des empires, il écrasera des armées dix fois plus plus fortes... Prix Médicis 1998.

Rembrandt dans Le peintre et la jeune fille de Margriet de Moor : ici

kenavo a écrit:

Leonora Carrington (ici) et Max Ernst (ici) dans Himmelsdiebe de Peter Prange ici

il y a quelqu'un qui a eu la même idée de se consacrer à Leonora Carrington


Leonoara d'Elena Poniatowska, son fil est ici, va sortir en septembre chez Actes Sud

Citation :

Des brumes du Lancashire au soleil ardent du Mexique, Leonora est un hymne à la liberté, à la passion et à la résistance, un voyage à travers la pensée vagabonde d’une femme incandescente, symbole de l’amour fou des surréalistes : Leonora Carrington, la “Fiancée du vent” de Max Ernst, artiste-peintre et écrivain.

© Johan Hagemeyer


Tina Modotti dans Tina Modotti d'Angel de la Calle : ici

Geoffrey Spicer-Simson dans Tanganyika de Giles Foden : ici

Theodora Bosanquet dans La dactylographe de Mr James de Michiel Heyns : ici

Carlos Kleiber dans Musique absolue. Une répétition avec Carlos Kleiber de Bruno Le Maire

Autant de belles découvertes que j’ai faites avec cette passion que j’ai pour les biographies romancées, ce roman me laisse sur ma faim.

Roman constitué d’une interview d’un journaliste français parti à la recherche d’un ami proche de Carlos Kleiber. Au fur et à mesure ce Nikolaus, ancien violoniste dans l’orchestre que Kleiber dirigeait, prend tant de place dans le récit (et ses pointes envers la France, les Français et tout ce qui est français deviennent de plus en plus lassant) qu’on apprend très peu de Carlos Kleiber qu’on n’aurait pas aussi pu lire en consultant la page Wikipedia.

Dommage, le sujet se prêtait à plus. Elu en 2010 comme le plus grand chef d’orchestre de tout les temps et qui n’a jamais donné une interview durant toute sa vie… quel livre on aurait pu faire avec un tel personnage !

Un ex- ministre en quête de reconversion? N'est pas romancier qui veut....

il était l'invité de l'humeur vagabonde sur Fr Inter, avant hier et son propos donnait l'impression qu'il maîtrisait parfaitement son sujet (j'ai beaucoup appris sur Kleiber, son père, sa volonté de ne pas se montrer, et puis des extraits de répétitions pour montrer son exigence et aussi le fait que parfois les musiciens n'arrivaient pas à comprendre ce qu'il voulait dire, bref une émission enthousiasmante, avec de beaux extraits, des comparaisons avec Karajan pour montrer leur opposition radicale, mais en plus avec la sensation que Le Maire avait rendu sensible son propos par une belle écriture... comme quoi...

mimi54 a écrit:

N'est pas romancier qui veut....

de ce côté il a toutes les qualités, j'ai bien aimé son écriture

shanidar a écrit:

il était l'invité de l'humeur vagabonde sur Fr Inter, avant hier et son propos donnait l'impression qu'il maîtrisait parfaitement son sujet (j'ai beaucoup appris sur Kleiber, son père, sa volonté de ne pas se montrer, et puis des extraits de répétitions pour montrer son exigence et aussi le fait que parfois les musiciens n'arrivaient pas à comprendre ce qu'il voulait dire, bref une émission enthousiasmante, avec de beaux extraits, des comparaisons avec Karajan pour montrer leur opposition radicale, mais en plus avec la sensation que Le Maire avait rendu sensible son propos par une belle écriture... comme quoi...

voilà tout vrai! pour... 50 pages d'un livre de 103!!
comme je l'ai dit, je suis restée sur ma faim, il avait besoin d'un cadre pour raconter la vie de Kleiber, mais malheureusement le cadre est devenu plus important que le tableau ce qui est à mon avis avec ce genre d'exercise pas l'effet voulu peut-être si le livre aurait eu 200-300 pages, un personnage inventé qui nous parle de la vie du grand homme n'est pas de trop sur 50 pages.. mais pour ce court texte cela ne donne pas l'effet voulu...

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Raymond Carver et sa première femme, Maryann Burk-Carver, avec sa deuxième femme Tess Gallagher et Gordon Lish, son éditeur
dans Ciseaux de Stéphane Michaka: ici

il faudra réviser l'oeuvre de Carver

Je vais aller jeter un œil au livre sur Kleiber. J'ai vu qu'il est disponible en format kindle.

Autoportrait

Hokusai dans Le Vieil Homme aux dix mille dessins d’Aude Fieschi

Melvin M. Tumin, professeur de sociologie à Princeton, N.J., est la source d'inspiration pour le protagoniste Coleman Silk dans La tache de Philip Roth


Lire la lettre ouverte de Philip Roth à Wikipedia dans The New Yorker du 7 septembre 2012
et vous trouvez les opinions des Parfumés sur les livres de Philip Roth ici.

Maline a écrit:

Melvin M. Tumin, professeur de sociologie à Princeton, N.J., est la source d'inspiration pour le protagoniste Coleman Silk dans La tache de Philip Roth


Lire la lettre ouverte de Philip Roth à Wikipedia dans The New Yorker du 7 septembre 2012
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Excellent ! Ça pourra donner lieu à une anecdote dans un prochain livre !

Citation :

“I understand your point that the author is the greatest authority on their own work,” writes the Wikipedia Administrator—“but we require secondary sources.”

C'est presque kafkaïen.