Quand l’imaginaire rencontre la réalité….. [INDEX 1ER MESSAGE]

Marie a écrit:

Josef Mengele ici, Nora Eldoc ici

dans Wakolda de Lucia Puenzo

Le fil: Lucia Puenzo

Et l'avis c'est pour quand ?   

Et on demande comment?  
Ok, ça vient.

Et que ça saute !

Citation :

Robert Moses (né le 18 décembre 1888 à New Haven (Connecticut) - mort le 29 juillet 1981 à West Islip, dans l’État de New York) est un urbaniste américain, artisan de la rénovation de New York entre 1930 et 1970

Citation :

Jane Jacobs (4 mai 1916 à Scranton, Pennsylvanie - 25 avril 2006 à Toronto) est une auteur, une militante et une philosophe de l'architecture et de l'urbanisme. Ses théories ont sensiblement modifié l'urbanisme nord-américain

Robert Moses et Jane Jacobs dans Robert Moses de Pierre Christin et Olivier Balez :  ici

John Lewis dans Wake up America de Nate Powell : ici

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Citation :

Le roman s’inspire librement des vies de Sir William Hamilton, ambassadeur de la Grande-Bretagne à la cour de Naples, de sa seconde épouse Emma et des amours de celle-ci avec l’amiral Nelson. Prétexte à brosser le tableau fouillé des contextes italien et britannique à l’aube de la Révolution française, l’intrigue offre surtout à Susan Sontag l’occasion de portraiturer deux archétypes : le collectionneur (en la figure du Cavaliere) et le héros (l’amiral). Le Cavaliere collectionne les œuvres d’art, qu’il rapatrie dans son pays d’origine, mais aussi les ascensions du Vésuve, auxquelles il ne renoncera qu’à la toute fin de sa vie. Deux portraits majestueux, qui ne sont pas sans parenté. Le collectionneur fait ainsi montre d’une « hyperactivité qui est celle du dépressif héroïque », tandis que le héros collectionne, d’une certaine manière, les batailles, ce qui vaudra finalement sa perte.
[...]

La quatrième partie du roman est constituée de quatre monologues intérieurs : celui de Catherine, celui de la mère d’Emma, femme du peuple devenue la gouvernante de sa fille, celui d’Emma, où nous découvrons dans quelle déchéance sa vie s’achèvera, et enfin celui d’Eleonora de Fonseca Pimentel, poétesse révolutionnaire italienne qui périt sur l'échafaud.
Quatre autoportraits en guise d’épilogue, qui permettent à Sontag de multiplier les points de vue et de porter un jugement à propos du faste insolent dans lequel vivaient le Cavaliere et ses homologues, après nous avoir pourtant appris à aimer cet homme sensible, cultivé et généreux. (Source : Toute la culture)

Citation :

Son premier congé dans son pays prenait fin. L'homme qu'à l'avenir le Tout-Naples connaîtrait sous le nom de Il Cavaliere, le Chevalier, allait se mettre en route pour le long voyage de retour à son poste, au "royaume des cendres".
C'est ainsi qu'à Londres l'un de ses amis l'appelait.
Quand il était arrivé, on lui avait trouvé l'air beaucoup plus vieux. Il était toujours aussi efflanqué : un corps enflé par les macaronis et les tartes au citron ne se serait pas du tout accordé à un visage aussi fin et ouvert, avec ce nez aquilin et ces sourcils broussailleux. mais il avait perdu la pâleur de son rang. Que sa peau blanche eût ainsi foncé depuis qu'il était parti sept ans auparavant fut remarqué non sans une certaine désapprobation. Seuls les pauvres - c'est-à-dire la plupart des gens - étaient hâlés par le soleil. Pas le petit-fils d'un duc, fils cadet d'un lord, l'ami d'enfance du roi lui-même. (Incipit p.21)

Citation :

La fille, qui tenait son chapeau sur ses genoux, se retourna pour le poser derrière elle sur le fauteuil tout en se levant. De voir ainsi son corps se mouvoir, faire volte-face, il eut un choc physique, comme si son coeur avait dégringolé dans son ventre. Il ne se la rappelait pas aussi belle. Prodigieusement belle. Il avait dû voir comme elle était belle l'année précédente, depuis qu'il possédait cette beauté sous la forme d'un portrait, celui de la bacchante du tableau de Romney qu'il avait accroché dans l'entrée de son cabinet de travail et qu'il voyait tous les jours. Mais elle était encore plus belle que le tableau. (p.139-140)

Citation :

Un héros est stoïque. Et un héros ne cache pas sa soif de gloire. Fils grave d'un pasteur et d'une mère qui mourut quand il avait neuf ans, il avait pris la mer à douze ans, la tête pleine de nobles modèles issus de la littérature; il aimait citer Shakespeare et, si l'on excepte la misérable fin, se voyait en Hotspur : brave, impétueux, fougueux ... et, donc, assoiffé d'honneurs. Il pensait n'être ni crédule ni vaniteux. Il admirait la vaillance, la ténacité, la générosité, la franchise. Il voulait être en accord avec lui-même. Ne voulait pas se décevoir. Son intention était de devenir un héros. il voulait mériter les louanges, être décoré, rester dans les mémoires, figurer dans les livres d'histoire. Il se voyait sur des peintures historiques, en portrait, en statue sur un piédestal, ou même au sommet d'une haute colonne sur une place publique.
Certes il aurait aimé être plus grand mais se plaisait en uniforme de cérémonie. (p.212-213)

Citation :

Je m'appelle Eleonora de Fonseca Pimentel.[...] Souvent, quand les historiens m'évoquent plus longuement dans leurs livres ou dans leurs articles, juste Eleonora, alors que mes camarades de la révolution napolitaine de 1799, tous des hommes, ne sont jamais cités par leur seul prénom. (extrait du monologue d'Eleonora, p.452)

Un roman passionnant que je n'ai pas lâché jusqu'à la dernière page, mais je ne suis pas une référence ...

Giovanni Bellini

Citation :

dit Giambellino (né à Venise, entre 1425 et 1433 - Venise, 29 novembre 1516) est un peintre italien de la Renaissance, considéré comme le précurseur de l'école vénitienne, dont l'œuvre marque la rupture définitive avec le style gothique, par son attachement à la rigueur géométrique, à travers des peintures qui effacent la différence entre monde sacré et profane.

et


Antonello de Messine

Citation :

(né vers 1430 à Messine en Italie – mort en 1479 à Messine, en Italie) est un peintre italien de la Renaissance.

dans La Vision de Bacchus de Jean Dytar : ici

Gerda Taro et Robert Capa dans Tristes Cendres de Mikel Begoña/Iñaket : ici



Robert Capa par Gerda Taro



Gerda Taro par Robert Capa

François Leguat dans Vie de monsieur Leguat de Nicolas Cavaillès : ici

à Rodrigues, on se rappelle encore de lui...




sa page Wkipédia

Chomo dans Le Grand Combat de Zéphir : ici

Citation :

Chomo, pseudonyme de Roger Chomeaux, né le 28 janvier 1907 à Berlaimont et mort le 19 juin 1999 à Achères-la-Forêt, est un sculpteur français.

source et suite

Donatien Alphonse François de Sade soit le Marquis de Sade dans Entretien avec le marquis de Sade de Noëlle Châtelet, qui se déroule lors de l'enfermement du marquis à l'Asile de Charenton. Châtelet, adresse plusieurs questions à Sade notamment sur les Lumières, sur son siècle, les vices de l'homme et lui donne à s'expliquer sur ce qu'il pense de son oeuvre.

J'ai trouvé l'histoire intéressante, il y a du dynamisme du début à la fin de l'entretien, toutes les réponses de Sade ont été étudiées (et font références à des notes et remarques qu'il a déjà livré lors de ses correspondances ou autre, donc en soi ce n'est pas réellement imaginaire). J'ai pris plaisir à le lire, même si certains passages ont été un peu assommants.

Aldo Manuzio dans Aldo Manuzio, le Michel-Ange du livre: L'art de l'imprimerie à Venise de Verena von der Heyden-Rynsch : ici

plus d'infos sur lui

Ivy_Curtis a écrit:

Donatien Alphonse François de Sade soit le Marquis de Sade

Tiens d´ailleurs il y a une série d´émissions sur Sade à la radio "l'heure des rêveurs" (merci Bix!). Intéressant! ça m'a permis d'approcher le personnage.

Zelda et Francis Scott Fitzgerald dans SuperZelda de Daniele Marotta:  ici

Stefan Zweig, Joseph Roth (photo prise à Ostende 1936 par Lotte Altmann)



et Irmgard Keun

dans Ostende, 1936, Sommer einer Freundschaft de Volker Weidermann : ici