Jouer du jazz, c'est comme raconter une histoire

Outch! Plus ça avance, plus ça déménage.

Plus cool, Uri Caine Trio et le son unique du Fender Rhodes...

Igor c'est énorme j'adore Uri Caine, c'est un dieu, il peut tout faire, en trio, avec un ensemble orchestral, en solo, tout ! passer de la réinvention de Bach à de la musique électronique tout en gardant un son jazz ! cet homme est un monstre !

plus sage mais encore un trio (ma formation préférée) et puisque j'en parlais plus haut : Eric Legnini, extrait de son album trippin' à la très belle pochette :

J'ai passé l'après-midi à écouter un magnifique concert d'Uri Caine toujours en trio.
Le concert est complet, 1h41 et si on peut m'aider pour les noms du batteur et du contrebassiste, c'est quand vous voulez...

j'ai trouvé John Hebert à la contrebasse et Ben Perowsky à la batterie (mais à vérifier toutefois).

shanidar a écrit:

j'ai trouvé John Hebert à la contrebasse et Ben Perowsky à la batterie (mais à vérifier toutefois).

Je confirme.
Merci, Igor, pour cette trouvaille de concert, je vais l'écouter ce soir en lisant...

(heureusement que je clique des fois ce qui se passe sur ce fil, merci les gens !)

Un album tout cool tranquille recommandé par le magazine Classica (Choc Classica). Pour un dimanche soir au coin du feu (ou un truc dans le genre).

Citation :

There’s something about bassist Charlie Haden’s woodsy tone that just sounds thick with history. Dark yet warm as the echoes that would fill the sort of rural chapel roughly sketched on the album’s cover, Haden’s latest outing reunites him with the late jazz piano legend Hank Jones in a collection of compact yet lushly rendered hymns and spirituals, many of which are linked with the civil rights movement.

Recorded shortly before Jones’ death in 2010 at 91 years old, “Come Sunday” is a sequel to the duo’s 1995 recording “Steal Away,” which also explored the vintage gospel and Americana close to both musicians’ hearts. Though in the past Haden has explored more avant-garde orbits with Ornette Coleman and his own Liberation Music Orchestra, both he and Jones treat these melodies with a deceptively spare reverence, allowing the songs room to breathe with their original sentiment while coloring them with a lovingly inventive elegance that takes the music somewhere new.

Following Jones’ sparkling lead through a swinging “Give Me That Old Time Religion,” Haden’s bass weaves with an improbable mix of gravity and grace, and Dvorak’s spiritual-tinged “Going Home” is a showcase for Jones’ piano to weave around Haden’s steady foundation, which remains as sure and rich as carved mahogany. A pair of Christmas carols in “God Rest Ye Merry Gentlemen” and “It Came Upon a Midnight Clear” give the recording a seasonal warmth, but in tribute to both a lost master and a music that has long celebrated peace and hope, this record can lift spirits any time of year.

Marko a écrit:

Un album tout cool tranquille recommandé par le magazine Classica (Choc Classica). Pour un dimanche soir au coin du feu (ou un truc dans le genre).

Ah oui, tiens, j'ai écouté Steal Away des dizaines de fois...
Merci, donc, je vais tâcher d'écouter la "suite".

C'est malin! A cause de vous je me mets à écouter du jazz en plus Je ne vais jamais m'en sortir!

C'est très doux. On glisse, on glisse vers un ailleurs paradisiaque.

Pour rester avec Uri Caine, un extrait de Secrets, disque sorti chez le label Tzadik fondé par John Zorn. Avec le violiniste Mark Feldman, le batteur Joey Baron et le contrebassiste Greg Cohen, il revisite des mélodies juives d'Europe de l'Est. A la frontière du jazz, l'expression se révèle d'une rare délicatesse.

Génial Avadoro! Merci, un disque noté dans le panier...
Là, Zorn passe à la direction, Joey Baron conserve les tambours et tous sont attentif au work in progress...

Avadoro a écrit:

Pour rester avec Uri Caine, un extrait de Secrets, disque sorti chez le label Tzadik fondé par John Zorn. Avec le violiniste Mark Feldman, le batteur Joey Baron et le contrebassiste Greg Cohen, il revisite des mélodies juives d'Europe de l'Est. A la frontière du jazz, l'expression se révèle d'une rare délicatesse.

Oui, merci Avadoro, c'est vraiment très beau...

@Avadoro et Igor,
mille mercis, vous m'avez fait passer un très bon moment grâce à cette musique.