Vilhelm Hammershoi [Peintre]

Et pour les Parisiens - vous pouvez voir 2 peintures de lui :

Musée d’Orsay



Hvile en 1905





Intérieur, Strandgade 30 en 1904

J'avais vu une expo à Paris il y a une dizaine d'années. J'étais tombée sous le charme.

C'est vrai que c'est très classe.
Mystérieux, un peu fragile.
J'aime beaucoup aussi

J'aime beaucoup ce peintre, j'aime ses représentations de la réalité avec un brin de personnel...

Le tableau "Femme dans un intérieur" 1905 était présent dans le numéro d'octobre du Magazine Littéraire.

Mon peintre du silence favori. Je chemine souvent avec lui et essaie de mettre mes pas dans les siens.

Gudule a écrit:

Mon peintre du silence favori. Je chemine souvent avec lui et essaie de mettre mes pas dans les siens.

ah oui.. il est vraiment à part.. cela ne fait pas si longtemps que j'ai découvert.. mais j'aime énormémement.. et je voudrais tellement en voir en original

et son pendant


Interiør med læsende ung mand, 1898 / Intérieur avec homme qui lit

J'aime bien aussi...Les intérieurs surtout...

coline a écrit:

J'aime bien aussi...Les intérieurs surtout...

oui.. pour moi aussi surtout les intérieurs.. et la caractérisation Peintre du silence lui va comme un gant

Le hasard fait bien les choses.. en parcourant ce fil j'ai revu le livre de Philippe Delerm qui n'était plus en impression lors de ma création de ce fil.. je me suis dit, pourquoi ne pas faire une recherche pour le livre - et voilà qu'il est en réimpression depuis avril 2009

Citation :

Présentation de l'éditeur
"LA LETTRE, comme un souffle d'ailleurs. On l'accueille avec une feinte désinvolture - tendre la main vers une lettre fait partie des gestes apparemment paisibles du rituel intime. Pourtant, les meubles et les murs changent soudain de nature. Même la cafetière, même ce peu de sucre fondu au fond de la tasse, même l'odeur éparse du café n'y peuvent rien - une lettre à la main, la maison se fait port, et l'on devient navire à quai."
Philippe Delerm rentre ici dans l'intimité d'un des plus grands peintres danois qui le touche particulièrement : Vilhelm Hammershoi (1864-1916). En observateur zélé, nanti de cette acuité tout animale, il s'immisce dans les toiles du peintre pour mieux nous raconter ce qu'il a vu et qui nous aura échappé. Déambulant dans cet intérieur - celui de la propre maison du peintre -, dans une demi-lumière qui préserve le secret, Philippe Delerm nous offre ici un texte qui réussit le tour de force de nous réapprendre ,à observer, éclaircissant la palette de ce peintre de l'intime, que d'aucuns qualifient comme le Vermeer danois.

Merci pour cette information. Je vais m'empresser de lire ce livre.