Vilhelm Hammershoi [Peintre]

et merci pour le partage, c'est intéressant de le sortir de ses intérieurs !

Le château de Christiansborg avec la statue du roi Christian IX. Dire que je l'ai vu. Quels bons souvenirs!

pia a écrit:

Le château de Christiansborg avec la statue du roi Christian IX. Dire que je l'ai vu. Quels bons souvenirs!

oui, je suis aussi en train de me demander si cette toile ne faisait pas partie de l'expo à Munich que j'ai vu... en tout cas, à chaque fois que je vois des images de Hammershoi, je repense à cette expo... comme tu dis, que de bons souvenirs

Je n'ai pas vu le tableau mais j'ai vu le château et c'était un moment béni. Je m'étais levée très tôt et il commençait à faire jour, il n'y avait personne dans les rues et j'avais pu faire le tour du château (autour) toute seule, dans le calme. Tres chouette. Mais par contre, quand j'ai été au Statens museum for Kunst, j'en ai vu quelques uns de lui. Des nus et un autoportrait. Il n'y en a pas beaucoup, mais ça valait le coup.

pia a écrit:

Je n'ai pas vu le tableau mais j'ai vu le château

ah oui, en effet... une belle différence

Intérieur avec quatre estampes, 1905.

Citation :

L’exposition que le musée de Toronto, Art Gallery of Ontario, consacre actuellement au Danois Vilhelm Hammershøi - « Peindre la tranquillité », du 16 avril au 26 juin 2016 - est pour lui l’occasion de montrer un tableau acquis en 2015 auprès d’un collectionneur privé canadien.

Il s’agit de l’une de ces scènes d’intérieur, intimes et étranges, qui font la célébrité de l’artiste ; il représente une pièce de l’appartement rue Strangrade à Copenhague, où il vécut avec sa femme entre 1898 et 1909. La vue est frontale : au centre se trouve un piano fermé, sur lequel sont posées des porcelaines, une chaise est soigneusement rangée devant lui, au-dessus, quatre estampes sont accrochées au mur de manière symétrique. Et puis, à gauche, Ida se tient debout, de dos, droite comme un i dans sa robe noire, la tête légèrement penchée, on ne sait ce qu’elle fait, ni ce qu’elle tient dans les mains. Elle est, comme le rideau ou la boiserie, l’une des lignes perpendiculaires qui rythment la composition, tandis que la gamme de gris et de bruns que l’on retrouve d’un tableau à l’autre participe à l’atmosphère feutrée qui règne dans cette pièce éclairée par une lumière du Nord.
[...] Il a représenté plusieurs fois cette pièce de son appartement avec le même point de vue, une autre peinture notamment est particulièrement proche de celle-ci.

( http://www.latribunedelart.com/un-tableau-d-hammershoi-pour-toronto )


Intérieur avec piano et femme vêtue de noir, 1901.