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| Goran Petrovic [Serbie] | |
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Auteur | Message |
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Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Goran Petrovic [Serbie] Sam 6 Déc 2008 - 18:43 | |
| Goran Petrović (Горан Петровић) est un écrivain serbe né en 1961 à Kraljevo. Après des études de lettres à l'Université de Belgrade, il est actuellement bibliothécaire et travaille à deux pas du monastère de Zica. Il figure parmi les meilleurs auteurs de la jeune génération serbe. Depuis 1989, il a publié recueils de nouvelles et romans et a été primé à plusieurs reprises dans son pays. Son premier roman traduit en français, Soixante-neuf tiroirs, dont le titre serbe devrait se traduire La boutique «À la main heureuse», met en scène des lecteurs qui se rencontrent dans les livres, au sens propre. Source : WikipediaBibliographie - Citation :
- Index: (cliquez sur les numéros de page pour y accéder directement)
Soixante-neuf tiroirs, trad. par Gojko Lukić et Gabriel Iaculli, Éditions du Rocher, 2003 Pages 1, 3 Le Siège de l'église Saint-Sauveur, trad. par Gojko Lukić, Éditions du Seuil, 2006 Sous un ciel qui s'écaille, traduit par Gojko Lukic, Les Allusifs, 2010. Pages 2, 3, 4Recueil de nouvelles Prochain Pages 2 - Citation :
- mise à jour le 31/08/2012, page 4
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| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Sam 6 Déc 2008 - 18:47 | |
| Soixante-neuf tiroirs (Collection Motifs, Le serpent à plumes) est un livre qui parle de livres, de bibliothèques et de lecteurs. Résumé:Chaque lecteur sait combien il est agréable de se laisser immerger dans un livre. C’est une expérience que fait régulièrement Adam Lozanitch, étudiant en littérature. Il se promène dans les livres qu’il lit, il y fait même des rencontres. Il suffit pour cela qu’un autre lecteur, n’importe où dans le monde soit en train de lire le même livre que lui au même moment. Et quand on rencontre une jolie jeune fille dans un roman qu’on aime on risque bien de tomber amoureux… Par ailleurs, Adam est aussi correcteur de manuscrit et il va se voir confier un livre bien étrange pour y faire des corrections très particulières. Et dans ce livre il va faire des rencontres, étranges, mystérieuses ou émouvantes. Et voilà comment l’auteur emboîte les histoires, en 69 chapitres qui présentent les points de vue des différents protagonistes. Leur point commun ? Ce mystérieux livre, son auteur, son histoire, ses lecteurs. Mon avis: L'immersion dans ce livre est un voyage au pays des livres...un monde poétique, fantastique et onirique où faire de multiples rencontres, toutes plus inspirantes les unes que les autres... Un réel coup de coeur ! - Citation :
- Extrait:
Vers trois heures, après avoir révisé le dernier article - sur l'essor du tourisme lié à l'organisation des congrès -, le jeune homme a mis son blouson et glissé ses livres dans son sac de sport. La rédaction ne possédait ni dictionnaire ni manuel d'orthographe, références indispensables pour un correcteur. Scrupuleux, attentif aux moindres écarts, Adam était obligé de toujours trimbaler ce fardeau de livres, car le cagibi de la rédaction servait l'après-midi aux femmes de ménage, et un vieux gardien y somnolait la nuit. Le firmament de novembre se caillait en une masse couleur encre de seiche et la bruine menaçait. Comme il se dirigeait à pied vers le studio qu'il avait loué rue Milovan-Milovanovitch, en bas de l'abrupte rue des Balkans, Adam se rappela l'homme mystérieux, se ravisa et, arrivé place Térazié, se faufila dans un bus bondé pour se rendre à la Bibliothèque nationale dans l'intention de découvrir qui était cet Anastase S. Branitza, l'auteur du livre si précieux que celui qui le possédait l'avait fait relier en maroquin.
Un de ses amis travaillait à la Nationale: Stévan Kousmouk, un bûcheur qui avait terminé ses études en un temps record, et qui, réfractaire à l'oisiveté, s'était engagé comme bénévole dans la grande salle de lecture. Par chance, il n'y avait pas beaucoup de lecteurs; Stévan put l'aider dans sa recherche et passer au peigne fin pendant près de deux heures les catalogues, les bibliographies et les dictionnaires d'auteurs. Aucun Branitza n'y figurait. «Es-tu sûr que c'est bien son nom? C'est curieux, s'il a jamais publié quoi que ce soit, il devrait être catalogué ici...» lui a demandé Stévan un peu plus tard, à la cafétéria de la Bibliothèque, sourcils froncés. Il ne supportait pas les incertitudes, et était connu à la faculté pour la foule de notes souvent plus étendues que le texte de base qui truffaient ses dissertations. «Oui. Enfin, je crois. Il va falloir que je vérifie...» a répondu Adam, qui ne voulait pas dévoiler le motif de sa recherche. Il était sur le point de partir quand il a aperçu une jolie fille coiffée d'un chapeau cloche qui descendait de la salle de lecture à la cafétéria, sans doute pour se requinquer comme les autres avec du café ou du thé. «Dis-moi, quel livre a-t-elle voulu consulter?» a demandé Adam en la suivant du regard, certain que Stévan était capable de se rappeler jusqu'à des détails de ce genre, si c'était à lui que la jeune fille avait remis le bulletin indiquant l'ouvrage demandé. «Le Dictionnaire encyclopédique anglais-serbo-croate de Svétomir Ristitch, Jivoïne Simitch et Vladéta Popovitch, premier volume, de A à M, réimpression des éditions Prosveta, Belgrade, 1974», a aussitôt débité son ami, qui avait véritablement une mémoire sidérante.
Pendant quelques instants, Adam s'est demandé s'il allait attendre que la jeune fille fût remontée à la salle de lecture, ou plutôt s'y rendre lui-même pour demander le même dictionnaire et guetter son retour. L'espoir l'a frôlé que ce jour était peut-être l'un de ceux où il parvenait à se plonger si profondément dans la lecture qu'il en arrivait à prendre conscience des autres lecteurs de l'ouvrage lu. De cette manière, au cours de sa quatrième année d'études, il avait eu une romance prometteuse avec la plus belle des étudiantes de littérature comparée, mais quand il s'était décidé à l'aborder en réalité dans le hall de la faculté, elle avait simplement détourné la tête. «Aimez-vous vous promener au bord de la rivière?» avait-il insisté, cherchant à lui rappeler leur lecture simultanée d'une nouvelle réaliste située sur une berge minutieusement décrite où, pas plus tard que la veille, ils avaient passé tout l'après-midi. «J'aime bien, à condition que tu sois passé à la nage sur l'autre rive», lui avait-elle lancé en le raillant devant leurs pairs. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Sam 6 Déc 2008 - 19:15 | |
| Merci pour ce fil, Cachemire. J'ai a-d-o-r-é ce livre qui est un petit bijou de cette sublime maison d'édition | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Sam 6 Déc 2008 - 20:28 | |
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| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Sam 6 Déc 2008 - 22:51 | |
| - Cachemire a écrit:
- Cela me fait vraiment plaisir que tu aies aimé ce livre...
et l'ouverture de ce fil m'a donné envie de voir s'il y a d'autres de lui - en effet.. il m'en reste à faire une découverte Siège de l'église Saint-Sauveurje l'ai en tout cas noté.. | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Lun 8 Déc 2008 - 14:53 | |
| Un commentaire intéressant de 69 tiroirs, trouvé sur le Net.
Ce roman envoûtant de Goran Petrovic est à la fois un éloge, une mise en abyme et une allégorie de la lecture. Si la littérature ne cesse d’envahir nos vies, si les nouveaux écrivains foisonnent, rares sont ceux qui vont aussi loin dans la création romanesque. A tel point qu’on en vient à se poser des questions sur nos lectures personnelles et notre manière de lire...
En effet, lire Soixante-neuf tiroirs, c’est entrevoir la possibilité de « circuler dans un texte comme dans tout autre espace » ... « Mais une chose est sûre, quand elle lit, elle semble ne plus être là. » Quel lecteur n’a pas ressenti cette absence au monde, cette fuite du réel dans la littérature ? Goran Petrovic prend l’expression au pied de la lettre : lire, c’est partir, c’est quitter la réalité. Cela peut être tragique pour l’entourage du lecteur, comme le constate avec amertume l’un des personnages du roman : « Il avait tout offert à cette femme, et elle, elle était plus disposée à se donner à un livre qu’à lui. » Celui qui lit est bien dans un autre monde, et cela lui vaut parfois d’être incompris, de passer pour un original : « Toujours est-il que Branitza a été déclaré "un peu timbré", du fait qu’il rencontrait prétendument dans ses livres une Anglaise, femme d’un grand propriètaire terrien dans les colonies, qui, à des milliers de milles d’ici, lisait le même livre pendant les longues journées tropicales où son mari s’absentait pour faire le tour de ses plantations de caoutchouc et de thé. Elle lisait le même livre dans le but de "fréquenter" son jeune amant. » Lire, c’est donc entrer dans de nouveaux espaces, mais des espaces fréquentés par d’autres lecteurs ... C’est exactement ce qui arrive aux personnages de Goran Petrovic. Il y a ceux à qui on donne rendez-vous : « - Ecris-moi ce que tu lis et à quel moment, lui a chuchoté sa mère en l’embrassant sur les joues ». Et ceux que l’on rencontre par hasard : professeurs d’université approfondissant des recherches en littérature, politiques véreux, jeunes filles rêveuses, ... D’où le risque de tomber amoureux dans « l’espace du texte », dans cette « frontière incertaine » qu’est la littérature. Anastase, l’un des personnages du roman, va même encore plus loin, en écrivant un roman par amour : « Ca va être un roman avec nous comme seuls personnages. Un gros roman avec un fin heureuse... » Ce singulier roman va traverser le temps. Il est le fil d’Ariane de l’œuvre de Petrovic. A l’originalité du sujet, répond la composition romanesque de l’œuvre. Goran Petrovic invite son lecteur à huit lectures qui forment à elles seules « soixante-neuf tiroirs » s’ouvrant sur « un espace sans fin ». C’est toute la Serbie que nous traversons, d’un bout à l’autre du XXème siècle, à travers le regard et les lectures de personnages originaux et touchants. (Valérie Martin-Pérez) | |
| | | tom léo Sage de la littérature
Messages : 2698 Inscription le : 06/08/2008 Age : 61 Localisation : Bourgogne
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Ven 12 Mar 2010 - 19:55 | |
| Euh, cachemire et kenavo ont déjà bien loué ce livre -je me joins!
J'ai pu aborder ce livre sans savoir trop ce qui m'attendait, sauf que cela me venait d'une personne très chère. Et puis je me laissais prendre par le monde "onirique et phantastique", et pourtant décrivant des fois si bien ce que nous ressentons, lecteurs: immersion, absence-présence, créativité dans la lecture, création d'un monde en lisant, en écrivant etc.
J'ajoute que - peut-être j'ai tort - je me sentais rappelé à "L'ombre du vent" de Zafon par quelques sujets et thèmes abordés. Mais je précise que Petrovic m'a plu plus par son originalité moins prévisible et le cadre serbe! Car ce qui est Barcelone pour Zafon, Petrovic le trouve en Serbie! Et - mais je ne veux rien théoretiser là-dessus - que Petrovic est antérieur à Zafon. Il a été écrit en 2000 (si je vois bien) et a été traduit en espagnol. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Ven 12 Mar 2010 - 20:03 | |
| - tom léo a écrit:
- Euh, cachemire et kenavo ont déjà bien loué ce livre -je me joins!
contente de voir remonter ce fil.. et c'est bien de lire que tu as aimé cette lecture il y a seulement un petit problème - tu m'as donné envie de le relire | |
| | | tom léo Sage de la littérature
Messages : 2698 Inscription le : 06/08/2008 Age : 61 Localisation : Bourgogne
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Ven 12 Mar 2010 - 20:08 | |
| Pendant ton post j'ai essayé de vérifier quelque chose en regardant des articles en serbe, français et espagnol: Donc le roman de Petrovic est bien de 2000, et celui de Zafon de 2001. Mais le Petrovic a été traduit en espagnol seulement en 2007, donc probablement Zafon ne pouvait pas le connaître (juste l'éditeur espagnol de Petrovic surfait éventuellement sur une vague?).
A chacun qui a aimé de loin le Zafon, je conseille alors ici les "Soixante-neuf tiroirs". | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Ven 12 Mar 2010 - 20:14 | |
| - tom léo a écrit:
- A chacun qui a aimé de loin le Zafon, je conseille alors ici les "Soixante-neuf tiroirs".
puisque ma lecture de Zafon est devenue au cours des années moins enthousiaste, je voudrais quand même dire que le livre de Petrovic est bien meilleur | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Ven 12 Mar 2010 - 21:42 | |
| - kenavo a écrit:
- tom léo a écrit:
- A chacun qui a aimé de loin le Zafon, je conseille alors ici les "Soixante-neuf tiroirs".
puisque ma lecture de Zafon est devenue au cours des années moins enthousiaste, je voudrais quand même dire que le livre de Petrovic est bien meilleur Pour avoir lu les deux livres moi aussi, je suis d'accord avec vous, je préfère de loin " 69 tiroirs" ! | |
| | | tom léo Sage de la littérature
Messages : 2698 Inscription le : 06/08/2008 Age : 61 Localisation : Bourgogne
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Ven 3 Sep 2010 - 17:40 | |
| J'ai vu dans "le monde des livres" qu'il y a une nouveauté de coté de Goran Petrovic: Sous un ciel qui s'écaille - A découvrir? Je n'en sais pas plus pour l'instant... | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Ven 3 Sep 2010 - 19:17 | |
| - tom léo a écrit:
- J'ai vu dans "le monde des livres" qu'il y a une nouveauté de coté de Goran Petrovic: Sous un ciel qui s'écaille - A découvrir? Je n'en sais pas plus pour l'instant...
annoncé : ici il se trouve sur ma PAL - Citation :
- Présentation de l'éditeur
« La littérature de Goran Petrovi? est un espace-temps, une quatrième dimension où tout est permis, se perdre comme se retrouver. » Martine Laval – Télérama
Au sortir de la Grande Guerre, au Royaume de Yougoslavie qui vient de naître, dans une petite ville serbe, un homme ingénieux et entreprenant fait bâtir l’hôtel Yougoslavie, merveille de luxe et de modernité jamais vue dans les parages. L’hôtel possède, entre autres choses, une grande salle de bal avec un plafond en stuc représentant le ciel étoilé. Après la faillite de l’hôtel, la salle devient un cinéma, appelé Uranie, comme la muse. L’histoire poursuit ses folies, la Deuxième Guerre mondiale déferle et se retire, le royaume disparaît, le communisme s’installe, l’Uranie est désormais nationalisé, puis autogéré. On y passe des films soviétiques et yougoslaves, puis, la rupture avec Staline consommée, occidentaux et surtout américains. Un vieil ouvreur y officie, qui se prend pour le portier du paradis. Il est abattu. Son paradis est constellé de chewing-gums et de graffitis. Et le plafond étoilé, avec le temps, s’écaille. On en arrive ainsi à un après-midi de mai 1980. Sous un ciel qui tombe en poussière, une quarantaine de spectateurs assistent à une séance qui sera interrompue par une annonce sidérante : la mort du maréchal Tito. Cette fin brutale de séance marque la fin d’une époque et le premier pas vers la dislocation du pays. Bientôt, l’ancienne salle de bal de l’hôtel Yougoslavie cessera d’être un cinéma, ne servira plus qu’aux usages les plus prosaïques. Le cinéma Uranie — microcosme loufoque, galerie de portraits constituée de tous les spectateurs présents lors de la séance fatidique et de quelques autres personnages ayant joué un rôle important dans l’histoire de l’établissement — est bien entendu une métaphore de la société serbe, et, notamment — le plafond-ciel pulvérulent est là pour le rappeler — du rapport que cette société entretient avec sa transcendance, ses projets, ses rêves.
L’ironie, la drôlerie, la truculence, des pointes de férocité sous des saillies charmantes et ingénues, une profondeur et une gravité en demi teinte, mises en berne afin de ne pas claquer au vent, mais d’opérer en douceur, en douce, tels sont les principaux ingrédients qui composent le breuvage, l’oeuvre la plus pétillante de Goran Petrovic, qui, pour le situer sans fausse modestie, forme avec David Albahari et Svetislav Basara la sainte trinité de la littérature serbe contemporaine | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Sam 4 Sep 2010 - 9:52 | |
| J'ai découvert et lu ce fil, réellement, aujourd'hui. J'aime bien découvrir des fils "planqués". Et je note ce livre, il a l'air captivant ! - tom léo a écrit:
J'ajoute que - peut-être j'ai tort - je me sentais rappelé à "L'ombre du vent" de Zafon par quelques sujets et thèmes abordés. D'autres doivent penser comme toi, parce qu'en allant voir sur Amazon, ils me disent : Les clients ayant acheté cet article ont également acheté L'ombre du vent, de Zafon. Et le sujet de Sous un ciel qui s'écaille a l'air bien tentant aussi. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Goran Petrovic [Serbie] Sam 4 Sep 2010 - 17:06 | |
| - Queenie a écrit:
- Et le sujet de Sous un ciel qui s'écaille a l'air bien tentant aussi.
je l'ai commencé ce matin et c'est un pur bonheur de retrouver son écriture.. de tous les livres que j'ai commencé les derniers jours ce sera celui que je vais terminer en premier.. trop bon | |
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| | | | Goran Petrovic [Serbie] | |
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