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| Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? | |
| | Auteur | Message |
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LaChose Superviseur
Messages : 1091 Inscription le : 31/01/2007 Localisation : Fondations.
| Sujet: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Jeu 1 Fév 2007 - 19:47 | |
| To be or not to be, that is the question? | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Sam 3 Fév 2007 - 23:41 | |
| De formation littéraire, je n'ai longtemps connu du théâtre que le répertoire classique...
Et puis...et puis...lorsque je suis arrivée au théâtre pour "en faire", ce fut avec une compagnie qui ne travaille que sur les auteurs contemporains... Beaucoup de belles découvertes...qui m'ont fait un peu délaisser mes classiques pour m'ouvrir à la création d'aujourd'hui.
Je ne pourrais pas dire ma préférence entre classique et contemporain...Je ne veux pas choisir. Je ne sais qu'une chose ...ce que je ne supporte pas...et c'est le vaudeville, le Théâtre de boulevard. | |
| | | Mirandoline Envolée postale
Messages : 107 Inscription le : 15/05/2007 Age : 51 Localisation : Aude
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Jeu 15 Nov 2007 - 12:09 | |
| ça, c'est un sujet très intéressant à creuser!!! Je vis dans une petite ville où c'est pas toujours évident de se rendre au théâtre, mais le mois dernier, j'ai eu la chance d'assister à une représentation du Misanthrope par la troupe de la Comédie Française! Un enchantement! Mais je reste absolument ouverte au théâtre moderne, je ne demande qu'à mieux découvrir!!! Fan de théâtre, je rêve d'élargir mon horizon!!! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Mar 1 Sep 2009 - 14:30 | |
| En ce qui me concerne, la question ne se pose même pas : contemporain ! Je me sens beaucoup plus proche de ce théâtre parce que plus concerné. Je trouve en général le style incroyable. J'aime particulièrement la crudité la crudité du langage de certains dramaturge (je pense à Koltès ou Sarah Kane). Ces styles qui mettent mal à l'aise le lecteur et le spectateur, le déstabilisent. J'adore être dérangé et que le texte me saute au visage. De plus, le contemporain fait beaucoup plus échos en moi, il me parle davantage.
Après, je ne dénigre pas pour autant le classique ou le romantique, Victor Hugo et Shakespeare étant quand même pour moi les deux plus grand dramaturge que le théâtre ait connu. |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Mar 1 Sep 2009 - 16:03 | |
| - Dead Paradise a écrit:
- J'adore être dérangé et que le texte me saute au visage.
Pareil...Je ne recherche pas le théâtre pour simple distraction... | |
| | | Maline Zen littéraire
Messages : 5239 Inscription le : 01/10/2009 Localisation : Entre la Spree et la Romandie
| Sujet: Shakespeare Ven 30 Mar 2012 - 23:52 | |
| Je récupère un fil plutôt ancien pour rendre attentif les Parfumés Parisien qu’ils peuvent se faire une idée du théâtre « plutôt classique ou contemporain » à l’aide d’une pièce de Shakespeare, « Mesure pour mesure », qui va être jouée du 4 au 14 avril 2012 à l’Odéon-Théâtre de l’Europe par l’ensemble de la Schaubühne de Berlin.
J’ai vu la semaine dernière cette comédie à la Schaubühne, la mise en scène est de Thomas Ostermeier, le directeur actuel de ce théâtre où Peter Stein a fêté ses plus grands succès. Il ne faut pas savoir parler l’allemand pour être entraîné dans les virolés de la comédie shakespearienne. Gert Voss, un des comédiens allemands les plus brillants de sa génération et pensionnaire du Burgtheater de Vienne, joue le conte Vincentio au milieu d’en ensemble jeune plein de talents.
J’ai été éblouie par des acteurs comme Lars Eidinger dans le rôle d’Angelo, le chef intérimaire du Duché imaginaire, et Bernardo Arias Porras en Claudio et Stefan Stern en Lucio. Seule déception pour moi le rôle d’Isabella, la jeune novice sœur de Claudio, tenu par Jenny König ; elle représente si peu une jeune femme moderne.
Pour discuter la question du « théâtre plutôt classique ou contemporain », allez voir Mass für Mass (Mesure pour mesure) à l’Odéon. | |
| | | Maline Zen littéraire
Messages : 5239 Inscription le : 01/10/2009 Localisation : Entre la Spree et la Romandie
| Sujet: Shakespeare, mise en scène Thomas Ostermeier Ven 6 Avr 2012 - 15:42 | |
| Je vous avais prévenus, Le Monde est extrêmement élogieux au sujet de Mesure pour mesure, mise en scène par Thomas Ostermeier. - Spoiler:
- Citation :
- Ostermeier et Shakespeare : du grand art
C’est un spectacle à voir de toute urgence. En s'emparant de Mesure pour mesure, de William Shakespeare, le directeur de la Schaubühne de Berlin est au sommet de son art. Cette fausse comédie, très noire, qui met en scène le triptyque de la morale, du pouvoir et du désir, renvoie un saisissant miroir à notre époque déboussolée, où les excès du puritanisme et de la répression semblent répondre à ceux des pulsions sexuelles et mortifères. Au Théâtre de l'Odéon, à Paris, Thomas Ostermeier magnifie une des pièces les plus imparables qui soient sur la soumission des femmes au désir des hommes. (Le Monde, 07/04/12) ________________________________________ THéâTRE Le poids de Shakespeare, le choc d'Ostermeier Après " Hamlet " et " Othello ", le directeur de la Schaubühne de Berlin s'empare de " Mesure pour mesure "
Voilà le spectacle qu'il faut absolument voir, en cette étrange campagne présidentielle : avec Mass für Mass (Mesure pour mesure), de Shakespeare, Thomas Ostermeier, le directeur de la Schaubühne de Berlin, frappe une nouvelle fois au plus fort et au plus juste. A 43 ans, il semble au sommet d'un théâtre qui noue de manière remarquable l'intime et le politique, porté par son intelligence magistrale dans la lecture des textes, son sens de l'espace scénique et de la direction d'acteurs. Et quels acteurs ! Un roi et un prince des scènes allemandes, Gert Voss et Lars Eidinger, ici réunis en un duo inoubliable.
Mesure pour mesure, cette pièce grinçante, longtemps mal aimée, écrite par Shakespeare en 1604, après l'accession au trône d'Angleterre du nouveau roi Jacques Ier, connaît aujourd'hui un vrai retour en grâce auprès des metteurs en scène. Ce n'est pas surprenant : le triptyque de la morale, du pouvoir et du désir qu'elle met en scène renvoie un saisissant miroir à notre époque déboussolée, où les excès du puritanisme et de la répression semblent répondre à ceux des pulsions sexuelles et mortifères.
La fausse comédie, très noire, se passe à Vienne, où le duc Vincentio (Gert Voss) décide, devant la corruption générale de l'Etat et de la société, de se retirer et de confier le pouvoir au jeune Angelo (Lars Eidinger). Angelo est un puritain : " C'est à peine s'il confesse que son sang coule, ou que son appétit préfère le pain aux pierres ", fait remarquer le Duc. A peine installé au pouvoir, il démontre sa volonté de rétablir l'ordre, en faisant condamner à mort pour " fornication " le jeune Claudio, qui a fauté avec sa presque-fiancée Juliette.
Effarée par ce nouvel ordre, la jeunesse de la ville, incarnée par un joyeux libertin, Lucio, demande alors à Isabella, la sœur de Claudio, qui s'apprête à entrer dans les ordres, de tenter de fléchir Angelo et d'obtenir la grâce du jeune homme.
Le régent se montre d'abord inflexible, tenant un discours qui en rappelle d'autres, d'aujourd'hui : " Je montre surtout de la pitié quand je me montre juste ;/ Car alors j'ai pitié de ceux que je ne connais pas,/Qu'un crime absous pourrait meurtrir un jour. " Mais, devant cette incarnation de la pureté qu'est Isabella, le désir d'Angelo aux mains propres - des mains qu'il chausse, dans la mise en scène d'Ostermeier, de gants de caoutchouc blanc pour accomplir sa tâche - se réveille et s'enflamme. Il propose alors à la jeune novice de s'offrir à lui en échange de la grâce de son frère. Isabella refuse d'abord ce marché impossible, dans cette pièce où sexualité et religion se superposent jusqu'à devenir indiscernables. Avant de faire semblant de l'accepter, sous la houlette d'un étrange démiurge : le Duc, déguisé en moine, qui tire les ficelles de toute l'affaire.
Dieu que la chair est triste et le pouvoir machiavélien, dans cette pièce dans laquelle on a même pu voir une préfiguration des réflexions de Michel Foucault sur " surveiller et punir ", avec ce personnage du Duc omniscient, qui voit tout, observe tout et sera le vrai rétablisseur de l'ordre : un ordre qui, pour être moins inflexible que celui d'Angelo, a un goût bien étrange.
A la fin, Vincentio, son pouvoir pleinement restauré par son habile utilisation de la justice, prend Isabella pour femme. Il ne lui demande pas son avis. (Dé)Mesure pour (dé)mesure est une des pièces les plus imparables qui soient sur la soumission des femmes au désir des hommes.
C'est tout cela que l'on voit dans la mise en scène d'Ostermeier, dont le talent est de ne jamais affadir la violence des situations, sans pour autant plomber la représentation elle-même, qui est, comme toujours chez lui, portée par une superbe énergie de théâtre. Dans le décor une fois de plus génial de Jan Pappelbaum - une simple boîte composée de carreaux d'or sale, vieilli, et un immense lustre de cristal -, le grand Lars Eidinger, vêtu comme un jeune yuppie contemporain, est un Angelo à la cruauté raffinée et maladive, torturé par ses pulsions refoulées.
Il passe tout le début de la pièce et de son mandat, ce M. Lave-plus-blanc, à nettoyer au Kärcher - au sens propre, en direct sur la scène - tout ce qui dépasse (le jeune Claudio, les fresques gentiment érotiques peintes sur les murs...), en des scènes qui ont évidemment mis en joie le public du Théâtre de l'Odéon le soir de la première, mercredi 4 avril. Un nettoyage qui n'empêche pas l'omniprésence de la charogne de truie qui hante la scène tout au long du spectacle, accrochée au lustre de cristal, fétide et mortifère, les entrailles à l'air - quelle image !
Aux côtés de Lars Eidinger, il faut saluer la belle Isabella de Jenny Köning - le rôle est ingrat -, cette Isabella soumise à un destin qu'elle ne choisit pas, mais qui porte la réflexion sur une autorité qui, " bien qu'elle se trompe comme tout le monde, a cependant en elle une sorte de baume qui recouvre le vice d'une peau ". Quant à Gert Voss, il est impérial, en Duc de théâtre en qui se rejoignent le jeu du pouvoir et le pouvoir du jeu.
Après Hamlet, Othello et Mesure pour mesure, quel sera le prochain Shakespeare de Thomas Ostermeier ? On l'attend déjà. (Fabienne Darge, Le Monde, 07/04/12)
Mass für Mass (Mesure pour mesure), de William Shakespeare (traduit en allemand par Marius von Mayenburg). Mise en scène : Thomas Ostermeier. Théâtre de l'Odéon, place de l'Odéon, Paris 6e. Mo Odéon. Tél. : 01-44-85-40-40. Du mardi au samedi à 20 heures, dimanche à 15 heures, jusqu'au 14 avril. De 10 € à 32 €. Durée : 2 h 40. En allemand surtitré.
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| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Sam 7 Avr 2012 - 22:01 | |
| - Maline a écrit:
- Je vous avais prévenus, Le Monde est extrêmement élogieux au sujet de Mesure pour mesure, mise en scène par Thomas Ostermeier.
En effet!... | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Sam 7 Avr 2012 - 23:31 | |
| - coline a écrit:
- Maline a écrit:
- Je vous avais prévenus, Le Monde est extrêmement élogieux au sujet de Mesure pour mesure, mise en scène par Thomas Ostermeier.
En effet!... Je n'ai malheureusement pas la possibilité d'être sur Paris durant cette période... Si le spectacle va sur Bruxelles j'aurai peut-être une chance. | |
| | | Maline Zen littéraire
Messages : 5239 Inscription le : 01/10/2009 Localisation : Entre la Spree et la Romandie
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Dim 8 Avr 2012 - 21:49 | |
| - Marko a écrit:
- coline a écrit:
- Maline a écrit:
- Je vous avais prévenus, Le Monde est extrêmement élogieux au sujet de Mesure pour mesure, mise en scène par Thomas Ostermeier.
En effet!... Je n'ai malheureusement pas la possibilité d'être sur Paris durant cette période... Si le spectacle va sur Bruxelles j'aurai peut-être une chance. Si la Schaubühne repart en tournée dans un pays francophone, je vous préviendrai. | |
| | | ThehSpis Espoir postal
Messages : 22 Inscription le : 14/06/2012 Age : 29 Localisation : Côte d'Azur
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Jeu 14 Juin 2012 - 22:09 | |
| Bonjour! Je me permets de donner mon avis (en tant que Newbie du forum^^) : J'ai eu l'occasion de jouer trois pièces classiques et une contemporaine. Je pense que lorsqu'on présente une pièce classique elle est chaudement accueillie par le public, parce qu'il connait l'histoire de la pièce et souvent l'auteur. Cependant, quand on la joue on est assez coincé dans un jeu spécifique car le rôle a été pris et repris. Il y a une "empreinte" personnelle des acteurs au fil du temps (autant que je puisse en juger à niveau de comédien) ce qui gêne beaucoup dans l'innovation et le fait de laisser soi-même son "empreinte" dans le rôle.
Cependant les classiques restent mieux accueillis que les pièces contemporaines.
Il faut aussi dire que de très nombreuses pièces contemporaines amènent plus à réfléchir plutôt qu'à faire rire. Le théâtre de la ville où je vis propose des pièces qu'on entend appeler "intello" dans la rue et par le grand public, pas ceux qui sont assez habitués du spectacle (j'entends par là tous ceux qui touchent de près ou de loin le théâtre, donc tous ceux qui n'y vont pas régulièrement) et qui n'enthousiasment pas les foules. Les pièces contemporaines réfléchissent à la condition de l'homme, à l'avenir etc. Je pense que c'est le climat de mondialisation dans lequel on vit qui fait ça. On trouve par contre d'excellentes pièces de théâtre avec une histoire (oui, certaines ne proposent même pas d'histoire, c'est assez dérangeant). Pour exemple marquant il y a Le porteur d'histoire, d'Alexis Michalik que j'ai eu l'occasion de voir il y a de cela un mois. C'est une excellente pièce qui prend totalement dans l'histoire. Le récit est très détaillé, et les comédiens sont excellents. Des critiques que j'ai pu retenir de la "descente dans le hall" c'est à dire durant la sortie de spectacle, c'est que l'histoire était très bien construite et qu'il y avait un haut niveau de jeu des comédiens. Cependant, avec la troupe, on a noté une certaine indifférence/un avis plus réservé de la part des adultes. Les adolescents ont sensiblement plus appréciés la pièce que les adultes.
Moi-même je participe à Ainsi va la Vie, de Christine Monpoix, théâtre lycéen qui a levé les foules et a été invité au festival d'Avignon 2013 (c'est vous dire). On peut donc dire que les avis sont très controversés, puisque de toutes les pièces que j'ai jouées, c'est la contemporaine qui a remporté le plus de succès. C'est aussi celle avec laquelle j'ai pris le plus de plaisir. Donc je pense qu'on apprécie le classique pour ses qualités de texte et la confiance que l'on a dedans. Tandis que le contemporain est souvent plus surprenant (pour exemple j'ai Temps de Wajdi Mouawad qui nous avez été vivement conseillée par notre prof sur les précédents succès de cet auteur, et qui s'est révélé une assez mauvaise surprise en songeant que notre groupe d'adolescents s'est retrouvé face à la réalité perverse de l'inceste, avec des images qui nous ont passablement "choqués" car nous n'étions pas habitués à voir des actes qui restent souvent dans le cercle de l'intimité. J'ai par contre le sentiment très fort de comprendre le désir de l'auteur de briser les interdits et les tabous. Le sujet en lui-même est assez choquant. On a remarqué aussi un choix assez incohérent des comédiens). Il suscite donc moins l'attirance. Les gens on plutôt tendance à aller voir une pièce où ils sont certains de passer un bon moment ("allons voir une de Molière, on va rigoler") plutôt que de se hasarder dans le contemporain ("sur quoi on va tomber ce soir?").
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| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Ven 15 Juin 2012 - 22:58 | |
| Bonjour ThehSpis, je viens de lire attentivement ce que tu as posté ci-dessus...Je salue ton amour du théâtre, je le partage avec toi. Tu verras il y a pas mal de commentaires dans les rubriques théâtre du forum. Personnellement, je suis une "fondue" de Wajdi Mouawad. Mais je comprends tout à fait ce que tu dis de cette pièce violente qu'est TEMPS. Ce que tu as pu ressentir. Tu vas pouvoir d'ailleurs contribuer à ce fil: clic! Et voici de la lecture! clicclicclic | |
| | | ThehSpis Espoir postal
Messages : 22 Inscription le : 14/06/2012 Age : 29 Localisation : Côte d'Azur
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? Dim 17 Juin 2012 - 19:34 | |
| merci! Oui c'est vrai, je n'ai pas beaucoup apprécié la pièce, mais peut-être que je suis trop jeune encore pour saisir toute la portée du texte et de la mise en scène. (Par contre je comprends vraiment pas le choix des comédiens --') | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Théâtre : plutôt classique ou contemporain ? | |
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