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| Douglas Kennedy | |
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Auteur | Message |
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chrisdusud Sage de la littérature
Messages : 2076 Inscription le : 20/04/2008 Age : 56 Localisation : Corse
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Dim 15 Juin 2008 - 20:44 | |
| Moi je ne dirai pas autant de mal de cet écrivain . Bon, "la femme du Vème" c'est vraiment pas bien. Mais par exemple je ne trouve pas "cul de sac" si mauvais. L'histoire est plutôt marrante et l'écriture assez incisice : phrases courtes que l'on rterouve souvent dans la littérature américaine. J'ai bien aimé "la poursuite du bonheur" aussi.
C'est simple à lire comme un roman de gare. Et c'est bien mieux que Marc Levy. | |
| | | Héri Envolée postale
Messages : 193 Inscription le : 16/04/2008 Age : 32 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Dim 15 Juin 2008 - 21:34 | |
| Je n'ai lu que La Femme du Vème de Douglas Kennedy. Je n'ai peut-être pas commencé par le bon. Mais maintenant je n'ai aucune envie d'aller plus loin. Je me suis vraiment ennuyé dans ce livre, je n'ai pas du tout aimé le personnage. Je n'ai continué ma lecture que pour comprendre le mystère de la femme du Vème. Mais j'ai été franchement déçu par la fin. L'explication de l'auteur à tous ces mystères m'a vraiment laissé sur ma fin et j'étais complètement insatisfaite. - Spoiler:
J'aurais voulu quelque chose de rationelle. Une VRAIE explication.
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| | | chrisdusud Sage de la littérature
Messages : 2076 Inscription le : 20/04/2008 Age : 56 Localisation : Corse
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Dim 15 Juin 2008 - 22:27 | |
| - Héri a écrit:
- Je n'ai lu que La Femme du Vème de Douglas Kennedy. Je n'ai peut-être pas commencé par le bon. Mais maintenant je n'ai aucune envie d'aller plus loin.
Je me suis vraiment ennuyé dans ce livre, je n'ai pas du tout aimé le personnage. Je n'ai continué ma lecture que pour comprendre le mystère de la femme du Vème. Mais j'ai été franchement déçu par la fin. L'explication de l'auteur à tous ces mystères m'a vraiment laissé sur ma fin et j'étais complètement insatisfaite.
- Spoiler:
J'aurais voulu quelque chose de rationelle. Une VRAIE explication.
Je suis bien d'accord avec toi Heri. Je trouve que c'est un livre baclé. La fin est stupide. L'histoire l'est aussi remarque. Sincèrement Douglas a fait nettement mieux. | |
| | | Menyne Agilité postale
Messages : 864 Inscription le : 26/04/2008 Age : 53 Localisation : dis z'y mieux !
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Ven 24 Juil 2009 - 10:21 | |
| L'homme qui voulait vivre sa vie - Citation :
- La vie de Ben Bradford n'est qu'une vaste comédie : en apparence c'est un père et un mari comblés, en réalité il souffre de la froideur de son épouse. Brillant avocat envié par ses pairs, il ne rêvait que d'être photographe.
Alors qu'il se persuade qu'il est heureux, il découvre que sa femme le trompe et, qui plus est, avec un photographe ! Anéanti, il supprime son rival. Que faire ? Se rendre ou fuir ? Ben choisit la fuite et recommence une nouvelle vie à l'autre bout des Etats-Unis en prenant l'identité de sa victime.
J'ai eu l'impression de lire le scénario d'un mauvais téléfilm américain ! C'est trop long, trop lent. Je suis allée jusqu'au bout mais il a fallu que je me motive. L'écriture est agréable mais je ne trouve rien de palpitant. Je n'ai pas été captivée. L'histoire ne tient pas trop debout, c'est trop 'gros'. Ce n'est pas mon univers et en lisant vos commentaires, je m'aperçois que je ne suis pas la seule à ne pas accrocher ! | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Sam 1 Aoû 2009 - 16:22 | |
| - Citation :
- Le soir de son treizième anniversaire, lors d’une énième dispute entre ses parents, Jane Howard annonce qu’elle ne se mariera jamais et n’aura jamais d’enfants.
Mais sommes-nous maître de notre destinée ?
Une quinzaine d’années plus tard, Jane est professeur à Boston et amoureuse de Theo, un homme brillant et excentrique qui lui donne une petite Emily. À sa grande surprise, Jane s’épanouit dans la maternité. Mais la tragédie frappe et Jane, dévastée, n’a plus qu’une idée en tête : quitter le monde.
Alors qu’elle a renoncé à la vie, c’est paradoxalement la disparition d’une jeune fille qui va lui donner la possibilité d’une rédemption. Lancée dans une quête obsessionnelle, persuadée qu’elle est plus à même de résoudre cette affaire que la police, Jane va se retrouver face au plus cruel des choix : rester dans l’ombre ou mettre en lumière une effroyable vérité... Quitter le monde. Il y a plusieurs romans de Douglas Kennedy qui pourraient porter ce titre tant cette idée d'abandonner sa vie et de se reconstruire sans se retourner semble hanter l'auteur, devenu pourvoyeur de best sellers instantanés. Son dernier roman donne l'impression d'avoir été conçu à partir de ses intrigues précédentes en y injectant à doses homéopathiques quelques éléments nouveaux afin de laisser penser, dixit la quatrième de couverture, qu'il s'agit "du roman le plus ambitieux de Douglas Kennedy." C'est surtout le plus convenu, le plus attendu, le moins crédible également avec une dernière partie sous forme de thriller qui frise le ridicule avec son héroïne plus forte que la police ! Comme Kennedy a du savoir faire, le livre se dévore très vite avant de laisser place à une désagréable indigestion. La preuve qu'il y avait quelque chose d'avarié dans les ingrédients utilisés. | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Sam 1 Aoû 2009 - 17:56 | |
| Moi j'aime bien Kennedy même si cela fait bien longtemps que je ne l'ai pas lu. Je trouve que ses romans, même s'ils sont tous construits sur le même schéma, font passer quelques heures de détente, vraiment cool en fait. Ce n'est pas mal écrit et souvent ses histoires accrochent bien. Celui que j'ai préféré sur les 4-5 que j'ai lus est A la poursuite du bonheur. | |
| | | mimi Sage de la littérature
Messages : 2032 Inscription le : 19/07/2007 Localisation : Auvergne
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Jeu 6 Aoû 2009 - 22:59 | |
| ça fait un drôle d'effet quand on découvre un auteur et qu'on lit les commentaires des uns et des autres.
Pour l'instant, moi, dans "la poursuite du bonheur", je n'y ai vu que du bon. ça se lit bien mais d'ici à dire que c'est un "roman de gare" Wouah !!! Honnêtement, moi je trouve que Douglas Kennedy a un sacré talent. Bon après, reste à se mettre d'accord sur le mot "talent".
L'histoire commence par un évènement plutôt dramatique : un enterrement. Et pourtant, excusez-moi JE pouffe ! Je sais, c'est irrévérentieux mais c'est comme ça. Soit dit en passant, ça n'empêche pas d'avoir quelques réflexions profondes et mélancoliques. Un peu cynique, le personnage. Mais c'est tellement bien vu. Toutes ces petites phrases complètement décalées qui viennent n'empêchent d'ailleurs pas de pleurer même si : "nous ne pleurons pas seulement sur les disparus mais aussi sur nous-mêmes, sur la brièveté choquante de la vie, sur cette accumulation permanente de futilités, sur tous les faux pas que nous commettons en descendant le chemin de l'existence, tels des étrangers dépourvus de repères et de cartes, pris à défaut à chaque tournant..." | |
| | | mimi Sage de la littérature
Messages : 2032 Inscription le : 19/07/2007 Localisation : Auvergne
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Jeu 6 Aoû 2009 - 23:11 | |
| 2 phrases plus loin...
"L'enfant en deuil est évidemment le centre d'intérêt, dans ce genre de situation. Les autres attendent que vous, l'être le plus proche du défunt ou de la défunte, donniez le la émotionnel de la réunion. Si vous vous mettez dans un état épouvantable, ils n'auront aucun scrupule à laisser libre cours à leur chagrin. Si vous sanglotez, ils s'autoriseront quelques larmes. Et si vous gardez tout en vous, ils sauront aussi se contrôler, se montrer "corrects". Alors comme j'étais très disciplinée, très correcte, ainsi se comportaient la vingtaine de personnes venues accompagner ma mère dans "son ultime voyage", selon l'expression employée par l'ordonnateur des pompes funèbres lorsqu'il m'avait annoncé le prix qu'il allait me prendre pour la transporter de la"chapelle de repos", sur la 75e Rue au niveau d'Amsterdam Avenue, jusqu'à "sa demeure éternelle"... à Flushing Meadow, juste sous l'axe des avions en approche de l'aéroport de La Guardia. Elle avait déjà fui mon regard quand j'ai entendu un grondement de réacteurs qui m'a fait lever les yeux vers le bleu hivernal du ciel. Nul doute que certains membres du cortège funèbre ont cru que je m'étais plongée dans la contemplation du paradis lointain, et que je me demandais quelle place ma mère avait prise dans la céleste immensité. En réalité, je ne cherchais qu'à distinguer les couleurs de l'appareil engagé dans sa descente. "US Air, ouais. Un de ces vieux 727 dont ils se servent encore sur court-courriers. Sans doute la navette de Boston ou celle de Washington..." Incroyable, la banalité, le n'importe quoi de ce qui peut vous traverser l'esprit aux moments les plus graves... | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Ven 7 Aoû 2009 - 0:04 | |
| - mimi a écrit:
- ça se lit bien mais d'ici à dire que c'est un "roman de gare" Wouah !!!
Je suis d'accord, on ne peut certainement pas dire ça. Ce livre est assez différent des autres, plus long déjà, avec un personnage central très réussi. Un bon souvenir. | |
| | | mimi Sage de la littérature
Messages : 2032 Inscription le : 19/07/2007 Localisation : Auvergne
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Mer 19 Aoû 2009 - 8:07 | |
| Déjà le 18/08 ! J'avance doucement mais sûrement. L'impression reste bonne. L'écriture est devenue plus romancée c'est-à-dire plus axée sur le scénario et les dialogues. Le narrateur n'est plus le même et le ton a perdu son humour du début. J'imagine que le premier narrateur reprendra sa place à la fin de l'histoire, enfin j'espère. Un passage sans finesse, celui d'une histoire de mariage raté. Là, l'auteur est franchement mauvais. Il bâcle ! Reste que le ton reste suffisamment léger pour ne pas être ennuyeux, l'histoire avance au prix de quelques invraisemblances mais je me balade à Manhattan et c'est bien agréable. | |
| | | chrisdusud Sage de la littérature
Messages : 2076 Inscription le : 20/04/2008 Age : 56 Localisation : Corse
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Mer 19 Aoû 2009 - 19:32 | |
| J'aime bien Douglas Kennedy. EN tout cas ce qu'il faisait avant la femme du Vème. Et je me suis fait certainement mal fait comprendre mais quand je parle de romans de gare, je veux dire par là que l'histoire est sympa l'écriture l'est aussi mais que pour moi ce ne sont pas des livres qui me marquent, des livres qui me nourrissent. Mais il n'empêche que c'est agréable à lire et que j'ai besoin de ce genre là après un livre un peu difficile. Voilà ce n'était pas péjoratif mais Kennedy n'est pas pour moi un génial auteur. | |
| | | lyana79 Envolée postale
Messages : 208 Inscription le : 04/04/2008 Age : 44 Localisation : Suisse
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Sam 24 Oct 2009 - 15:55 | |
| La femme du Vè:
Invraisemblable est le mot qui me vient à l'esprit pour qualifier ce livre! comme l'échographie qui permet de diagnostiquer une commotion cérébrale chez la fille du héros...
Autant j'ai été enchantée au début par le côté réaliste des événements et la capacité qu'a l'auteur de décrire les affects dépressifs autant la fin m'a profondément déçue...je n'ai pas aimé cet aspect fantastique ou plus justement fantasmatique...
En même temps je me dis que vu les problèmes dans lesquels le héros s'est empêtré ça aurait été difficile de finir le roman autrement que par sa mort ou sa condamnation! d'où le recours à l'invraisemblable pour le sortir d'affaire.
Bref, un livre à oublier... | |
| | | Bluemarilyn Envolée postale
Messages : 121 Inscription le : 04/12/2009 Age : 37 Localisation : En Côte d'or, aux portes du Jura
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Jeu 21 Jan 2010 - 21:40 | |
| - lyana79 a écrit:
- La femme du Vè:
Invraisemblable est le mot qui me vient à l'esprit pour qualifier ce livre! comme l'échographie qui permet de diagnostiquer une commotion cérébrale chez la fille du héros...
Autant j'ai été enchantée au début par le côté réaliste des événements et la capacité qu'a l'auteur de décrire les affects dépressifs autant la fin m'a profondément déçue...je n'ai pas aimé cet aspect fantastique ou plus justement fantasmatique...
En même temps je me dis que vu les problèmes dans lesquels le héros s'est empêtré ça aurait été difficile de finir le roman autrement que par sa mort ou sa condamnation! d'où le recours à l'invraisemblable pour le sortir d'affaire.
Bref, un livre à oublier... Je suis d'accord avec toi sur de nombreux points. L'histoire paraît cohérente jusqu'à l'apparition de Margit... C'est comme si on avait à faire à deux récits différents dans un même roman et le passage de l'un à l'autre est plutôt difficile à digérer. Si le fantastique s'imice progressivement dans la "réalité" de l'histoire ( Le Horla de Maupassant en est un exemple), ici le changement d'atmosphère, de genre, est brutal et nuit à l'histoire en entier. | |
| | | Mélusine Espoir postal
Messages : 43 Inscription le : 19/05/2010 Age : 57 Localisation : Bouches du Rhône
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Sam 22 Mai 2010 - 10:34 | |
| J'aime beaucoup cet auteur... Mon premier livre lu de lui a été Cul-de-sac, et j'ai adhéré tout se suite Je l'ai rencontré récemment et je dois dire qu'il a un charisme indéniable. J'ai continué avec "Rien ne va plus" et "Une relation dangereuse"... Je vous faire partager, mes impressions sur son premier roman et le premier que j'ai lu aussi : Cul-de sac donc... Mes impressions :Nick 38 ans, a passé 10 ans de sa vie à sillonner la côte Est pour son job de pigiste itinérant. Poussé par le désir de voyager, il décide un jour, de tout quitter pour exercer son activité dans un journal un peu plus connu et reconnu. Il s’engage et accepte du travail dans le Sud. Mais avant de se résigner à travailler pour un contrat d’une durée de deux ans ; il décrète de se payer quelques jours de vacances à Boston. Arrivé sur les lieux, il entre dans une librairie il aperçoit une carte routière de l’Australie, lui-même se dit que finalement il aurait du s’abstenir de le faire…mais poussé par la curiosité il ne peut s’empêcher de l’ouvrir et de la consulter. Le lendemain après une nuit de sommeil passée dans un hôtel, sa décision est prise : attiré et désireux de visiter l’Australie, cité comme étant « le Pays de nulle part » il tente l’aventure. Il annule alors auprès de ses futurs patrons sa promesse d’emploi, entasse ses maigres affaires dans sa Volvo, vide sont compte en banque, achète un billet d’avion et 36 heures après se retrouve dans une ville perdu du nom de Darwin ; il fait une halte dans un bar et trouvent que les gens sont vraiment curieux, avec leur propres idées reçus et leur façon de s’exprimer… Une nuit après voir acheté à deux missionnaires de la « parole de Dieu » leur combi, il roule de nuit vers le sud …mais là il heurte un Kangourou et toute sa tranquillité et sa nonchalance vont se trouver ébranlées, rien ne sera plus comme avant, surtout lorsqu’une jeune fille pulpeuse de 21 ans, croise sa route…. Après quelques mauvais traitements il se verra propulsé indépendamment de sa volonté dans un univers désert, hostile vraiment particulier nommé Wollap ; un village très reculé du reste de la civilisation, rayé de la carte, peuplé de personnes peu scrupuleuses au passé douteux, avec comme seules lois et règles celles qu’ils ont établies eux mêmes, leur manière de vivre est à la limite moyenâgeuse. Durant les heures et les jours qui suivront, Nick passera par toutes les émotions ; les prémices du bonheur se verront anéantis par la douleur, la haine, l’espoir, le doute puis la déprime, jusqu’à atteindre le point de non retour. Un infime espoir en la personne de Kristal fait son apparition, ils escomptent échapper à cet enfer, ensemble ils élaboreront un plan dans lequel les talents de mécanicien de Nick seront précieux mais mis à dure épreuve…la fin s’accélère jusqu’au dénouement tragique. J’ai adoré le style efficace de l’auteur. Le livre est remarquablement écrit, impressionnant, terrifiant, mais aussi drôle et caustique. Les lecteurs y entrent facilement et restent en alerte ; une fois le livre ouvert, je n’ai plus pu le lâcher. Un début, une fin bien délimités et entre eux deux, l’enfer. En conclusion un roman très agréable, construit à la perfection, avec du suspense, de l’effrayant et malgré tout de l’humour qui fait parfois froid dans le dos. Mélusine | |
| | | chrisdusud Sage de la littérature
Messages : 2076 Inscription le : 20/04/2008 Age : 56 Localisation : Corse
| Sujet: Re: Douglas Kennedy Sam 22 Mai 2010 - 10:57 | |
| Pour moi, Cul de sac est son meilleur livre. Je l'ai lu bien après les autres et je crois savoir que c'est un de ses premiers livres. Je suis d'accord avec toi Mélusine: très bien construit, du suspens garanti et une écriture bien ciselée.
Dernière édition par chrisdusud le Sam 22 Mai 2010 - 13:16, édité 1 fois | |
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