Le piano bar

ça grandiloque un peu beaucoup par instants mais dans l'ensemble c'est assez tentant cet extrait non ?

(qu'il dit le zozo qui clique tous les 36 du mois sur ce fil... question de temps notamment).

Le lyrisme de la 3ème symphonie du suédois Kurt Atterberg, 3e mouvement un peu amputé du début:

Andante de la 1ère symphonie de Carl Nielsen. En attendant d'aller écouter la 4ème symphonie en janvier pour la réouverture du Nouveau Siècle à Lille avec sa salle toute neuve sur le modèle des grandes salles de concert européennes.

Un air de l'Orfeo de Gluck transcrit par Sgambati, ici interprété par Nelson Freire :

Est-ce que le thème de ce morceau ne vous rappelle pas la BO signée John Williams pour un film bien connu ?

J'ai pas été plus loin que deux minutes mais il m'a bien semblé reconnaître le thème de ce vieux film dans lequel Truffaut faisait l'acteur...

Encore un grand compositeur qui disparaît. Jonathan Harvey que j'aimais beaucoup pour sa musique de synthèse qui était entre sérialisme et spectralisme, occident et Orient, acoustique et électronique. J'espère qu'on lui rendra hommage en concert.

Un peu de musique russe interprétée par Toscanini.
Voici les premier et deuxième mouvements de la Première symphonie de Vassili Kalinnikov (1866-1901), compositeur soutenu notamment par Tchaïkovski.
  

Je vous conseille vivement ce récent CD consacré à Dutilleux par Esa-Pekka Salonen. Barbara Hannigan chante la version intégrale inédite des Correspondances et on peut entendre Tout un monde lointain et The shadows of time.

Dire quelque chose à propos parait superflu. Enfin, en ce qui me concerne...
Mais vos commentaires sont les bienvenus (clin d’œil)

Une valeur sure pour ma part.

Une toute jolie Pastorale de Moondog :

@eXPie : Vraiment jolie, jouée avec quel instrument ?

C'est de la harpe, jouée par Gillian Stephens.

Dernières acquisitions:



Gergiev inaugure une nouvelle tétralogie avec cet enregistrement de La Walkyrie qui propose une distribution haut de gamme. Si la qualité d'enregistrement et de la direction musicale est au même niveau que son précédent Parsifal ça devrait être fantastique. Je vais l'écouter dans le week-end.

J'ai découvert le compositeur Michael Torke à l'occasion de cette anthologie DECCA des oeuvres marquantes du XXe siècle. Ce CD rassemble l'essentiel de ses compositions et c'est très séduisant pour peu qu'on apprécie la musique minimaliste de Steve Reich et de John Adams à laquelle on pense beaucoup. C'est très dynamique, très américain, parfois un peu trop tonitruant mais brillant d'un point de vue rythmique avec quelques envolées très inspirées.