Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyDim 27 Sep 2015 - 20:25

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Divry10
Sophie Divry : Quand le diable sortit dans la salle de bain. - Noir sur blanc/Notabilia

"Le 4e roman de Sophie Divry se penche sur un problème courant  dans notre société, la précarité, qu' il aborde sous
son aspect le plus trivial : Qu' est-ce qu' on fait quand on a faim ?
Le thème est sérieux, mais l' auteur le traite avec un humour très pointu et fait de sa narratrice une figure picaresque
et attachante, dans une prose au style nerveux, et pleine d' énergie."

Extrait de l' art. de Santiago Artozqui
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyDim 27 Sep 2015 - 20:34

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Eimar_10

Eimar McBride : Une fille est une chose à demi. - Buchet-Chastel

"Le livre, paru en anglais en 2013 sous le titre "A girl is a half-formed thing", a mis des années à trouver un éditeur ; c' est désormais
chose faite et cette nouvelle voix ne peut lasser indifférent, meme en traduction.
Un livre dur, intense, déchirant et déconcertant.'

Extrait de l' art. de Sophie Ehrsam.
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyDim 27 Sep 2015 - 20:48

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Musil10
Frédéric Joly : Robert Musil : Tout réinventer. - Seuil

"Dans sa substantielle biographie de Musil -la première en France-, F. Joly dissipe d' emblée une possible erreur d' appréciation :
pas de nostalgie des fastes de la Vienne impériale chez l' écrivain autrichien.
A Vienne, en 1910, note-t-il, les novateurs irrécupérables, commr Freud, Wittgenstein ou Schonberg, "ne sont pas courtisés par le
pouvoir" et travaillent tous "dans la solitude."

Extrait de l' art. de Jean Lacoste.
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyJeu 8 Oct 2015 - 17:39

Au sommaire du N° 1 136

- Patrick Pécherot : Une plaie ouverte

- Kristin Ross : L' Imaginaire de la Commune

- Comité Invisible : L' Insurrection qui vient

- Michael Kohlmeier : Deux messieurs sur la plage

- Paul Louis Rossi : Berlin

- Virginie Despentes : Vernon Subtex

- Oya Baydar : Et ne reste que des cendres

- Clemens Meyer : Quand on revait

- Beata Umubyeyi Mairese : Ejo

- Jean-Frédéric Schaub : Pour une histoire politique de la race
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyVen 9 Oct 2015 - 19:57

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Rossi11

Les livres de Paul Louis Rossi sont souvent dez voyages dans le temps et les souvenirs.
Régine, écrivait-il, "cherche aussi à préserver la mémoire et quelques vestiges d' un monde englouti dans la destruction, à la périphérie
des villes d' aujourd' hui" : la première, sa ville natale, Nantes, occupée par les Allemands, détruite par les bombardements de 1943,
l' année fatale de l' arrestation de son père.
Aujourd' hui, Berlin. Le livre qui relate son premier voyage dans cette ville anéantie par la guerre lui permet, après une longue maturation,
de "conduire la parabole à sa boucle ultime."

Extraits de l' art. de Dominique Rabourdin.

Quelqu' un connait-il l' auteur ? B
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyVen 9 Oct 2015 - 20:12

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Beata10
     
EJO DE BEATA UMUBYEYI MAIRESSE. - La Cheminante


Ejo, seulement trois lettres pour dire notre origine et notre avenir. Un seul petit mot en kinyarwanda, la langue nationale du Rwanda, pour reconquérir la vie, retrouver les mots d’avant et inventer ceux d’après le génocide des Tutsi. Ejo, comme un exilir de paroles croisées, vivantes, vibrantes, ambiancées, de femmes très attachantes en quête d’elles-mêmes, comme nous le sommes de nous-mêmes – la terrible parenthèse du pire en moins. Et une jeune auteure franco-rwandaise Beata Umubyeyi Mairesse, exceptionnelle conteuse qui, en dix nouvelles, réinvente l’avenir d’un pays meurtri. Une écriture sans concession, à bras ouverts, alerte, pleine d’humour, de tendresse et de courage. Embarquement assuré vers l’autre. Le seul voyage qui vaille d’être vécu.

PORTRAIT BEATA UMUBYEYI MAIRESSE
Avant-propos de l’auteure :

« J’ai appris le français avec les Belges et l’anglais avec les Canadiens. Ce qui m’a plus tard donné l’impression d’écrire et de parler avec des langues de seconde main. En kinyarwanda, seconde-main se dit sekeni et vient de l’anglais second-hand. Le kinyarwanda est ma langue maternelle, celle avec laquelle j’ai commencé à nommer le monde, dans laquelle on m’a attribué un nom – Umubyeyi. Le français est arrivé très vite après, à la maternelle de l’école internationale (belge) de Butare. Quelques années plus tard, dans cette même école, c’est une dame aux traits asiatiques, venue de Vancouver, je crois, qui m’apprendrait mes premiers mots d’anglais.

Lors d’un récent séjour au Rwanda, j’ai réalisé que nous étions ainsi quelques-un(e)s de ma génération à jongler aisément et constamment avec l’anglais, le kinyarwanda et le français, utilisant une langue ou l’autre à-propos, comme un costume que l’on adapte à l’interlocuteur ou l’interlocutrice en face de soi.
Toute mon enfance, j’ai été habillée de fripes achetées au marché de Butare. J’aime bien les affaires d’occasion. On n’a pas peur de les abîmer, elles ont déjà affronté la réalité. Certes, elles sont moins flamboyantes, mais tellement plus fiables. Moins exigeantes aussi. J’avais, à quinze ans – à la veille du génocide – un vêtement d’occasion auquel je tenais particulièrement car il était réversible. Un de ces gilets sans manches que l’on portait alors sur un T-shirt ou une chemise. Noir d’un côté, rouge de l’autre. Une peau métisse génère un tas de représentations. Blanche en Afrique, noire en Europe. Souvent, c’est en parlant aux gens dans leur propre langue, sans le moindre accent, que j’ai réussi à me libérer de la caricature. Porter sa peau comme on porte un vêtement réversible. Pour sauver cette peau, pendant le génocide, j’ai prétendu que je ne parlais pas du tout le kinyarwanda. Renier ma langue maternelle. Être blanche pour leur faire oublier que j’étais aussi noire, Tutsi.

Dans la plupart des langues, hier et demain sont désignés par des mots différents. En kinyarwanda, qui est pourtant une langue très riche et raffinée, c’est un même mot qui exprime les deux temporalités : ejo. C’est dans les méandres du récit, dans la conjugaison des regrets, que l’on devine le temps désigné.
Et aujourd’hui ? Ce n’est pas simple.
Rescapée, transfuge social et « racial »;  j’ai tenté, dans ces quelques textes de fiction, de peindre cet ejo complexe, à travers des histoires de femmes qui disent leur passé simple, leur conditionnel présent et leur futur, certainement imparfait. Des textes qui illustrent combien hier épuise, hante et bouleverse la vie des survivant(e)s du génocide des Tutsi du Rwanda.
Ceci n’est pas un recueil de nouvelles du génocide. Il y est question de l’avant, l’ejo-hier, ces années d’espoir et d’inquiétude mêlées, mais il s’agit surtout ici des jours d’après, l’ejo-demain de la survivance. »

L' Editeur : La Cheminante

"Febronie, Pélagie, Kansila, Sœur Anne, France, Speciyosa, Agrippine, Bazilisa, Béatrice, Euphrasie et Blandine : il est important de nommer les onze  femmes faites de réalité et de fiction, dont chacune donne son titre à chacune des nouvelles de Beata. Née en 1979
à   Butaré (Rwabda), celle-ci restitue leur monde en leur donnant voix, au cœur d' un pays voyant venir ou constatant le génocide des
Tutsi de 1994." 

Extraits de l' art. de Pierre Benetti
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptySam 10 Oct 2015 - 18:24

Nouvelles alarmantes (ou alarmistes ?) sur l'avenir de la Quinzaine : http://www.fabula.org/actualites/est-ce-la-fin-de-la-quinzaine-litteraire-par-t-samoyault-p-pachet-j-lacoste_70546.php
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptySam 10 Oct 2015 - 19:58

Nouvelles pas très bonne en effet. Maurice Nadeau était parvenu au prix de difficultés considérables à fédérer une équipe fidèle et
bénévole autour de lui. Son intelligence, son autorité, sa culture et son charisme avaient réussi à faire flotter le navire.
Main on ne remplace pas un Nadeau ou difficilement. La loi du marché risque de prendre le pas sur l' esprit d' aventure et la continuité
qui semblaient naturelle au lecteur que je suis depuis très longtemps.

J' espère encore que le journal continuera sans se trahir.
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyVen 16 Oct 2015 - 17:07

Au sommaire du N° 1 137

- Eric Holder : La Saison des bijoux

- Boualem Sansal : 2084

- Darragh Mickeon (Irlande) : Tout ce qui est solide se dissout dans l' air

- Christos Tsiolkos (Australie) : Barracuda

- Vassili Rozanov : Dernières feuilles - Koukkha

- Javier Cercas : L' Imposteur

- Alessandro Mari : Les Folles espérances
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptySam 17 Oct 2015 - 16:45

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Holder11

« Faire une saison », c’est l’idée que Jeanne et Bruno se sont mise en tête : quitter les monts du Lyonnais pour aller planter parasols et tréteaux au grand vent de l’Atlantique, sur la place du village balnéaire de Carri, à la lisière des dunes. Marchands ambulants, ils forment une petite tribu que complètent Alexis, onze ans, et Virgile, soixante et un. On les appellera en toute simplicité les Bijoux, ils disposeront d’une poignée de mètres carrés au soleil et seront adoubés par des confrères nommés Nanou Primeurs, Fromage ou Château-Migraine le bougnat. Et puis il y a Forgeaud, le boss du marché, protecteur incontournable et despote au passé obscur, Forgeaud qui, frappé par la beauté de Jeanne, en perd le souffle et se promet de la posséder avant la fin de l’été.

Plus que jamais dans son élément, Éric Holder s’empare de cette saison mouvementée au goût de sel, prétexte à un exercice virtuose de portraitiste, à des scènes et tableaux qui réservent un régal de lecture. Mais surtout, cette chronique délicate et amoureuse rend hommage à une société, à la fois marginale et populaire, dont la littérature parle rarement."

L' Editeur : Le Seuil

"Eric Holder aime l' éllipse, les silences, la litote. Il écrit dense et on l' a connu pour ses courts romans ou pour ses nouvelles...
On parle parfois de romans populaires, mais rares sont ceux qui, comme La Saison des Bijoux montrent ce peuple dans toute sa
simplicité, son élégance et sa vitalité, comme le faisait le cinéma de l' entre-deux-guerres."

Extrait de l' art. de Norbert Czarny
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptySam 17 Oct 2015 - 23:04

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Tsiolk10

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Christos Tsiolkos, qui a fait ses preuves avec La Gifle, revient avec force, avec un 5e roman, Barracuda, combat d' un jeune homme
pour etre et s' accepter soi-même. Ce faisant, il mène une réflexion plus politique sur l' Australie, sur le destin des immigrés, la
fascination de la performance.
Un texte qui respire et souffle comme une brasse papillon, puissant, sensible, toujours dans l' entre-deux des eaux, des classes, comme
du bien et du mal.

Extrait de l' art. de Liliane Kerjan
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptySam 24 Oct 2015 - 20:23

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Mckeon10

"En face de la terrible catastrophe de Tchernobyl, un aussi terrible sentiment d' impuissance, une immense compassion pour les
victimes, et pour tous ceux dont le destin se trouve broyé par un système soucieux de sa seule survie : ambitieux, maitrisé, ce
premier roman est un surprenant mélange d' indignation et de résignation."

Extrait de l' art.  de Claude Fierobe
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyMar 27 Oct 2015 - 19:14

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Cercas12

Juin 2005, en Espagne. Un terrible scandale éclate. Enric Marco, président de l' Amicale de Mauthausen, démissionne après
qu' un historien a révélé son imposture.
Loin d' etre l' ancien déporté qu' il a prétendu etre, loin d' avoir combattu le franquisme, il a tout inventé, et d' abord sa vie.
Javier Cercas, après avoir hésité, décide d' écrire le roman vrai de cette aventure incroyable. Il enquete, interroge tous les témoins
et Marco lui-même.
Dressant le parallèle avec Quijano-Quichotte, s' interrogeant sur le mensonge et sa possible utilité, mettant en question sa propre
œuvre, Cercas propose un roman sur un homme et son pays, l' Espagne, entre histoire et mémoire.

Extrait de l' art. de Norbert Czarny.
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyMer 28 Oct 2015 - 18:52

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Rozano10

"A l' heure révolutionnaire où la vie individuelle semble écartée au profit des élans collectifs, jamais Vassili Rozanov (1856-1919)
ne s' écarte de l' homme, ne quitte la chair meme de l' homme : il renverse toutes les constructions morales et implicitement à
travers celles-ci, politiques qui se font contre elles."

Extrait de l' art. de Christian Mouze.
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 EmptyJeu 29 Oct 2015 - 15:28

Si Tom Leo a lu Rozanov, j' aimerais savoir ce qu' il en pense en tant qu' écrivain.
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MessageSujet: Re: Glanages dans La Quinzaine Littéraire   Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 52 Empty

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