Glanages dans La Quinzaine Littéraire

bix229 a écrit:: J' aime bien la spontanéité juvenile de tempse en temps ! Au fait, ta cure, c'' était à Chateauneuf du Pape ou à Saint Emilion ?

Non non...Rien que de l'eau! C'est à Bourbon Lancy (71. Bourgogne). Le vin me réussirait beaucoup moins bien! content

Sage de la littérature Messages : 2669 Inscription le : 02/03/2013

coline a écrit:

bix229 a écrit:: J' aime bien la spontanéité juvenile de tempse en temps ! Au fait, ta cure, c'' était à Chateauneuf du Pape ou à Saint Emilion ?

Non non...Rien que de l'eau! C'est à Bourbon Lancy (71. Bourgogne). Le vin me réussirait beaucoup moins bien! content

Mouais ... Tu restes toujours dans le bourbon donc .... laugh

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 27 Bourbon

Tu aurais pu essayer Bourbonne-Les-Bains (52-Champagne Ardennes) Laughing

GrandGousierGuerin a écrit:: Mouais ... Tu restes toujours dans le bourbon donc ....

Ben oui...Tu as raison, mais ce n'est plus en Bourbonnais...

- Aharon APPELFELD : Les eaux tumultueuses. - L'' Olivier

C' est l' été à Fracht, bourgade imaginaire en Ruthénie, au coeur de l' Europe. Des estivants descendent du train pour une villégiature qui devrait etre joyeuse, bavarde, consacrée au jeu, aus soirées mondaines et à des romances. On ne sait au juste quand ces faits se déroulent. Cela ressemble à du Zweig.

Les eaux tumultueuses sont comme une ronde de personnages qui revent mais ne peuvent rien faire, sinon revenir à Fracht pour rever, jouer, pérorer à longueur d' heures... Appelfeld donne à entendre ses personnages qui s' épient, s' affrontent et disent un monde qui disparait... Il faut juste remplir la conversation et les heures entre la fin juin et le début de septembre, tandis que la pluie tombe et que le fleuve se fait plus menaçant.

Extraits de l'article de Norbert Czarny

- Anthony DOERR : Le mur de mémoire. - A. Michel/Terres d' Amérique

"Notre mémoire... sans elle, nous ne sommes rien". Ainsi disait Luis Bunuel, cité par A. Doerr dans son second recueil de nouvelles. Cette fois encore, ce sont des nouvelles, rythmées - dont l' une confine au chef-d' oeuvre - qui disent les limites du temps qui reste dans le tete des vieillards, les désirs de retrouver l' enfoui, le disparu qui peuplent l' imaginaire des jeunes gens. le loin et le proche, des zones de réminiscences, des barbelés à franchir pour faire du lien essentiel.

Introduction à l' article de Liliane Kerjan

bix229 a écrit:: Mais je le crois ! J' aime bien la spontanéité juvenile de tempse en temps ! Au fait, ta cure, c'' était à Chateauneuf du Pape ou à Saint Emilion ?

De temps en temps plutôt souvent ou plutôt rarement ? Wink

Je veux bien en savoir un peu plus sur la Tragédie d'Arthur cher Bix !

colimasson a écrit:

bix229 a écrit:: Mais je le crois ! J' aime bien la spontanéité juvenile de temps en temps ! Au fait, ta cure, c'' était à Chateauneuf du Pape ou à Saint Emilion ?

De temps en temps plutôt souvent ou plutôt rarement ? Wink

Je veux bien en savoir un peu plus sur la Tragédie d'Arthur cher Bix !

OK, je comptais en parler d' Arthur... La spontanéité juvénile ? Oh je l' attends surtout de gens qui sont moins jeunes que toi... Normal, non ? Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 27 18687

Glanages dans La Quinzaine Littéraire - Page 27 18687

Arthur PHILLIPS : La tragédie d' Arthur. - Le Cherche Midi/Ailleurs

L' art de l' escrquerie

Faux-semblants, trompe-l'oeil, mises en abyme et jeux de miroir... Arthur Phillips fait preve d' une grande ingéniosisté narrative pour nous parler de Shkespeare, de l' art en général et de l' imposture en particulier.

... le narrateur - un écrvain nommé Arthur Phillips - et sa soeur jumelle Dana sont les enfants d' un faussaire excentrique qui éprouve une passion sans bornes pour Shakespeare et qui, entre deux séjours en prison, tente de transmettre à sa progéniture l' admiration qu' il voue à l' auteur de Macbeth. Dana adhère et devient shakespearienne, mais arthur qui se sent exclu de cette complicité littéraire, se met à détester tout ce qui touche au tragédien. Peu avant de mourir, le père d' Arthur lui lègue un in-quarto pulblié en 1597, dérobé chez un particulier et dans lequel figure une pièce de Shakespeare inconnue jusqu' alors...

... Il est particulièrment difficile de rendre justice à ce livre très riche... Tout cela est fluide, intelligent, drole et finement pensé. On imagine que Phillips a du bien s' amuser à l' écrire (et Bernard Hoepffner à le traduire)... La tragédie d' Arthur vaut le détour.

Extraits de l' article de Santiago Artozqui.

J' ajoute à titre personnel que l' article en question m' a amusé et donné l' envie de savoir si l' auteur avait tenu ce qu' il promet... A suivre !

Merci Bix ! Tu comptes donc lire ce livre ?

colimasson a écrit:: Merci Bix ! Tu comptes donc lire ce livre ?

Le lire, oui. L' acheter, non. Eventuellement en poche...

bix229 a écrit:

colimasson a écrit:: Merci Bix ! Tu comptes donc lire ce livre ?

Le lire, oui. L' acheter, non. Eventuellement en poche...

Là n'était pas la question de toute façon...

Au sommaire du n° 1 083

- François EMMANUEL : Les Murmurantes. - Seuil/Cadre rouge

- Bernard CHAMBAZ : Caro carissimo Puccini. - Gallimard/L' un et l' autre

- Yoko OGAWA : Le petit joueur d' échecs. - Actes Sud

- Edna O' BRIEN : Fille de la campagne : Mémoires. - S. Wespieser

- Charles LEWINSKY : Retour indésirable. - Grasset

- Gyula KRUDY : L' affaire Eszter Solymosi. - A. Michel

- Alfred DOBLIN : Wallenstein. - Agone

Charles LEWINSKY (Suisse) : Retour indésirable. - Grasset

En sortant de l' oubli le comédien et cinéaste Kurt Gerron de l' oubli en en faisant le héros de son nouveau roman, C. Lewinsky questionne à la fois la moralité de la survie et des fictions que nous nous inventons sans cesse, le poids du passé, la puissance de l' imagination et le temps singulier qui la conforme. En dépit de son classicisme apprent et de son allure de fresque historique, il promeut l' invention de la vie comme ultime résistance.

Introduction à l' article de Hugo Pradelle.

François EMMANUEL : Les murmurantes. - Seuil/Cadre rouge

Un recueil aux tonalités subtiles qui fait s' entrecroiser désir et perte, fascination et pulsion, nostalgie et désir de vivre, les voix d' un temps perdu, les présences immuables de ceux que nous avons aimés.

Introduction à l' article de Hugo Pradelle.

bix229 a écrit:: François EMMANUEL : Les murmurantes. - Seuil/Cadre rouge

Un recueil aux tonalités subtiles qui fait s' entrecroiser désir et perte, fascination et pulsion, nostalgie et désir de vivre, les voix d' un temps perdu, les présences immuables de ceux que nous avons aimés.

Introduction à l' article de Hugo Pradelle.

Je l'inclurais bien dans ma LAL !!!! Est-ce bien raisonnable ? jemetate

» Glanages .......
» Pourquoi lisez-vous? Qu'attendez-vous de la lecture?
» Un top 10 littéraire?
» le bar: ici on papote!
» Nouvelle