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| Pascal Bruckner | |
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+4colimasson traversay Arabella Orientale 8 participants | Auteur | Message |
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Orientale Agilité postale
Messages : 903 Inscription le : 13/09/2009 Age : 71 Localisation : Syldavie
| Sujet: Pascal Bruckner Dim 25 Oct 2009 - 17:04 | |
| Essayiste et romancier francais qui, outre ses activités d'écrivain, Pascal Bruckner est éditeur chez Grasset et chroniqueur au Nouvel Observateur. Pascal Bruckner se fait connaitre d’abord, au milieu des années 1970, aux côtés des « nouveaux philosophes » - Bernard Henri-Levy, André Glucksmann, Mauriec Clavel, et leurs critiques Jean-Francois Lyotard, Gilles Deleuze. Tres engage politiquement: Il est par ailleurs signataire de l'appel de soutien à l'Initiative de Genève1, plan de paix prévoyant la création d'un État palestinien aux côtés d'Israël. De 1992 à 1999, il milite contre l'agression serbe en ex-Yougoslavie, en Croatie d'abord, puis en Bosnie et au Kosovo. En 1999, il défend l'intervention militaire de l'OTAN contre les forces serbes. En mars 2003, favorable à la destitution de Saddam Hussein, il appuie l'intervention militaire en Irak dans un article paru dans Le Monde, cosigné avec un groupe d'intellectuels, notamment Romain Goupil et André Glucksmann, qui participeront, trois ans plus tard, à la création de la revue d'orientation pro-occidentale Le Meilleur des Mondes. - Citation :
- Intellectuel dégagé, c'est-à-dire non militant, Pascal Bruckner est, à 53 ans, l'une des figures les plus attachantes de l'intelligentsia parisienne. Romancier et philosophe, un peu dandy, il est sans cesse sollicité pour donner son avis sur l'actualité et jouer les oracles. Mais il écrit aussi des livres qui sont tous des best-sellers. Dans Misère de la prospérité, son dernier essai, il s'attaque à cette prétention qu'a l'économie de vouloir régir le monde entier. Revigorant
La thématique de ce roman adapte pour le cinema par Roman Polanski, est intéressante et est traitée de facon courageuse car l'auteur a tenté l'aventure dangereuse de désacraliser ce qu'il y a de plus précieux entre deux êtres, leur amour. Double histoire et d'une déchéance amoureuse et d'un huis clos à l'intérieur d'un navire, Lunes de fiel est avant tout un roman de la cruauté. Des êtres en proie au désemploi de soi y cèdent à la fascination du bonheur dans la haine. Lunes de fiel, on l'aura compris, c'est l'autre face de notre rêve contemporain d'euphorie amoureuse obligatoire, c'est la mise en scène des impasses de la vie privée dès lors qu'elle se replie sur elle-même et succombe sous le poids de sa propre frivolité. Deux couples a la fin de 1979 sur un paquebot - le récit que l'un d'entre eux, Franz, fait à un autre voyageur, Didier, la decouverte de ses amours avec Rebecca, également présente. C'est le fil conducteur de leurs entretiens et interrogations. Récit dont l'enjeu caché ne manquera pas d'infléchir à son tour les relations de Didier et de sa compagne, avec laquelle il part en Inde pour s'évader d'une existence d'enseignant trop bien réglée. - Citation :
- En l’état, Lunes de fiel ressemble davantage à une gaudriole faisant fi de l’impudique qu’à un manifeste transgressif sur l’irrévocable faillite sentimentale.
Editeur Grasset Prix Renaudot 1997J'ai beaucoup aime ce conte fantastique et roman policier a la fois! Paris, week-end du 15 août, au service psychiatrique de l'Hôtel-Dieu. Un homme au visage dissimulé par un masque est admis aux urgences. Mathilde, une jolie infirmiere de vingt-cinq ans, va entendre un étrange récit' - Citation :
- Un soir d'hiver, Benjamin et sa fiancée Hélène, pris dans une tempête de neige, ont trouvé refuge dans le chalet où Steiner, avocat aux allures de vieux beau, vit avec sa femme Francesca et un domestique, petit homme repoussant. Ils sont accueillis à merveille, mais peu à peu, un poison se mêle au charme. Fasciné et épouvanté à la fois, Benjamin va découvrir quelle punition ces êtres disqualifiés par l'âge réservent à ceux dont la beauté est une insulte. Hélène devra-t-elle à son tour servir de victime expiatoire ? Quant à Benjamin, l'écrivain mûr qui trouvait auprès d'elle une seconde jeunesse, il lui restera à se demander si ce couple monstrueux ne lui tend pas un miroir
Combien cela me ressemble a "Mercure" d'Amelie Nothomb! Il n'y a pas que moi qui le dit. Mais Bruckner parvient à tromper les pistes et à nous faire imaginer toutes les fins possibles! La première moitié du roman est extrêmement riche et captivante, Bruckner nous fait nous mettre a la place de l'ecrivain! Il nous questionne (sans que nous nous en rendons compte) sur le fait de PARAITRE, DES APPARENCES, dans la societe actuel, devenue une obsession. C'est un des romans que j'aime beaucoup. On dit que c'estune sorte de suite de "La melancolie democratique" (je n'ai pas encore lu).
Dernière édition par Orientale le Dim 25 Oct 2009 - 20:21, édité 1 fois | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Dim 25 Oct 2009 - 21:07 | |
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| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Dim 25 Oct 2009 - 22:36 | |
| Bravo pour ce fil.
Le point de départ du roman de Pascal Bruckner, "Mon petit mari", est amusant : un homme rapetisse progressivement à chaque naissance d'enfant. La lecture à plusieurs niveaux de cette fable est évidente : c'est la part de l'homme dans le couple qui est ainsi décrite. Au premier degré, l'histoire fonctionne bien mais n'évite pas les répétitions. Une fois la situation posée, l'auteur a du mal à lui trouver des rebondissements et encore davantage à conclure. Un petit Bruckner, agréable, qui se lit très vite, comme un apéritif, avant de passer à des choses sérieuses. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Mar 5 Avr 2011 - 21:19 | |
| Allez, je vous rejoins sur ce fil après avoir lu mon premier livre de Bruckner... Je ne connais pas tellement cet auteur. Les lecteurs les plus assidus trouveront peut-être mon commentaire injuste, à voir... Il s'agit de : L’Euphorie perpétuelle (2002) de Pascal Bruckner Pour décrire le contenu de ce livre, rien de mieux que laisser l’auteur en parler lui-même : - Citation :
- Un nouveau stupéfiant collectif envahit les sociétés occidentales : le culte du bonheur. Soyez heureux ! Terrible commandement auquel il est d'autant plus difficile de se soustraire qu'il prétend faire notre bien. Comment savoir si l'on est heureux ? Et que répondre à ceux qui avouent piteusement : je n'y arrive pas ? Faut-il les renvoyer à ces thérapies du bien-être, tels le bouddhisme, le consumérisme et autres techniques de la félicité ? Qu'en est-il de notre rapport à la douleur dans un monde où le sexe et la santé sont devenus nos despotes ?
J'appelle devoir de bonheur cette idéologie qui pousse à tout évaluer sous l'angle du plaisir et du désagrément, cette assignation à l'euphorie qui rejette dans l'opprobre ou le malaise ceux qui n'y souscrivent pas. Perversion de la plus belle idée qui soit : la possibilité accordée à chacun de maîtriser son destin et d'améliorer son existence.
C'est alors le malheur et la souffrance qui sont mis hors la loi, au risque, à force d'être passés sous silence, de resurgir où on ne les attendait pas. Notre époque raconte une étrange fable : celle d'une société vouée à l'hédonisme, à laquelle tout devient irritation et supplice.
Comment la croyance subversive des Lumières, qui offrent aux hommes ce droit au bonheur jusqu'alors réservé au paradis des chrétiens, a-t-elle pu se transformer en dogme ? Telle est l'aventure que nous retraçons ici. J’ai fondu sur ce livre pour l’attrait du sujet. Qui n’a jamais ressenti au quotidien cette obligation de paraître sous son meilleur jour et d’afficher la mine glorieuse de ceux à qui tout réussit ? Avec ce livre de Pascal Bruckner, on se dit : « Enfin, un gars qui pense comme moi ! » (et quand même, ce n’est pas n’importe quel gars, quoiqu’on puisse en dire…). Tenir ce livre entre ses mains est déjà déculpabilisant en soi ! Le problème que j’ai rencontré, après un développement intéressant expliquant comment nous sommes passés d’une morale du repentir au Moyen Âge à une obligation de jouir aux 20e et 21e siècles, trouve résonnance avec le sujet traité par le livre : finalement, je n’ai pas été émerveillée plus que de raison par les propos de Pascal Bruckner. Victime d’une époque rongée par la grisaille, comme le dit si bien l’auteur? Je m’attendais à un texte virulent ou qui m’ouvre tout du moins l’esprit à de nouvelles idées ; j’ai trouvé un texte monotone, surtout inspiré des réflexions des autres (une phrase sur trois sont des citations d’autres auteurs) et qui n’a pas honte d’énoncer des banalités ou des clichés. Finalement, ce livre illustre bien le propos qu’il contient : arrêtons de rechercher le bonheur, la nouveauté ou l’originalité à tout prix ; continuons à lire des livres qui nous laissent de marbre et qui n’enrichissent pas, ou si peu. Mais je suis méchante. J’ai parlé des nombreuses références que Pascal Bruckner faisait à des auteurs meilleurs que lui, et ce sont ces références qui sauvent le livre. Merci à L’Euphorie Perpétuelle qui m’a permis de découvrir Mars de Fritz Zorn, un livre contenant une critique bien plus virulente et novatrice que celle de Bruckner. Allez, parmi tous les clichés contenus dans ce livre, je vous offre la perle… Le sujet ? Le téléphone portable… Accrochez-vous, c’est profond ! « Et quel meilleur exemple de cette urgence que le portable : dès la première sonnerie il convie chacun à se ruer sur son sac, ses poches pour attraper le petit animal clignotant et bourdonnant. C’est d’ailleurs tout le développement technologique qui met en demeure ceux qui n’y adhèrent pas d’être écartés du groupe. Il faut souscrire ou périr, surtout chez les adolescents. » Ah, euphorie de la lecture, quand tu t’échappes… Dommage, le sujet m’intéressait bien pourtant. « Avouons l’existence du mal sans ajouter encore aux laideurs de la vie l’absurde complaisance de les nier. »Voltaire (C’est vrai que c’est facile les citations des autres finalement… ) | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Mar 5 Avr 2011 - 21:53 | |
| suggestion furtive : clic | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Mar 5 Avr 2011 - 21:56 | |
| - animal a écrit:
- suggestion furtive : clic
Remerciements furtifs Le titre laisse déjà présager du meilleur... | |
| | | Orientale Agilité postale
Messages : 903 Inscription le : 13/09/2009 Age : 71 Localisation : Syldavie
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Mer 6 Avr 2011 - 8:55 | |
| Je n'ai pas lu les essais de Bruckner, mais j'ai dans ma bibliotheque "Le Paradoxe amoureux" Grasset, 2009 et je vais le mettre dans ma PAL, je vois que c'est un bon essayiste aussi. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| | | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Mar 29 Jan 2013 - 14:03 | |
| La maison des anges - Citation :
- Antonin Dampierre, la trentaine soignée, est un garçon normal. Ou presque. Il travaille dans une agence immobilière de luxe jusqu'au jour où, ratant une vente à cause de deux ivrognes, il rosse l'un deux à mort. Illumination ! Notre purificateur commence alors sa quête hallucinée dans le Paris des naufragés où il croise la route d'Isolde. Cette héroïne de l'humanitaire parviendra-t-elle à le sauver de lui-même ?
Sus aux misérables, aux gueux, aux clochards, aux SDF, qui défigurent Paris ! Dans sa dernière fable moderne, La maison des anges, Pascal Bruckner n'y va pas avec le dos de la spatule. Et peu importe si la descente aux enfers de son personnage principal, bien décidé à exterminer la "vermine" de la Capitale, ait un taux de crédibilité très bas. Ce n'est qu'un prétexte pour un romancier très remonté qui a écrit un thriller social suffisamment bien agencé pour que l'on passe au-dessus des ficelles du récit, un tantinet voyantes. Bruckner a des comptes à régler, il déverse sa bile sur la bonne conscience de certain hérauts de l'humanitaire et des défenseurs de la veuve et de l'orphelin quand ces derniers campent sur le bitume. Il use d'un ton de pamphlétaire, excessif au possible, dans une verve quasi célinienne, toutes proportions gardées, car l'auteur est trop poli pour s'abandonner à une verve sans limites. Politiquement incorrect et provocateur, La maison des anges voit son cynisme tempéré par une bonne dose d'humanité qui semble plus ou moins forcée. Si l'on en oublie l'aspect volontairement ambigu du message, le livre peut s'apprécier pour son écriture précise et chirurgicale. Il faut un certain talent pour mener à son terme une intrigue aussi improbable que celle de La maison des anges. | |
| | | topocl Abeille bibliophile
Messages : 11706 Inscription le : 12/02/2011
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Sam 30 Aoû 2014 - 8:52 | |
| Un bon fils - Citation :
- Les pères brutaux ont un avantage : ils ne vous engourdissent pas avec leur douceur, leur mièvrerie, ne cherchent pas à jouer les grands frères ou les copains. Ils vous réveillent comme une décharge électrique, font de vous un éternel combattant ou un éternel opprimé. Le mien m'a communiqué sa rage. De cela je lui suis reconnaissant.
Pascal Bruckner a eu une enfance tout ce qu'il y a de plus petite-bourgeoise, avec ce que cela implique de banalités, de prières du soir, de petites cruautés envers les animaux, d'attouchements avec les cousines… À ceci près que son père, antisémite virulent fasciné par Hitler, était violent et pervers avec ce que cela implique de cris, d'humiliation et de coups… Ce qui l'a sauvé, sans doute, c'est la pension, puis le lycée Henri IV à Paris, son amitié/fusion avec Alain Finkielkraut, ses maîtres penseurs, pères de substitution à leur manière : Sartre, Barthes, Jankélevitch, sa révolte et son engagement dans la vie et la pensée. Ces 2 premières parties sont barbantes, avec une impression de déjà lu, une absence de recul par rapport aux situations qui met le lecteur mal à l'aise dans une espèce de voyeurisme involontaire. Quand une pensée s'exprime au-delà de la simple relation des faits, elle tombe assez vite dans l'aphorisme affligeant. - Spoiler:
La maladie n'enseigne rien sinon qu'on peut la vaincre ; en ce sens, elle aussi m'a sauvé.
Être libre, c'est vouloir et pouvoir ce que l'on veut.
Tout enfant rêve de recréer ses parents, de les remettre sur le droit chemin.
Pour l'enfant, le père est un géant qui rapetisse à mesure que lui grandit.
L'enfant n'est pas gentil, il est juste faible et n'a pas encore eu l'occasion de manifester sa méchanceté.
Je compris alors le but de toute existence : marier la vérité et la beauté.
Etc, etc...
Plus intéressante est la 3e partie, où Bruckner, qui a fini par se débrouiller à apprendre à vivre et à penser, l'optimisme chevillé au cœur, s'occupe des 13 dernières années de son père, devenu veuf, un peu décati mais toujours bon pied bon œil. Ce n'est pas le récit d'une résilience, c'est le récit d'une acceptation, de la compréhension que les êtres sont multiples. S'il n'aime pas son père, s'il reste perpétuellement prudent en sa présence, il peut concevoir de s'en soucier, chacun peut trouver un enrichissement à cette fréquentation et rien n'empêchera que cet homme l'a fait, il l'a fait ce qu'il est, il est en lui. J' attendais plus... | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Sam 30 Aoû 2014 - 20:44 | |
| Ton commentaire ne déroge pas à l'impression que j'ai gardée de Bruckner. | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Sam 30 Aoû 2014 - 20:46 | |
| - colimasson a écrit:
- Ton commentaire ne déroge pas à l'impression que j'ai gardée de Bruckner.
Le personnage est pire que l' écrivain ! | |
| | | églantine Zen littéraire
Messages : 6498 Inscription le : 15/01/2013 Age : 59 Localisation : Peu importe
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Dim 31 Aoû 2014 - 8:35 | |
| Merci pour ce commentaire Topocl : lecture décevante pour un thème particulièrement intéressant ( les titres et thèmes abordés sont très attractifs toujours chez cet écrivain )...dommage ! | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Pascal Bruckner Lun 1 Sep 2014 - 20:38 | |
| - bix229 a écrit:
- colimasson a écrit:
- Ton commentaire ne déroge pas à l'impression que j'ai gardée de Bruckner.
Le personnage est pire que l' écrivain ! C'est dire... - églantine a écrit:
- Merci pour ce commentaire Topocl : lecture décevante pour un thème particulièrement intéressant ( les titres et thèmes abordés sont très attractifs toujours chez cet écrivain )...dommage !
Mauvais écrivain mais bon publicitaire... je suis d'accord avec toi... déchaînement de titres accrocheurs pour contenus souvent creux. | |
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| Sujet: Re: Pascal Bruckner | |
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| | | | Pascal Bruckner | |
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