Soutenons les espèces oubliées et pourtant si joviales

darkanny a écrit:

ça fait plaisir de te voir toujours aussi inspirée.
Incroyables quand même ces bébètes.

   Maryvonne ton espièglerie est sans limites !!!!!!!!!!!!!!!!

La fourmi panda !?

Trouvé ceci par hasard, pensée immédiate pour Maryvonne.
J'aime particulièrement la bouille de la chauve-souris, et le poisson à mains.

Annimaux bizarres découverts aux alentours de 2010.

Merci bien !
(Le singe a l'air triste !)

Pour que Maryvonne ne s'ennuie pas et révise un peu

La raie manta



L'oursin crayon



Et enfin le poisson lion



Tout ça dans le lagon de Mayotte que j'ai visité (il y a longtemps) mais pas de nuit, et ces bébètes sortent la nuit.
Vu donc à la télé ce soir, c'était chouette.

Je veux voyager !

les trucs marins avec des couleurs, ça me fait flipper en général. (sauf les petits poissons tropicaux)

Aujourd'hui j'ai découvert le poulpe a anneaux Bleus... Flippant.

bonjour,
quand j'étais gamin j'élevais des vers à soie (bombyxs du mûrier) dans des boîtes à chaussures, c'est le seul insecte que je supporte. C'est une espèce domestique comme le chien ou le chat , en fait il n'en existe pas dans la nature...Pour les nourrir j'allais dévaster les mûriers de mon village en Tunisie et je me faisais courser par les flics quand je trainais des branches entières...Son élevage est plein de decouvertes...


la tête c'est à droite...

des renseignements sur les bombyxs ici

Bon, cette année encore, les gamines de 12 ans ont des agenda avec des dauphins.

Et ça me choque toujours autant.

article de fond

Maryvonne a écrit:

Bon, cette année encore, les gamines de 12 ans ont des agenda avec des dauphins.

Et ça me choque toujours autant.

article de fond

Encore un pan de l'innocence de ma jeunesse qui s'écroule ...
Et Oum le dauphin, son Galak c'est du Viagra pour dauphin ?

Ne parlons pas de la queue mécanique de Winter le dauphin...

pas oublié et pas forcément joviale par contre ça m'était sorti de la tête si ça y était entré, technique aussi chez des assez gros animaux tout poilus, en lisant une pancarte sur les wallabis : diapause

On considère que l'animal ou la cellule (bactérie, champignon...) est en vie ralentie selon des processus physiologiques et biologiques complexes en réponse anticipée à des variations de l'environnement.


La diapause embryonnaire comme pour le kangourou est une phase d'attente d'un ovule fécondé. Si la mère perd le petit qu'elle a dans sa poche, l'ovule fécondé sort de sa diapause embryonnaire et relance le développement embryonnaire. Ce mécanisme permet d'assurer une seconde chance d'avoir un petit.

I.T.Nayrant a écrit:

bonjour,
quand j'étais gamin j'élevais des vers à soie (bombyxs du mûrier) dans des boîtes à chaussures, c'est le seul insecte que je supporte. C'est une espèce domestique comme le chien ou le chat , en fait il n'en existe pas dans la nature...Pour les nourrir j'allais dévaster les mûriers de mon village en Tunisie et je me faisais courser par les flics quand je trainais des branches entières...Son élevage est plein de decouvertes...


la tête c'est à droite...

des renseignements sur les bombyxs ici

nous aussi en classe nous élevions des vers à soie ; petits c'étaient des petits traits noirs, enuite les gros blancs et enfin le cocon

Est-ce que le père Noël va trouver Maryvonne pour lui faire ce plaisir?


Caspar Henderson, L'Incroyable Bestiaire de Monsieur Henderson

Citation :

À l'origine de ce livre, il y a l'idée très simple que le réel dépasse (et de loin) tout ce que l'on peut imaginer. Cela signifie, entre autres que les bestiaires du passé, leurs enluminures et leurs flammes, ces abécédaires peuplés de dragons, de basiliques, de licornes et autres bêtes fabuleuses ne sont rien en comparaison de celles qui peuplent le monde vivant, bêtes tellement fantastiques qu'elles en deviennent à peine imaginables. L'auteur s'est donc attelé à la tâche enthousiasmante et ludique de donner des preuves de leur existence. Mais il ne le fait pas sans les ressources d'une vaste et solide culture scientifique. Car, plus que de littérature, c'est bien de science dont il s'agit principalement ici, de Darwin aux dernières avancées de disciplines aussi diverses que la paléontologie et la génétique.
Original et foisonnant, ce livre a été unanimement salué par la critique anglo-saxonne. Il a reçu le prix Roger Deakin de la Society of Authors en 2009 et le prix Jerwood de la Royal Society of Literature en 2010. En 2013 , il a été nominé pour le prix Winton de la Royal Society, pour le prix de la Society of Biology (catégorie générale) et pour le prix de la British Book Design & Production (catégorie meilleur livre britannique).

quelques planches de la version anglaise: