répérages nouveautés 2010

krys a écrit:

Marko, La puissance des vaincus est vraiment un livre magnifique !!!

Le thème me plait beaucoup en plus Vivement les prochaines vacances!

Nezumi a écrit:

kenavo a écrit:

merci.. surtout le 2e semble trop bon

oui, il a l'air croquignolet hein ?

de temps en temps il faut aussi de cela dans nos lectures, non?
je l'ai noté en tout cas

Mais oui, croquignolet n'est pas une critique d'ailleurs, au contraire!

Et je n'ai jamais cessé de lire de la littérature jeunesse (en plein dans ceux d'Atxaga en ce moment ).

Nezumi a écrit:

Mais oui, croquignolet n'est pas une critique d'ailleurs, au contraire!

ah mais je ne l'ai pas pris comme critique.. je ne connaissais pas ce mot (et vais jamais me le rappeler par après) mais dans ma tête ces lettres m'ont donné l'image : c'est tellement mignon, on doit croquer

Nezumi a écrit:

Et je n'ai jamais cessé de lire de la littérature jeunesse (en plein dans ceux d'Atxaga en ce moment ).

oui.. je veux aussi, je veux aussi

kenavo a écrit:

mais dans ma tête ces lettres m'ont donné l'image : c'est tellement mignon, on doit croquer

Ça doit en être l'origine, je pense.
J'ai cru que tu l'avais compris comme mièvre, mais c'est vrai que ce terme est assez peu utilisé (sauf par moi car je l'aime bien).

kenavo a écrit:

Nezumi a écrit:

Mais oui, croquignolet n'est pas une critique d'ailleurs, au contraire!

ah mais je ne l'ai pas pris comme critique.. je ne connaissais pas ce mot (et vais jamais me le rappeler par après) mais dans ma tête ces lettres m'ont donné l'image : c'est tellement mignon, on doit croquer

Je crois que c'est ça.
Faut faire gaffe aussi à pas se mettre à bouffer le livre hein.

Nezumi a écrit:

ce terme est assez peu utilisé (sauf par moi car je l'aime bien).

si je pourrais me le rappeler.. je vais le glisser ici et là.. parce que je trouve le mot croquignolet croquignolet

Queenie a écrit:

Faut faire gaffe aussi à pas se mettre à bouffer le livre hein.

non, pas de soucis.. l'encre d'imprimerie m'est déjà parfois pénible à toucher.. n'en parlons pas de la manger

kenavo a écrit:

Queenie a écrit:

Faut faire gaffe aussi à pas se mettre à bouffer le livre hein.

non, pas de soucis.. l'encre d'imprimerie m'est déjà parfois pénible à toucher.. n'en parlons pas de la manger

Ah.
Alors tu fais pas des grosses léchouilles à ton doigt avant de tourner une page (je suis proche du vomissement lorsque je vois quelqu'un faire ça... brrrreurgh)

Queenie a écrit:

(je suis proche du vomissement lorsque je vois quelqu'un faire ça... brrrreurgh)

de même

Genre à la boulangerie la femme qui sert qui léchouille bien le sac en papier de ton pain au chocolat. Chlllurrppp.
Surtout en ce moment de virus à gogo.

Sinon je viens de voir que croquignolesque existe aussi, mais apparemment le sens est différent "risible, ridicule".

Nezumi a écrit:

Genre à la boulangerie la femme qui sert qui léchouille bien le sac en papier de ton pain au chocolat. Chlllurrppp.
Surtout en ce moment de virus à gogo.

Change de boulangerie!

Nezumi a écrit:

Sinon je viens de voir que croquignolesque existe aussi, mais apparemment le sens est différent "risible, ridicule".

Ouais, puis bien plus dur à dire.

Vas-y...
Cette croquignolesque arabesque se prend presque pour une fresque.

Queenie a écrit:

Change de boulangerie!

Tu m'étonnes que je l'ai fait.

On continue avec Venise Mais cette fois c'est plus ancré autour de la figure de Hemingway, mais en ce qui me concerne, c'est le top - j'aime Venise en tant que coulisse.. et j'aime des biographies romancées vive le 4 février:



Alberto Garlini, Venise est une fête

Citation :

En 1950, Hemingway est au sommet de son art. Il vit à Venise avec son épouse Mary mais s'éprend d'une jeune aristocrate, Adriana Ivancich. Surgissent alors deux personnages de Pour qui sonne le glas qui s'immiscent dans son existence. Roberto, un jeune étudiant italo-américain, cherche à tout prix à rencontrer le grand écrivain. Maria, une jeune femme extravagante, vient de quitter le baron Persi, qu'elle a épousé à contrecœur, créant le scandale dans une ville où tout se sait. Au hasard des campi et des calli de Venise, elle croise Roberto. C'est le coup de foudre.
Poursuivi par la police, qui prend Roberto pour un kidnappeur, le couple arpente en une journée, avec l'aide d'Hemingway, cette Venise crépusculaire. Qui se sauvera et qui périra ? Alberto Garlini mène avec justesse et virtuosité cette fantaisie vénitienne échevelée en forme d'hommage au grand écrivain américain.