Que lisez-vous en janvier

Maline a écrit:

Mais c'est aussi un très beau livre bien supérieur à tous les Auster ou Updike qui submergent les étals des libraires

bon.. pour Auster, je regarde de l'autre côté - mais Updike??? Ah non.. faut pas toucher à mon John

En ce début de mois de janvier, j'ai terminé Passage du gué de Jean-Philippe Blondel et Beignets de tomates vertes de Fannie Flagg. Deux lectures agréables.

Et j'ai commencé N'espérez pas vous débarrasser des livres de Jean-Claude Carrière et de Umberto Eco. Et puis suivra L'énigme du retour de Dany Laferrière.

Fini "Paris:suite 1940", j'entame "Je ne porte pas mon nom" d'Anna Grue (Policier)

Kenavo a écrit:

Citation :

Maline a écrit:
Mais c'est aussi un très beau livre bien supérieur à tous les Auster ou Updike qui submergent les étals des libraires
bon.. pour Auster, je regarde de l'autre côté - mais Updike??? Ah non.. faut pas toucher à mon John

Et moi à mon Paul .

Voilà, je débute mon rétablissement avec L'ultime secret de Bernard Werber... Mon Dieu, est-ce que ça va m'achever ?

En effet, j'ai lu le fil consacré à cet auteur et même si vous ne parlez pas particulièrement de cet ouvrage, Werber n'est pas très populaire chez les Parfumés...

Tant pis, je me lance, c'est mon fiancé qui est fan et qui fait la collection chacun ses goûts, ne jugez pas .
Bref, je lui avait promis d'en lire un mais sans suite au cas où ça ne me plaise pas... Il m'a choisit L'ultime secret.

Je vous tiendrai au courant de mon avis (si toutefois je peux apporter quelque chose de nouveau à ce qui a déjà été dit )

Je commence Le Coeur est un chasseur solitaire de Carson McCullers.

tom léo a écrit:

Cachemire a écrit:

Je lis Narziß und Goldmund de Hermann Hesse en allemand...

Quelle bonne idée! Et comment tu "vis" l'allemand de Hesse???

L’écriture de Hesse est magnifique : tellement imagée, passionnée, sensuelle et musicale même parfois. Il a des expressions extraordinairement puissantes, tellement fortes qu'en les lisant je suis si touchée (berührt) que je dois arrêter ma lecture! Cette écriture me plaît davantage encore que celle de Thomas Mann qui est plus fine, plus ciselée, plus parfaite, mais finalement moins chargée d’émotions.

eXPie a écrit:

Maryvonne a écrit:

Dieu que je l'ai aimée. Mais pour l'instant, ça manque cruellement de nouveauté.
Yoko, ne me déçois pas, je ne m'en remettrais pas.

Le roman est vieux, il date de 1994.
Apparemment, l'éditeur avait traîné les pieds pour le publier en France, parce que l'histoire est "triste" et "longue", et donc que ce n'est pas très vendable. Mais la traductrice a qualifié ce livre de "fondateur de toute l'oeuvre de Yoko Ogawa".

Oui, j'avais vu la date d'écriture.
J'espère que ce n'est pas un brouillon des autres.
Le truc de garder des choses disparues, c'est déjà le pilier de plusieurs
de ses autres romans...

La barque silencieuse de Pascal Quignard.

Maryvonne a écrit:

eXPie a écrit:

Maryvonne a écrit:

Dieu que je l'ai aimée. Mais pour l'instant, ça manque cruellement de nouveauté.
Yoko, ne me déçois pas, je ne m'en remettrais pas.

Le roman est vieux, il date de 1994.
Apparemment, l'éditeur avait traîné les pieds pour le publier en France, parce que l'histoire est "triste" et "longue", et donc que ce n'est pas très vendable. Mais la traductrice a qualifié ce livre de "fondateur de toute l'oeuvre de Yoko Ogawa".

Oui, j'avais vu la date d'écriture.
J'espère que ce n'est pas un brouillon des autres.
Le truc de garder des choses disparues, c'est déjà le pilier de plusieurs
de ses autres romans...

Vieux ou pas, j'espère qu'il est bien, parce que c'est le livre que j'ai choisi pour faire connaissance avec les japonais...

Sacré, de Dennis Lehane

Maryvonne a écrit:

Oui, j'avais vu la date d'écriture.
J'espère que ce n'est pas un brouillon des autres.
Le truc de garder des choses disparues, c'est déjà le pilier de plusieurs
de ses autres romans...

Ce n'est pas du tout un brouillon des autres. Il est relativement différent des autres, même si c'est du Ogawa et qu'il y a des thématiques similaires, bien sûr. Il est quand même globalement à part des autres et, pour moi, c'est un bon livre.
Ca m'a même surpris, je craignais que ce ne fût un fond de tiroir, mais il n'en est rien.

Tant mieux, je ne demande que ça.

El Ombu de W.H. Hudson...

Si vous ne connaissez pas encore Hudson, lisez Vertes Demeures, c' est
un enchantement !

Paralellement à la méprise de Nabokov, j'ai entamé La chambre aux échos de Richard Powers.