je vais en avoir besoin de cette chance... nouvelle tentative !!!
cette fois nous allons partir d'une situation de départ supposée :
La situation de départ :
j'échange, je communique avec une personne : la pluie, le beau temps, les gouts... les couleurs... en résulte un intérêt. Intérêt frustré par le cadre habituel de la communication. Essentiellement quoi est l'autre (ses gouts, attitudes, regards sur les choses et la vie) me donne envie de comprendre le "comment de l'autre". Pour "provoquer" l'expression de ce comment, j'écris donc, j'écris une sorte de "comment moi", manière de dire "cette part de l'être m'intéresse" et comme ce n'est pas forcément habituel (... ???) ou... naturel ? ... évident ? ce que j'écris est une sorte de premier pas qui signifierai "il n'y a pas de crainte à se dévoiler jusque là".
- j'aime le bleu
- moi le bleu me fait cet effet là... et toi comment aimes tu le bleu ?
la situation de retour... envisagée (je sais à qui j'écris) :
- le bleu je l'aime comme ça, les yeux bleus gris ou profond me font peur parce que je me souviens de regards... (exemple... mécanisme personnel d'une appréciation du bleu)
ou
- tu vois le bleu de cette façon, pourquoi ci ou ça, oui ci ou ça... drôle de façon de le dire (l'avis permettant aussi de comprendre l'autre)
la situation de retour... imaginée (je ne sais pas pour quel lecteur j'écris) :
que va se dire le lecteur quand j'explique "mon bleu", quels souvenirs vont surgir, quels regards, y aura-t-il curiosité, indifférence, quel ressemblance peut se dessiner dans sa lecture, son émotion.
une hypothèse de point pas clair de ma question : le côté jugé inhabituel et parfois difficilement accessible de l'expression d'un mécanisme de soi ?
j'ai horriblement peur de ne pas être plus clair :| ... je continue de chercher...
(mais moins peur que quand je lis Queenie... )