Une image en passant...

swallow a écrit:

Coline avec les récents remaniements du Forum (auteurs choisis, littérature japonaise), je ne retrouve pas l´endroit où tu nous mettais très justement en garde devant le fait qu´il y a 2 MURAKAMI.
Le genial Haruki, puis Murakami Ryu ( Les bébés de la consigne), et puis même un troisième:

Ce devait être encore "ailleurs"...tu sais...dans une autre vie...

coline a écrit:

serait-ce la nuit sexuelle avec quignard qui t'inspire coline ?

Queenie a écrit:

coline a écrit:

serait-ce la nuit sexuelle avec quignard qui t'inspire coline ?

Ce n'est pas dans La nuit sexuelle de Quignard que j'ai trouvé cette image. Je l'avais trouvée sur un blog maintenant disparu. J'aime beaucoup la construction de la photographie déjà, et puis la position hiératique et digne de l'homme devant le tableau L'origine du monde de Courbet. Cette image est pleine d'humour...Je recherche son auteur...
(Peut-être Jean Baptiste Mondino mais je voudrais en être sûre...)

Je crois tout de même (après recherches) que la photo est de Jean Baptiste Mondino...

"Cette blessure d'où je viens" aurait chanté le grand Léo...

animal a écrit:

Le Calendrier flamand : Octobre, Simon Bening

Vraiment plus sage que la mienne...

Je me suis faite la même réflexion
Le contraste est comment dire... saisissant

hehe... ça donne soif ces gros tonneaux


Château Gaillard à Andelys, Félix Vallotton

Initiée pleurant et bacchante dansant
Fresque de la villa des Mystères (Pompéi)

Gustave Courbet "Le chêne Flagey"

"Gustave Courbet", jusqu'au 28 janvier, aux galeries nationales du Grand Palais, Paris

L'île des morts de Arnold Böcklin (1886)

Une peinture archi-connue, je sais, mais ce n'est pas une raison pour ne pas la mettre. Il en existe quatre versions. Celle-ci (qui est ma préférée) est la quatrième je crois.

Richard Estes

34th street & Bus reflections

Les rues par lesquelles je me promène chaque jour, par lesquelles je vais au cinéma, au supermarché ou au magasin de disques sont celles mêmes que peint Richard Estes dans ses derniers tableaux, et la lumière aussi est identique, le soleil sur les carrefours et le ciel bleu par-dessus les corniches des immeubles de Broadway, comme s'il était en train de les peindre en ce moment même dans cet automne froid et dégagé, et l'une des silhouettes qui y apparaissent pourrait être la mienne..... extrait du livre Fenêtres de Manhattan Antonio Muñoz Molina