répérages nouveautés 2011

J'ai entendu une interview de Le Bris sur Inter ce matin. Il disait que dans ce roman, Stevenson parle de jeunes gens qui veulent fonder une sorte de société idéale sur une île tropicale, "l'ile des navigateurs". Or Stevenson est mort aux îles Samoa, autrefois appelées "archipel des navigateurs". Le Bris soulignait cette coincidence troublante.

tiens, tiens.. il a ajouté un tôme



Armistead Maupin, Mary Ann en automne, Chroniques de San Francisco T8





son fil est ici

kenavo a écrit:

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Armistead Maupin, Mary Ann en automne, Chroniques de San Francisco T8





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D'avoir reçu cette suggestion,dans ma boite mail, d'un vendeur de livres en ligne,m'a donné envie de découvrir cette "série"... Ai-je raison ?

Noémie a écrit:

D'avoir reçu cette suggestion,dans ma boite mail, d'un vendeur de livres en ligne,m'a donné envie de découvrir cette "série"... Ai-je raison ?

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Kenavo a écrit:

Citation :

Noémie a écrit:
D'avoir reçu cette suggestion,dans ma boite mail, d'un vendeur de livres en ligne,m'a donné envie de découvrir cette "série"... Ai-je raison ?
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

j'ajoute même: ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Madame B. a écrit:

Kenavo a écrit:

Citation :

Noémie a écrit:
D'avoir reçu cette suggestion,dans ma boite mail, d'un vendeur de livres en ligne,m'a donné envie de découvrir cette "série"... Ai-je raison ?
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

j'ajoute même: ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

tiens c'est bizarre j'aurai plutôt dit noooon. Je pense que la lecture de Maupin convient très bien à la forme périodique d'un journal mais que la compilation rend l'histoire ultra lourde...

kenavo a écrit:

Noémie a écrit:

D'avoir reçu cette suggestion,dans ma boite mail, d'un vendeur de livres en ligne,m'a donné envie de découvrir cette "série"... Ai-je raison ?

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Madame B. a écrit:

j'ajoute même: ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

shanidar a écrit:

tiens c'est bizarre j'aurai plutôt dit noooon. Je pense que la lecture de Maupin convient très bien à la forme périodique d'un journal mais que la compilation rend l'histoire ultra lourde...

les avis sont partagés !!!!!!!!!

LE CINEMA : L' ART D' UNE CIVILISATION.- Flammarion / Champs. - 488 p. 14 E

Textes choisis par Daniel Banda et José Moure. Télérama

Ernest Hemingway, Paris est une fête

Citation :

Présentation de l'éditeur
Ce volume constitue une occasion de lire un texte à la fois plus complet et plus proche del’original que le manuscrit qui constituait, pour l’auteur, une sorte de mémoire de ses jeunes années d’écrivain à Paris. Au cours de l’été 1957, il commença à travailler sur les « Vignettes parisiennes », comme il appelait alors le livre. Il y travailla à Cuba et à Ketchum, et emporta même le manuscrit avec lui en Espagne pendant l’été 59, puis à Paris, à l’automne de cette même année. En novembre 59, Hemingway avait terminé la première version d’un texte auquel il ne manquait qu’une introduction et le dernier chapitre. Paris est une fête fut publié de manière posthume en 1964 ; il concerne les années parisiennes 1921 à 1926. Pendant les trois années, ou presque, qui s’écoulent entre la mort de l’auteur et la première publication de Paris est une fête, le manuscrit subit d’importants amendements de la main des éditeurs, de Mary Hemingway et de la maison Scribner. Quelques textes que Hemingway avait prévu d’inclure dans l’ouvrage ont été supprimés, tandis qu’ont été ajoutés d’autres fragments, qu’il avait certes destinés à cet ouvrage mais n’avait finalement pas retenus. Se trouve aujourd’hui restitué et présenté pour la première fois le texte manuscrit original tel qu’il était au moment de la mort de l’écrivain en 1961.

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Sang et os de Yan Sogiru.

Monsieur l'Editeur (ou Madame l'Editrice, d'ailleurs) a écrit:

Sang et os retrace un drame sur soixante ans, celui d’un homme sans foi ni loi pris dans une page méconnue de l’histoire entre la Corée et le Japon.
Yan Sogiru est parmi les plus grands représentants de la Littérature coréenne du Japon, dite Zainichi bungaku. Il s’inspire du portrait de son propre père pour créer le personnage violent de Kim Junpyeong dans cette saga familiale qui a pour arrière-plan l’histoire de l’immigration coréenne. Le roman a obtenu le prix Yamamoto Shûgorô en 1998 et a été également sélectionné pour le prix Naoki. Il a été adapté à l’écran par Sai Yôichi en 2004 avec Kitano Takeshi dans le rôle principal.

Yan Sogiru, né en 1936 à Ôsaka, est parmi les plus grands représentants de la Littérature coréenne du Japon, dite Zainichi bungaku. Il s’inspire du portrait de son propre père pour créer le personnage violent de Kim Junpyeong dans cette saga familiale qui a pour arrière-plan l’histoire de l’immigration coréenne. Le roman a obtenu le prix Yamamoto Shûgorô en 1998 et a été également sélectionné pour le prix Naoki. Il a été adapté à l’écran par Sai Yôichi en 2004 avec Kitano Takeshi dans le rôle principal.

eXPie a écrit:

Sang et os de Yan Sogiru.

Monsieur l'Editeur (ou Madame l'Editrice, d'ailleurs) a écrit:

Sang et os retrace un drame sur soixante ans, celui d’un homme sans foi ni loi pris dans une page méconnue de l’histoire entre la Corée et le Japon.
Yan Sogiru est parmi les plus grands représentants de la Littérature coréenne du Japon, dite Zainichi bungaku. Il s’inspire du portrait de son propre père pour créer le personnage violent de Kim Junpyeong dans cette saga familiale qui a pour arrière-plan l’histoire de l’immigration coréenne. Le roman a obtenu le prix Yamamoto Shûgorô en 1998 et a été également sélectionné pour le prix Naoki. Il a été adapté à l’écran par Sai Yôichi en 2004 avec Kitano Takeshi dans le rôle principal.

Yan Sogiru, né en 1936 à Ôsaka, est parmi les plus grands représentants de la Littérature coréenne du Japon, dite Zainichi bungaku. Il s’inspire du portrait de son propre père pour créer le personnage violent de Kim Junpyeong dans cette saga familiale qui a pour arrière-plan l’histoire de l’immigration coréenne. Le roman a obtenu le prix Yamamoto Shûgorô en 1998 et a été également sélectionné pour le prix Naoki. Il a été adapté à l’écran par Sai Yôichi en 2004 avec Kitano Takeshi dans le rôle principal.

Je le note mais le prix (27€) risque d'être disuasif.

A paraître le 1er juin aux éditions Albin Michel : Retour à Brixton Beach de Roma Tearne



La couverture est la même, à un détail près, que celle du dernier livre d'Indu Sundaresan (paru chez Michel Lafon en 2009). Les éditeurs ne peuvent-ils pas avoir accès à d'autres images ? Sinon, le bandeau "coup de coeur Albin Michel de l'été" me fait un peu peur. L'an dernier, ce bandeau était sur le roman d'Anita Nair, "Quand viennent les cyclones", un roman nettement moins bon que ces précédents (qui étaient d'ailleurs publiés par Picquier et non par Albin Michel).

Néanmoins, je dévrais quand même me procurer ce premier roman (?) de cette auteur britannique d'origine sri-lankaise.

Un peu d'infos sur l'histoire racontée :
Alice n’a jamais oublié le sable blanc de Brixton Beach, à Ceylan, où elle a passé son enfance dans l’ombre de Bee, son grand-père adoré, peintre talentueux et taciturne. C’était avant que la guerre civile éclate et ravage le futur Sri Lanka. Depuis, Alice, de mère cingalaise et de père tamoul, a fui son « paradis marin » avec une partie de sa famille pour la Grande-Bretagne. Dans un paysage froid et hostile, la jeune fille sensible et rêveuse tente de se reconstruire et fait de l’art le support de ses passions et l’horizon de son bonheur. Un bonheur que la rencontre avec Simon comble de manière inespérée. Jusqu’à ce matin de juillet 2005, où la violence croise à nouveau son chemin…
(Source : http://www.albin-michel.fr/Retour-a-Brixton-Beach-EAN=9782226221407)

Anna a écrit:

eXPie a écrit:

Sang et os de Yan Sogiru.

Monsieur l'Editeur (ou Madame l'Editrice, d'ailleurs) a écrit:

Sang et os retrace un drame sur soixante ans, celui d’un homme sans foi ni loi pris dans une page méconnue de l’histoire entre la Corée et le Japon.
Yan Sogiru est parmi les plus grands représentants de la Littérature coréenne du Japon, dite Zainichi bungaku. Il s’inspire du portrait de son propre père pour créer le personnage violent de Kim Junpyeong dans cette saga familiale qui a pour arrière-plan l’histoire de l’immigration coréenne. Le roman a obtenu le prix Yamamoto Shûgorô en 1998 et a été également sélectionné pour le prix Naoki. Il a été adapté à l’écran par Sai Yôichi en 2004 avec Kitano Takeshi dans le rôle principal.

Yan Sogiru, né en 1936 à Ôsaka, est parmi les plus grands représentants de la Littérature coréenne du Japon, dite Zainichi bungaku. Il s’inspire du portrait de son propre père pour créer le personnage violent de Kim Junpyeong dans cette saga familiale qui a pour arrière-plan l’histoire de l’immigration coréenne. Le roman a obtenu le prix Yamamoto Shûgorô en 1998 et a été également sélectionné pour le prix Naoki. Il a été adapté à l’écran par Sai Yôichi en 2004 avec Kitano Takeshi dans le rôle principal.

Je le note mais le prix (27€) risque d'être disuasif.

Oui, j'avais aussi pensé qu'il y a de l'inflation... Il y a quand même 550 pages... et il y a deux traducteurs. Mais bon. Je ne sais pas si ça annonce une nouvelle gamme de prix... Heureusement qu'il y a les bibliothèques (car, en plus, ce pavé, il faut lui trouver une place !).

Mo Hayder, Les lames





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Une comédie drôle et sérieuse aussi.

Citation :

Dans la Tasmanie des années 1970, Julian Corkle, adolescent en surpoids, rêve de glamour et de célébrité. Si sa mère le voit déjà en superstar, son père, fan de sport et de bière, ne l'entend pas de cette oreille. Un roman d'apprentissage aussi hilarant qu'émouvant, entre le Frank McCourt des Cendres d'Angela et le Augusten Burroughs de Courir avec des ciseaux
D'une fraîcheur et d'une sympathie qui font chaud au coeur, l'itinéraire chaotique d'une star en puissance, un roman d'apprentissage aussi hilarant qu'émouvant.
La mère de Julian Corkle a toujours su que son fils était différent, peut-être bien le nouveau Sinatra.
Son père aussi l'a vite compris mais on ne peut pas dire que ça l'enchante. Pas facile, en effet, dans une petite ville paumée de la Tasmanie des seventies d'avouer à ses camarades de beuverie que votre fils grassouillet préfère jouer à l'infirmière plutôt qu'au foot.
Mais Julian ne manque pas de ressources. Déco, stylisme, chant, coiffure, télé : qu'importe le domaine, tant qu'on a du panache...
Hélas ! De petites déceptions en grandes désillusions, Julian Corkle va comprendre que le monde n'est pas prêt pour les esprits avant-gardistes. À moins qu'une rencontre fortuite ne le mette sur la voie d'une célébrité inattendue...

Je suis une privilégiée.......d'ici peu, je dois recevoir 4 à 6 romans de la prochaine rentrée, dans le cadre du du prix du roman Fnac.....