répérages nouveautés 2011

Madame B. a écrit:

océan a écrit:

Citation :

Hier, à la médiathèque, ils m'ont recommandé, comme nouveauté de la rentrée à lire "La question Finkler" de Howard Jacobson

Tu as de la chance, j'aimerais bien que ma médiathèque le commande, ça a l'air très bien. Tu me diras.

Bon, ben, Mme B. , je suis vraiment désolée mais le livre m'est tombé des mains. Le sujet était très intéressant mais alors l'écriture......Un vrai pensum : bavard, ennuyeux etc.....

Peut-être d'autre ont-ils un avis plus favorable...

ocean a écrit:

Madame B. a écrit:

océan a écrit:

Citation :

Hier, à la médiathèque, ils m'ont recommandé, comme nouveauté de la rentrée à lire "La question Finkler" de Howard Jacobson

Tu as de la chance, j'aimerais bien que ma médiathèque le commande, ça a l'air très bien. Tu me diras.

Bon, ben, Mme B. , je suis vraiment désolée mais le livre m'est tombé des mains. Le sujet était très intéressant mais alors l'écriture......Un vrai pensum : bavard, ennuyeux etc.....
Peut-être d'autre ont-ils un avis plus favorable...

Je commence à me poser des questions sur la valeur de la traduction
Une fois dans l'état d'âme adéquat je me suis beaucoup amusée á lire « The Finkler Question ». En fin de compte j’ai trouvé le livre fantastique car plein d’humour et d’ironie, Howard Jacobson écrit comme une sorte de Philip Roth joyeux.

Ces juifs qui ont honte d’être des juifs et qui aimeraient tellement ne pas être juifs, et puis à côté d’eux un goy, un non-juif qui aimerait justement être juif. Ce Treslove qui se fait agresser par une femme et pense qu’elle ne l’a attaqué que parce qu’elle le croit juif ce qu’il n’est pas mais aimerait être. Et puis l’histoire de la prédiction faite à Treslove que la femme de sa vie sera une ‘Juno’ et ensuite il rencontre une juive qui se prénomme Hephzibah - quel prénom même s’il est assez fréquent en Grande-Bretagne comme je me suis laissé dire – et qui se fait appeler Juno. Est-ce que ça ne donne pas envie de continuer la lecture ?

Oh si tout cela me fait bien envie, tout en notant les réserves d'Océan

Maline a écrit:

Citation :

ocean a écrit:
Madame B. a écrit:
océan a écrit:
Citation:
Hier, à la médiathèque, ils m'ont recommandé, comme nouveauté de la rentrée à lire "La question Finkler" de Howard Jacobson

Tu as de la chance, j'aimerais bien que ma médiathèque le commande, ça a l'air très bien. Tu me diras.

Bon, ben, Mme B. , je suis vraiment désolée mais le livre m'est tombé des mains. Le sujet était très intéressant mais alors l'écriture......Un vrai pensum : bavard, ennuyeux etc.....
Peut-être d'autre ont-ils un avis plus favorable...

Je commence à me poser des questions sur la valeur de la traduction

C'est la question que je me pose également, Maline car le sujet m'intéresse mais le récit est d'un ennui.

Maline a écrit:

ocean a écrit:

Madame B. a écrit:

océan a écrit:

Citation :

Hier, à la médiathèque, ils m'ont recommandé, comme nouveauté de la rentrée à lire "La question Finkler" de Howard Jacobson

Tu as de la chance, j'aimerais bien que ma médiathèque le commande, ça a l'air très bien. Tu me diras.

Bon, ben, Mme B. , je suis vraiment désolée mais le livre m'est tombé des mains. Le sujet était très intéressant mais alors l'écriture......Un vrai pensum : bavard, ennuyeux etc.....
Peut-être d'autre ont-ils un avis plus favorable...

Je commence à me poser des questions sur la valeur de la traduction
Une fois dans l'état d'âme adéquat je me suis beaucoup amusée á lire « The Finkler Question ». En fin de compte j’ai trouvé le livre fantastique car plein d’humour et d’ironie, Howard Jacobson écrit comme une sorte de Philip Roth joyeux.

Ces juifs qui ont honte d’être des juifs et qui aimeraient tellement ne pas être juifs, et puis à côté d’eux un goy, un non-juif qui aimerait justement être juif. Ce Treslove qui se fait agresser par une femme et pense qu’elle ne l’a attaqué que parce qu’elle le croit juif ce qu’il n’est pas mais aimerait être. Et puis l’histoire de la prédiction faite à Treslove que la femme de sa vie sera une ‘Juno’ et ensuite il rencontre une juive qui se prénomme Hephzibah - quel prénom même s’il est assez fréquent en Grande-Bretagne comme je me suis laissé dire – et qui se fait appeler Juno. Est-ce que ça ne donne pas envie de continuer la lecture ?

Le problème, c'est l'écriture du livre : je m'y ennuie!!!!!!!!!!!!!!!

Je n'avais pas vu la réponse de Mme B. !!!!! Nous sommes d'accord...

Mais c'est bien aussi que tout le monde ne soit pas du même avis car cela permet les échanges...Grâce à vous, il y a plein de livres que j'ai lus ou mis dans ma PAL alors que je n'y aurais pas jeter un oeil; je serais toujours en train de lire le même tyle de livres et ce serait dommage. Alors continuons à n'être pas d'accord ou l'inverse!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Edité pour corriger mes fautes!

Uchida Hyakken : La Digue (Editions Atelier In8).

L'éditeur a écrit:

Qui d’entre nous n’a jamais éprouvé en rêve la sensation d’un sol qui se dérobe, le sentiment étrange de déjà-vu, le dédoublement de personnages ?
C’est dans ce monde onirique, où le vent n’en finit pas de souffler, la terre de trembler et la nuit de tomber, qu’Uchida Hyakken nous transporte. Un monde peuplé de femmes impérieuses qui exercent sur des hommes égarés leur pouvoir implacable.
À travers une ironie parfois cruelle et une écriture savamment épurée, Uchida Hyakken crée dans ces textes l’univers envoûtant qui fait de lui le maître incontesté de la nouvelle au Japon.

(8 nouvelles dans une traduction de Patrick Honnoré) Kurosawa lui a consacré un film, Madadayo. Rien que ça. Uchida Hyakken, personnage fantasque, est l’auteur d’une des œuvres les plus importantes au Japon. Maître incontesté de la nouvelle, estimé de Mishima et de Kawabata fort célèbres en Occident, et sans lequel on ne pourrait lire aujourd’hui Murakami, Uchida Hyakken est absolument inconnu des lecteurs français. Digue est un recueil de quelques unes de ses nouvelles, triées sur le volet. Des nouvelles comme des rêves éveillés, surprenantes, oniriques, où la terre tremble, où la mer menace, où les femmes, mystérieuses, se dérobent toujours, où une ironie permanente tient l’horreur à distance. Magnifiques histoires japonaises. Amateurs ne pas s’abstenir.

(le gras est de moi).

Je ne connaissais pas cet auteur, j'en espère du bien...

Duong Thu Huong, Sanctuaire du coeur




son fil est ici

Littérature japonaise, les affaires reprennent.
En octobre :
- Le mauvais, de Yoshida Shuichi (qui a son fil ici).
- Les mystères de Yoshiwara, de Matsui Kesako

En novembre :
- Le dévouement du suspect X, de Higashino Keigo (qui a son fil ici)

Arturo Perez-Reverte, Cadix, ou la diagonale du fou




son fil est ici

L'acteur (peintre, cinéaste...) James Franco qui devrait adapter le roman de Cormac Mac Carthy "Un enfant de Dieu" au cinéma (initialement c'était "Méridien de sang" qui était prévu) vient d'écrire Palo Alto qui est traduit en français. Le thème a l'air pas mal et il cite Proust en exergue (un extrait de "A l'ombre des jeunes filles en fleurs" sur l'adolescence).

Citation :

Présentation de l'éditeur

Palo Alto, Californie. Cette petite ville huppée, berceau de l'informatique, a tout d'un paradis. Et pourtant... Des adolescents désorientés, accablés d'ennui, se révoltent contre leur famille et leurs professeurs, s'entredéchirent, flirtent avec la violence et l'autodestruction. Une jeune fille dont la vie vole en éclats lors d'une soirée trop arrosée ; un étudiant qui fait l'apologie de l'esclavage au cours d'un exposé pour impressionner une camarade de classe ; un adolescent solitaire qui collectionne des armes en rêvant de se venger de ses persécuteurs...Apres et dérangeantes, ces histoires se croisent et se heurtent, dressant le portrait oppressant d'une jeunesse assoiffée de provocation.

Biographie de l'auteur

Acteur, réalisateur, scénariste, artiste, James Franco sait tout faire : tête d'affiche dans de grosses productions (Spider-Man, 127 heures) ou des films indépendants (Harvey Milk), il a aussi écrit, dirigé et interprété des pièces de théâtre, et exposé ses peintures à New York. Palo Alto est son premier roman, acclamé par les critiques littéraires.

Ananda Devi, Les hommes qui me parlent




son fil est ici

Le cahier rouge

Citation :

Présentation de l'éditeur
Le Cahier rouge : un simple cahier d'écolier sauvegardé par miracle qui accompagna Marina Tsvetaeva dans un moment décisif de sa vie à Paris en 1932-1933. Il aurait dû disparaître étant donné les circonstances mouvementées de son existence et de l'époque, mais elle le confia à un ami avant de quitter la France et de repartir en URSS en 1939. Un cahier inédit où l'on peut lire à livre ouvert le déroulement de sa création poétique. Où l'on observe le poète à sa table de travail écrivant, cherchant et trouvant, tantôt sous le coup de l'inspiration, tantôt dans une endurante patience, le verbe poétique ; où l'on découvre l'écriture en français d'un poète russe qui aurait pu devenir poète français. Un cahier célébrant deux géants de la poésie, Pasternak et Maïakovski, les amours féminines, les passions charnelles, le bonheur du conte et de l'enfance perdue, tous les démons et les délices de l'imagination. Une histoire de la création sur un fond idéologique et politique qui déchira le siècle. Une époque terrible, où il est question de survie, où le crime totalitaire est irrémédiable, qui voit la fin de toute espérance, la disparition de la génération des poètes de l'Age d'argent, la mort de la poésie. Tout cela nous l'éprouvons en feuilletant le cahier, car ce livre comprend aussi l'intégralité du manuscrit autographe. Nous tournons chaque page une à une, suivons chaque phrase ligne à ligne, pour entrer dans le laboratoire de l'écrivain et dans la matière de son écriture. C'est ce cahier rouge, braise incandescente, que nous offrons au lecteur, pour qu'il en saisisse la force inaltérable et qu'il se souvienne de cette merveilleuse énergie de création : celle d'un poète majeur de l'avant-garde russe du début du XXe siècle, Marina Tsvetaeva.

Un nouveau livre de Marina Tsvetaeva, ce n'est pas une tentation, c'est une commande ferme chez le libraire lors de mon prochain passage en France.

Une fois n'est pas coutume, je vous annonce une nouveauté à partir du 5 octobre :


Etant donné que le livre en anglais est sorti en 2008 et qu'il a déjà eu plusieurs traductions à travers le monde, je l'ai lu et c'est une véritable merveille, peut être ma plus belle lecture de 2010. Ne le laissez pas passer.