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| Jaume Cabré [Espagne] | |
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Auteur | Message |
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domreader Zen littéraire
Messages : 3409 Inscription le : 19/06/2007 Localisation : Ile de France
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Lun 28 Oct 2013 - 14:20 | |
| Bien failli acheter Confiteor dans une librairie bretonne la semaine dernière à cause de vous les 'tentatrices' mais je me suis finalement retenue....vu ma PAL qui ne descend pas ! Mais bon je sais bien que dès que je remettrai les pieds dans une librairie, la tentation sera encore plus forte d'autant plus que d'autres commentaires seront venus s'ajouter aux vôtres. Pfffff.. | |
| | | tina Sage de la littérature
Messages : 2058 Inscription le : 12/11/2011 Localisation : Au milieu du volcan
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Mar 29 Oct 2013 - 15:27 | |
| - domreader a écrit:
- Bien failli acheter Confiteor dans une librairie bretonne la semaine dernière à cause de vous les 'tentatrices' mais je me suis finalement retenue.... Pfffff..
Tôt ou tard, je l'aurai, ce livre. Je veux cette belle couv. ! Et ce qu'il y a dedans ! | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Jeu 31 Oct 2013 - 19:48 | |
| Confiteor (traduit du catalan par Edmond Raillard) J’ai passé plusieurs semaines à lire, puis relire immédiatement ce roman. M’attarder dans sa lecture était ma volonté. Et mon plaisir ! A la page 573 (sur les 780 que compte le livre) je lisais ceci : « Isaiah Berlin posa le livre sur la petite table et dit je lis tous les jours et tous les jours je m’aperçois qu’il me reste tout à lire. Et de temps en temps je dois relire, même si je ne relis que ce qui est digne du privilège de la relecture. - Et qu’est-ce qui rend digne de ce privilège ? - La capacité de fasciner le lecteur : de le faire s’émerveiller de l’intelligence qui se trouve dans le livre qu’il lit, ou de la beauté qu’il génère. »Lorsque j’ai refermé une première fois Confiteor, ce ne fut que pour quelques heures, avant de me replonger dedans, à nouveau. Car il est digne de ce privilège ! Ce roman restera, c’est certain, parmi les grands souvenirs de ma (longue) vie de lectrice. J’ai la tentation d’y voir un chef-d’œuvre tant il est exceptionnel pour bien des raisons. Il m’est cependant difficile d’en parler sans dévoiler ce qui, page après page, m’a tenue en haleine, jusqu’au bout. Alors je dois rester dans une approche bien loin d’être exhaustive de tout ce que j’ai pu y trouver. Dire que ce roman fou est un puzzle d’histoires, étalées sur six siècles, et que l’auteur, sans prévenir le lecteur, le fait passer de l’une à l’autre, parfois au milieu d’un paragraphe, d’un dialogue, peut décourager. Pourtant, si l’on se montre disponible à la lecture, cela se passe avec une limpidité absolue. Ce récit explosé est écrit ave une virtuosité sidérante. L’écrivain passe par une écriture-reflet de la mémoire vacillante, et donc chaotique, d’un homme qui raconte (parfois JE, parfois IL) son parcours de vie. Il le fait sous la forme d’une longue lettre adressée à Sara Volpes Epstein, sa bien-aimée de toujours, une artiste peintre qui est entrée dans sa vie, et en est sortie plusieurs fois, femme mystérieuse et douloureuse. Liés indirectement par leurs histoires familiales, leurs blessures, la difficulté du pardon (son impossibilité ?) il y eut de terribles obstacles à la paix de leur amour… En conséquence de toutes les histoires mêlées, liées, le destin d’Adria Ardevol. Enfant solitaire, il a grandi sans amour à Barcelone, après la guerre civile, dans un appartement rempli des livres, des objets et des manuscrits précieux de son père, antiquaire et collectionneur. Sans amour et dans l’ennui : "Je me suis toujours beaucoup ennuyé, parce que ma maison n’était pas une maison pensée pour les enfants et que ma famille n’était pas une famille pensée pour les enfants." Sans amour mais sous la pression des ambitions que ses parents avaient pour leur enfant. Son père le voulait linguiste érudit maîtrisant 15 langues. Sa mère, elle, l’envisageait en violoniste virtuose. Prodige et conciliant il put leur donner tout, sans jamais être heureux. Le poids des choix passés de son père et celui des beautés qui environnent Adria furent lourds à porter. L’histoire de certains objets sont entachés par le mal avec lequel l’Homme a miné l’Histoire de l’Europe au cours des cinq derniers siècles et l’on se retrouve ainsi à la période de l’Inquisition, à celle de Franco, celle de l'Allemagne nazie… à Auschwitz-Birkenau, mais aussi Anvers, à la Cité du Vatican ou dans des monastères d’Europe … Au cœur des trésors de la famille Ardevol, merveille entre toutes, un violon fabriqué à Crémone au XVIIIième siècle (1764), un magnifique Storioni aux qualités exceptionnelles… Violons StorioniCe violon, ainsi que deux autres objets, moins prestigieux et pourtant précieux, une médaille et une demie serviette de table souillée, ont marqué inéluctablement toute la destinée d’Adria, un destin qu’il a dû , seul et lucide, assumer. Ce roman somptueux et passionnant qui mène à de multiples périodes et lieux de l’Histoire, conduit aussi à de multiples réflexions sur l’Art, le Mal, Dieu, la connaissance, l’amour, l’amitié, la trahison, le pardon… De plus il nous embarque sur toutes la gammes des émotions, du sourire aux larmes, et nous attache profondément à certains de ses personnages, nous faisant redouter et haïr d’autres. Pour Adria, l’Art fut une « façon de s'entendre avec la vie, avec les mystères de la solitude, avec la certitude que le désir ne s'ajuste jamais à la réalité ».Extraits:« Ce n'est qu'hier soir, alors que je marchais dans les rues trempées de Vallcarca, que j'ai compris que naître dans cette famille avait été une erreur impardonnable. Tout à coup, j'ai vu clairement que j'avais toujours été seul, que je n'avais jamais pu compter sur mes parents ni sur un Dieu à qui confier la recherche de solutions, même si, au fur et à mesure que je grandissais, j'avais pris l'habitude de faire assumer par des croyances imprécises et des lectures très variées le poids de ma pensée et la responsabilité de mes actes. Hier, mardi soir, en revenant de chez Dalmau, tout en recevant l'averse, je suis arrivé à la conclusion que cette charge m'incombe à moi seul. Et que mes succès et mes erreurs sont de ma responsabilité, de ma seule responsabilité. Il m'a fallu soixante ans pour voir ça. J'espère que tu me comprendras et que tu sauras voir que je me sens désemparé, seul, et que tu me manques absolument. Malgré la distance qui nous sépare, tu me sers d'exemple. Malgré la panique, je n'accepte plus de planche pour me maintenir à flot. Malgré certaines insinuations, je demeure sans croyances, sans prêtres, sans codes consensuels pour m'aplanir le terrain vers je ne sais où. Je me sens vieux et la dame à la faux m'invite à la suivre. »« Il vaut mieux que je commence par ce bureau où je suis en train de t'écrire, devant ton autoportrait, si impressionnant. Ce bureau est mon monde, ma vie, mon univers, et presque tout y trouve place sauf l'amour. Quand je courais dans l'appartement en culotte courte, les mains pleines d'engelures à cause du froid des automnes et des hivers, je n'avais pas le droit d'y entrer, sauf occasionnellement. Je devais donc le faire de façon clandestine. »Et je rejoins Topocl qui écrivait: - Topocl a écrit:
- Vous n’aimez pas l’impératif qui donne des ordres ? Moi non plus, alors je prend celui qui donne des conseils. Lisez-le, ne vous laissez pas impressionner par sa taille (et vous verrez que vous le relirez) ! C’est tellement rare, les livres qui nourrissent à part égale le cerveau et le cœur.
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| | | topocl Abeille bibliophile
Messages : 11706 Inscription le : 12/02/2011
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Jeu 31 Oct 2013 - 20:42 | |
| Merci pour ce beau commentaire, coline, qui fait approcher tant de choses qu'on trouve dans ce roman. Richesse de l'histoire, richesse des personnages, richesse de la réflexion historique et de l'ampleur romanesque. On se sent tout petit à commenter un tel livre, on en laisse de côté, mais quel plaisir, quand même, de lui rendre hommage! | |
| | | églantine Zen littéraire
Messages : 6498 Inscription le : 15/01/2013 Age : 59 Localisation : Peu importe
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Jeu 31 Oct 2013 - 21:03 | |
| Grand merci Coline pour ce superbe commentaire (avec Topocl vous faites la paire ! ).... J'ai lu d'une traite la moitié de "Les voix du Panamo" ..... j'ai laissé quelques jours en instance car je lis plusieurs ouvrages en parallèle ...J'ai hâte d' y retourner !: quel souffle ce Juan Cabré et quelle habileté pour transporter son lecteur dans le temps, d'une phrase à l'autre, avec la souplesse d'un tapis volant ! C'est très fort !
Dernière édition par églantine le Jeu 31 Oct 2013 - 21:26, édité 1 fois | |
| | | tina Sage de la littérature
Messages : 2058 Inscription le : 12/11/2011 Localisation : Au milieu du volcan
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Jeu 31 Oct 2013 - 21:22 | |
| Coline, à quel auteur pourrais-tu le comparer ? (pour nous donner une idée) | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Jeu 31 Oct 2013 - 22:57 | |
| - topocl a écrit:
- On se sent tout petit à commenter un tel livre, on en laisse de côté, mais quel plaisir, quand même, de lui rendre hommage!
Voilà pourquoi j'ai tant tardé...et voilà pourquoi je me sens bien ce soir de l'avoir fait. - Eglantine a écrit:
- J'ai lu d'une traite la moitié de "Les voix du Panamo" ..... j'ai laissé quelques jours en instance car je lis plusieurs ouvrages en parallèle ...J'ai hâte d' y retourner !: quel souffle ce Juan Cabré et quelle habileté pour transporter son lecteur dans le temps, d'une phrase à l'autre, avec la souplesse d'un tapis volant ! C'est très fort !
- Tina a écrit:
- Coline, à quel auteur pourrais-tu le comparer ? (pour nous donner une idée)
Malheureusement je ne sais pas te répondre Tina, à aucun écrivain de moi connu... Par contre, ceux qui ont aimé Les voix du Pamano peuvent se lancer dans la lecture de Confiteor sans crainte d'être déçus, on voit bien que c'est le même auteur de génie! | |
| | | églantine Zen littéraire
Messages : 6498 Inscription le : 15/01/2013 Age : 59 Localisation : Peu importe
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Sam 2 Nov 2013 - 12:35 | |
| Les voix du PanamoFaire un résumé à la hauteur de cet imposant édifice me semble un exercice voué à l'échec mais je tenterai par ma modeste lumière de lectrice subjuguée ,d'amener le lecteur potentiel à franchir le pas . J'avoue avoir été impressionnée par le pavé en apparence austère qui m'attendait : L histoire se déroule dans un village des Pyrénées catalanes et s'étend sur plusieurs décennies : Entre 1944 et 2002 ! Et pendant plus de 700 pages , Jaumé Cabré va réveiller l'Histoire à travers une poignée de personnages manipulés par le destin et ses facéties et mettre en lumière les conséquences tragiques des choix personnels ou collectifs dans le contexte politique d'une Espagne traumatisée par la guerre civile . Ce qui pourrait être qu'une simple saga familiale , devient à travers la plume virtuose de Jaume Cabré , un texte qui explose en ramifications multiples pour aboutir à un portrait sans aménité de ce que fut l'Espagne franquiste et des conséquences douloureuses au sein du petit peuple ! Certes , au début durant presque une centaine de pages , ila fallu que je m'accroche : Jaume Cabré fait partie de ces écrivains "qui se méritent" demandant au lecteur une capacité d'adaptation à un style d'écriture audacieux , libéré des contraintes du temps : le petit lecteur se trouve face à un schéma narratif ressemblant à une mosaique et acceptera de reconstruire les éléments pour suivre les différents fils de l'histoire . Dès lors ,la partie est gagnée, et les clés et autres procédés stylistiques de Jaume Cabré s'ouvriront pour nous entrainer dans cette explosion de fils narratifs laissant au lecteur l'initiative de remettre l'ordre nécessaire dans cette "rigoureuse anarchie"! Jaume Cabré est un joueur , il s'amuse malicieusement avec une virtuosité qui relève du génie : excellant dans l'art du dialogue , il enchevêtre allègrement les répliques dans un même dialogue sautant d'une époque à l'autre ...avec , en arrière-fond , comme une sorte de" voix off" , toutes les arrières pensées des protagonistes , ce qui apporte au roman une profondeur intimiste exceptionnelle . Poéte , conteur , magicien des mots , Jaume Cabré donne chair à des personnages de type tragédien et dans sa liberté d'écriture il a su créer un équilibre remarquable en apportant à son récit qui réveille les blessures issues de l'HISTOIRE , un regard profond et grave, mais toujours allégé par une plume qui sait se laisser aller à l'humour et la dérision ( certains passages : "voilà qu'elle se fait épousseter la brèche par un skieur" qui pourraient être franchement triviaux mais portés par l'ensemble sont franchement jubilatoires !) Une première lecture ressemble à un débroussaillage : il est d'ores et déjà prévu une relecture afin de pouvoir apprécier plus finement l'architecture de cette oeuvre monumentale et ainsi de découvrir ce que je n'ai pas saisi pleinement ! Cet exemplaire étant un emprunt à la médiathèque , je n'ai pas pu souligner et annoter comme j'ai l'habitude de le faire et ma lecture en a souffert (je vais donc en faire l'acquisition très rapidement ) . Au delà de l'histoire , JAUME CABRE interpelle le lecteur dans sa propre humanité , ses choix , son implication dans la vie ....On en ressort plus fort pour vivre en lumière ..... Pour ceux qui seraient réticents .... Quelle différence entre ces les deux couvertures !!! Pourtant j'avoue avoir une préférence pour la première , me semblant plus fidèle au contenu de l'histoire !!! | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Sam 2 Nov 2013 - 18:43 | |
| - églantine a écrit:
- Les voix du Panamo
Faire un résumé à la hauteur de cet imposant édifice me semble un exercice voué à l'échec mais je tenterai par ma modeste lumière de lectrice subjuguée ,d'amener le lecteur potentiel à franchir le pas . [...] un texte qui explose en ramifications multiples [...] Certes , au début durant presque une centaine de pages , ila fallu que je m'accroche : Jaume Cabré fait partie de ces écrivains "qui se méritent" demandant au lecteur une capacité d'adaptation à un style d'écriture audacieux , libéré des contraintes du temps : le petit lecteur se trouve face à un schéma narratif ressemblant à une mosaique et acceptera de reconstruire les éléments pour suivre les différents fils de l'histoire .
Dès lors ,la partie est gagnée, et les clés et autres procédés stylistiques de Jaume Cabré s'ouvriront pour nous entrainer dans cette explosion de fils narratifs laissant au lecteur l'initiative de remettre l'ordre nécessaire dans cette "rigoureuse anarchie"!
Jaume Cabré est un joueur , il s'amuse malicieusement avec une virtuosité qui relève du génie : excellant dans l'art du dialogue , il enchevêtre allègrement les répliques dans un même dialogue sautant d'une époque à l'autre ...avec , en arrière-fond , comme une sorte de" voix off" , toutes les arrières pensées des protagonistes , ce qui apporte au roman une profondeur intimiste exceptionnelle .
Une première lecture ressemble à un débroussaillage : il est d'ores et déjà prévu une relecture afin de pouvoir apprécier plus finement l'architecture de cette oeuvre monumentale et ainsi de découvrir ce que je n'ai pas saisi pleinement ! [...]Au delà de l'histoire , JAUME CABRE interpelle le lecteur dans sa propre humanité , ses choix , son implication dans la vie ....On en ressort plus fort pour vivre en lumière .....
Ces mots-là pourraient tout aussi bien s'appliquer à Confiteor...C'est la marque de fabrique de Jaume Cabré, sa "patte extraordinaire" et incomparable . Très beau commentaire Eglantine! | |
| | | églantine Zen littéraire
Messages : 6498 Inscription le : 15/01/2013 Age : 59 Localisation : Peu importe
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Sam 2 Nov 2013 - 18:49 | |
| Alors cette " marque de fabrique" , j'en redemande Coline !!! | |
| | | tina Sage de la littérature
Messages : 2058 Inscription le : 12/11/2011 Localisation : Au milieu du volcan
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Sam 2 Nov 2013 - 22:54 | |
| C'est marrant, vous mentionnez toujours l'idée qu'il faut le relire. C'est de l'addiction, de la densité ou de l'opacité ? | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Sam 2 Nov 2013 - 22:59 | |
| - tina a écrit:
- C'est marrant, vous mentionnez toujours l'idée qu'il faut le relire.
C'est de l'addiction, de la densité ou de l'opacité ?
Ce n'est pas du tout de l'opacité...C'est plutôt de densité qu'il s'agit, d'accumulation d'informations passionnantes mais extrêmement variées...En première lecture, l'avidité de savoir me fait tourner les pages parce que le récit tient vraiment en haleine et ne cesse de rebondir...En seconde lecture, je peux savourer tranquillement chaque ligne, chaque détail. | |
| | | tina Sage de la littérature
Messages : 2058 Inscription le : 12/11/2011 Localisation : Au milieu du volcan
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Sam 2 Nov 2013 - 23:01 | |
| Vous m'intriguez beaucoup... | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Sam 2 Nov 2013 - 23:03 | |
| - tina a écrit:
- Vous m'intriguez beaucoup...
Je l'espère bien... | |
| | | topocl Abeille bibliophile
Messages : 11706 Inscription le : 12/02/2011
| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] Dim 3 Nov 2013 - 9:35 | |
| Une petite image pour que tu comprennes mieux, tina. La bible, c'est une lecture super? Bon Mais à la deuxième lecture, on imagine qu'on va encore découvrir des choses. Et amplifier le plaisir Voila. Confiteor, c'est pareil. | |
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| Sujet: Re: Jaume Cabré [Espagne] | |
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| | | | Jaume Cabré [Espagne] | |
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