Que lisez-vous en janvier?

Je vais commencer Un général sudiste de Big Sur de Richard Brautigan.

puisque je ne serai pas là demain, je vais pouvoir commencer les deux premiers chapitres du Mas Théotime pour la LC

Le show de la vie de Chi Li.

tom léo a écrit:

Salut Hank! Pour cet auteur il y a déjà un fil avec plusieurs opinions sur différents livres. Peut-être cela t'aidera aussi? Je le considère comme très grand écrivain...:
https://parfumdelivres.niceboard.com/t791-mikhail-boulgakov-russie

Merci tom, j'irai lire tout ça.

colimasson a écrit:

Non, je ne connais pas du tout cet écrivain et j'ai acheté le bouquin parce que le résumé et les premières lignes que j'en ai lues m'avaient séduite.
Pour le moment, je n'en suis qu'aux premières dizaines de pages, pas assez pour te dire véritablement mon avis mais il penche du côté positif Le style est léger et un brin cynique, c'est très agréable à lire ! Je t'en dirai plus quand je l'aurai terminé

Cynique et très agréable à lire ? T'as pas honte ?

(j'attends ton avis en tout cas )

Éclats de sel - c'est ma lecture du moment, du bonbon . Diantre comment se fait-il qu'il est dormi dans ma PAL aussi longtemps!!!

bulle a écrit:

Éclats de sel - c'est ma lecture du moment, du bonbon . Diantre comment se fait-il qu'il est dormi dans ma PAL aussi longtemps!!!

C'est de Sylvie Germain, n'est-ce pas? Sur ma Pal...

eXPie a écrit:

darkanny a écrit:

Ce sont des nouvelles, la première est plutôt pas mal avec une fin inattendue, ce à quoi on peut s'attendre en lisant des nouvelles , mais ce n'est pas toujours le cas hélas.

Elle a même un fil, ici, ça tombe bien, non ?

Je me doutais bien qu'il y avait du eXPie là-derrière

Un peu moins emballée par mon dernier Stamm (Verglas) mais la petite musique agit toujours cependant ...

Suis pour l'instant avec le Lennon de D. Foenkinos, et ça me plait beaucoup!

J'ai terminé les Kreisleriana d'E.T.A. Hoffmann et lu la moitié de Les Roueries de Trialph, notre contemporain avant son suicide de Charles Lassailly.

Et j'ai commencé L'Absolu littéraire : Théorie de la littérature du romantisme allemand de Philippe Lacoue-Labarthe et Jean-Luc Nancy.

Hank a écrit:

Cynique et très agréable à lire ? T'as pas honte ?

(j'attends ton avis en tout cas )

Si, j'ai terriblement honte ! Mais je sais que tu peux me comprendre alors je ne te cache pas mes pires vices
La deuxième partie du livre devient carrément glauque avec un changement de point de vue. Ca ressemble à du Frankenstein gore appliqué à un chien Un peu détonnant comme mélange... Ca devrait te plaire !

aeriale a écrit:

Suis pour l'instant avec le Lennon de D. Foenkinos, et ça me plait beaucoup!

Tiens, tiens, j'avais envie de me laisser tenter avec ce livre-là...

Ah, merci, Onuphrius, j'aime beaucoup les Kreisleriana de Schumann, mais je ne m'étais jamais posé la question de l'origine du titre de ces pièces musicales!

Et je commence Le mas Théotime d'Henri Bosco .

colimasson a écrit:

aeriale a écrit:

Suis pour l'instant avec le Lennon de D. Foenkinos, et ça me plait beaucoup!

Tiens, tiens, j'avais envie de me laisser tenter avec ce livre-là...

N'hésite pas Coli, il est vraiment bien. Si tu veux je te le prête?

"Du côté où se lève le soleil" d'Anne-Sophie Jacouty, un roman sur la disgrâce de l'archevêque Fénelon.

Marie a écrit:

Ah, merci, Onuphrius, j'aime beaucoup les Kreisleriana de Schumann, mais je ne m'étais jamais posé la question de l'origine du titre de ces pièces musicales!

De rien Schumann a toujours été hanté par le personnage de Kreisler, double d'Hoffmann qui est devenu son propre double. Tu connais peut-être aussi de Schumann le Carnaval, op. 9 où Schumann transcrit ses différentes personnalités (Florestan, Eusebius...).

Entre autres, je viens de terminer la lecture de "L'univers concentrationnaire" de David Rousset (Les éditions de minuit). Cet ouvrage fut le premier écrit, avant celui de Primo Levi, sur la vie et l'organisation des camps ... pas de pathos, mais une description froide et clinique, car les notions de bien et de mal sont abolis par le système à broyer les hommes et les femmes ...

J'ai relevé cette tragique référence à Rodin :

Citation :

Je ne sais rien qui puisse rendre, avec une égale intensité, plastiquement, la vie intime des concentrationnaires, que la "Porte d'Enfer" et les personnages qui en sont issus" (p 65)