Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Kawabata Yasunari

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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyDim 27 Jan 2008 - 21:51

Il ne nous reste plus qu'à apprendre le japonais !
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 28 Jan 2008 - 21:08

Oui ! Eh bien, ce n'est pas gagné ! (me concernant).
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyDim 3 Fév 2008 - 22:14

Pays de neige / traduction de Fujimori Bunkichi et Armel Guerne



Ce roman nous conte trois voyages de Shimamura au pays de neige, le versant nord de l'archipel japonais. Il y vit une liaison amoureuse avec Komako, une geisha, et nous suivons dans le désordre (le roman débute sur le deuxième voyage) ces trois épisodes. Au récit de cet amour discontinu, se superposent les personnages mystérieux de Yukio, ex-fiancé (ou pas d'ailleurs) de Komako sur le point de mourir au début du roman, et de Yōko, jeune fille qui s'occupe de lui avec dévouement et dont le regard et la voix captivent Shimamura dans le train.

Comment définir le charme mystérieux qui se dégage de ce roman? Il est probablement fort mal traduit, une grande partie de symboles ou d'éléments liés à la culture japonaise m'ont sans aucun doute échappé entièrement, mais cela ne m'a pas empêché d'être happée, ensorcelée, complètement conquise par le récit, par l'écriture et par l'univers de Kawabata.

D'après ce que j'ai pu lire concernant sa composition, ce roman fut publié par fragments dans divers revues entre 1935 et 1947, une version définitive paraissant en 1948. Et malgré cette longue gestation et cette parution morcelée, le déroulement du récit m'a toujours paru d'une totale évidence.

Certes, il est difficile de faire le récit précis des événements qui composent le livre, il s'agit plus de tous petits événement, de sensations, de ressentis, bien d'éléments nous restent partiellement ou même totalement incompréhensibles, comme par exemple la nature des liens qui unissent Yōko à Yukio comme d'ailleurs à Komako. Même la fin reste incertaine. On assiste à série de scènes, ou de petites chose sont décrites parfois avec un grand luxe de détails, alors que ce qui est généralement considéré comme essentiel, l'état civil, la mort, le mariage, le travail est tout juste vaguement évoqué. Comme si d'autres règles que les règles de la vie ordinaires régissaient le pays de neige.
Nous ne saurons ainsi pas grand chose du personnage sensé se trouver au centre du récit, Shimamura. Il a une vie en ville, une femme et des enfants, mais nous n'en savons rien de précis. Mêmes ses activités professionnelles restent imprécises, il étudie la danse occidentale, édite des livres à compte d'auteur à ce sujet, et il se refuse à voir un seul ballet occidental.

Au pays de neige, il se comporte bien plus en observateur qu'en acteur, c'est finalement Komako qui prend l'initiative, vient le voir, décide de ce qu'ils vont faire. Elle a son travail de geisha qui occupe son temps, et elle semble visiblement amoureuse de Shimamura, alors que ses sentiments à lui ne sont guerre sensibles. C'est comme si la seule façon de réellement exister pour Shimamura était de décider de venir ou de partir du pays de neige.

C'est donc aux femmes que l'on s'intéresse le plus, Komako et Yōko, même si nous ne savons pour ainsi rien sur cette dernière, elle semble comme un complément, un double inversé de Komako. C'est Komako qui est supposée être la fiancée de Yukio, mais c'est Yōko qui s'occupe de lui et que Shimamura prend pour sa femme. C'est Yōko qui l'assiste dans la mort alors que Komako refuse de venir. C'est Yōko qui va sur sa tombe. C'est Komako qui boit et dont le comportement est par moment étrange alors qu'elle prétend que la folie menace Yōko. Enfin, le désir de Shimamura semble étrangement les englober toutes les deux.

Ce livre est en réalité inépuisable, j'ai la sensation d'avoir vécu une expérience intense, mais ineffable, impossible à mettre en mots alors que j'ai expérimenté un langage riche et complètement maîtrisé, je ne suis pas sûre d'avoir compris son sens, juste d'avoir ressenti quelque chose de trop complexe et riche pour pouvoir être réduit à des catégories ou vocables, finalement aussi complexe et inexplicable que les être humains .....

J'ai bien compris que des sordides histoires de droits d'auteurs ou de coûts de traduction rendent improbable une édition de Pléiade consacrée à Kawabata, mais pourtant à quel point il mériterait cela.
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 21:24

C'est vrai, Arabella, que l'on ne comprend pas tout dans Pays de neige.
Mais ce qui est rassurant, c'est que les spécialistes non plus Very Happy
Et puis on peut y repenser, le relire, croire qu'un jour on comprendra.
"Demain, je le comprends !"
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 21:28

La Beauté, tôt vouée à se défaire (1933), précédé de Le Bras (1963), deux nouvelles traduites du japonais par Liana Rosi en 2003.
Postface de Mishima Yukio (1967).

En 1967 Kawabata avait regroupé en un volume d'une collection de poche les deux nouvelles dont on va parler, en plus des Belles Endormies, avec les commentaires de Mishima.

- Le Bras (Kataude, 1963)
La nouvelle commence ainsi :
Citation :
"« Je peux te prêter mon bras pour un soir », dit la fille. Et, le détachant de son épaule droite, elle le prit dans sa main gauche et le déposa sur mes genoux.
« Merci ».
Je regardai mes genoux. La chaleur de son bras droit se transmettait à mes cuisses.
« Ah, je vais y mettre ma bague. Pour bien montrer qu'il s'agit de mon bras. »" (page 11)

Le bras est plus qu'un simple bras, il semble avoir une certaine indépendance, un certain niveau de conscience.
La fille dit au narrateur :
Citation :
"Si tu es gentil avec lui, il se peut même qu'il t'écoute.
- Je serai gentil.
- Alors, à bientôt, dit-elle l'esprit ailleurs, en caressant avec les doigts de la main gauche son bras droit que je tenais toujours. Tu es à lui, mais pour un soir seulement. »
Il m'apparut que ses yeux, qui me regardaient, avaient du mal à réprimer des larmes.
« Quand tu seras rentré chez toi, tu pourras essayer, si tu veux... dit-elle, de remplacer ton bras droit par le mien.
- Ah, merci. »
Je marchai dans la nuit à travers la ville sur laquelle le brouillard était tombé, le bras droit de la fille dissimulé sous mon imperméable."(pages 12-13)
Cette nouvelle, à mi-chemin entre le rêve et le cauchemar, est bourrée de symboles ouvertement sexuels.

Citation :
"Elle avait détaché son bras de l'endroit que j'aimais. Il y avait un renflement là où la naissance du bras rejoignait l'extrémité de l'épaule. Cet arrondi, rare chez les Japonaises, existe chez les belles Occidentales au corps élancé. Et cette fille l'avait. Une rondeur pure et élégante, sphère de lumière légère et innocente, qui embellissait dès lors que la fille perdait sa virginité." (pages 13-14).
Le narrateur rentre dans sa chambre, avec le bras de la fille…

Les analogies de cette histoire fétichiste avec Les Belles Endormies sont évidentes, le thème de l'homme mûr qui dort mais ne "couche pas" avec une jeune fille - ou, ici, une partie de jeune fille, ainsi que la description méticuleuse des positions des doigts, de l'angle que peut faire un coude. A moins bien sûr que dormir avec un bras qui ne vous appartient pas puisse être considéré comme un passage à l'acte.

Une nouvelle très étrange, vraiment originale, suffisamment ambiguë pour que l'on puisse se défouler dans les interprétations...


- La Beauté, tôt vouée à se défaire (Chirinuruo, 1933)
La nouvelle commence ainsi : "Takiko et Tsutako s'étaient endormies l'une à côté de l'autre sous la moustiquaire sans savoir qu'elles allaient être assassinées." (page 53).

On sait dès le début qui est le coupable :
Citation :
"Il se trouve que Saburo Yamabe, leur agresseur, qui fut condamné à la réclusion à perpétuité, est mort lui aussi en prison il y a deux ans, et maintenant, au lieu de m'inspirer une stupide sensation de néant, cette histoire exercerait plutôt sur moi une sorte d'attirance physique." (page 53).

Ce qui intéresse le narrateur, et qui est l'objet de ses réflexions, ressouvenances et dialogues imaginaires, ce sont les motivations de l'assassin... et peut-être de ses victimes.

L'histoire est racontée, encore et encore, en une structure circulaire, ou plutôt en spirale (car on ne repasse pas exactement là où l'on est déjà passé), mais à chaque fois le narrateur ajoute ou modifie des éléments qui permettent au lecteur de reconstituer différemment, de façon de plus en plus complexe et obscure, les circonstances et les motivations de l'assassin.

La vérité existe-t-elle vraiment ? Que peut faire le narrateur, écrivain de métier, face à une telle réalité ?
Les deux jeunes femmes ont été tuées semble-t-il pendant leur sommeil : elles ne sont pas débattues. Est-ce parce vraiment parce qu'elles dormaient ? Est-ce crédible ? Ou bien ont-elles accepté/voulu la mort ?

Au rayon des perversions en tout genre, on pourrait comme deviner un peu nécrophilie :
Citation :
"C'est à cause de cette blessure que je détournai la tête en grimaçant, mais maintenant je pense que ce n'était rien d'autre que de l'hypocrisie, pour masquer en réalité mon émerveillement face à sa vie révélée. Ce corps débraillé ainsi exposé, sans aucune ombre de peur ni de souffrance, paraissait au comble du ravissement." (page 100). "[...] un corps qui ne contenait plus une goutte de sang n'aurait pas dû déborder d'une jeunesse aussi effrontée. [...] La Takiko de la photographie se révélait un animal abject, au point qu'on avait envie de lui dire que c'était bien fait pour elle, alors que, vivante, elle ne m'avait jamais montré cet aspect véritable de la femme. Même en étant tuée de cette manière, même en devenant un cadavre dont les yeux se détournaient, par l'intermédiaire de l'appareil photographique elle avait saisi l'occasion de montrer sans aucune réserve toute l'étendue de la vitalité de sa jeunesse. Etait-ce l'effet d'un terrible hasard ?" (page 101)
Fascination pour les jeunes filles endormies, attirance pour la mort, ce texte est donc bien à sa place avec Les Belles Endormies et le Bras.

La Beauté... est un texte curieux. Ce n'est pas le plus ouvertement captivant de l'auteur, mais il est bien intriguant, de manière certes beaucoup plus discrète que Le Bras. Plus on y pense, plus le contenu est tordu, à la fois réflexion - ou plutôt interrogation - sur la littérature, la vérité, les pulsions de mort, de vie...
Oui, vraiment curieux.
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 21:48

eXPie a écrit:
C'est vrai, Arabella, que l'on ne comprend pas tout dans Pays de neige.
Mais ce qui est rassurant, c'est que les spécialistes non plus Very Happy
Et puis on peut y repenser, le relire, croire qu'un jour on comprendra.
"Demain, je le comprends !"

Pour moi un livre vraiment marquant, c'est un livre qu'une fois fini, je sais que j'aurais envie de relire encore, une ou plusieurs fois, car une seule lecture n'a pu en épuiser toutes les beautés et tous les sens. Et Kawabata fait partie pour moi de ce type de lecture.
Petite questions, j'ai bien noté les 3 titres que tu donnes et qui ne sont pas compris dans Romans et Nouvelles, j'ai pu retrouver les références pour les 2 nouvelles dont tu viens de nous mettre la critique, ainsi que pour Récits de la Paume de la main, mais je ne sais pas dans quelle édition je pourrais trouver la suite de Nuées d'oiseaux blancs. Et il me faut absolument tout Kawabata, enfin tout ce que je pourrais trouver en français car moi non plus je ne crois pas que j'arriverais à me mettre au japonais Wink
Alors si tu avais l'éditeur de ce texte sous la main, tu me rendrais un grand service en me l'indiquant. Merci d'avance.
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 22:13

Nuée d'oiseaux blancs, c'est chez 10/18... si tu le trouves d'occasion, vu que le tirage est épuisé. humeur


Toujours dans le bouquin de Cécile Sakai (page 14), on lit que Kawabata a écrit aussi des "romans pour jeunes filles", et notamment : Le port des demoiselles, Un beau voyage, Vie d'une fleur.
Des romans-feuilletons populaires : La révélation d'une femme, Combien de fois l'arc-en-ciel, Histoire de la ville basse traversée par une rivière, Le chemin où passe le vent, Gens te Tôkyô, Etre femme...

A part ça, son classement est :

Citation :
Parmi les chefs-d'oeuvres incontestés figurent : La Danseuse d'Izu, Pays de neige, Le Grondement de la montagne, Les Belles endormies.

Parmi les oeuvres marquantes figurent : Journal de ma seizième année, plusieurs Récits de la paume de la main (notamment Ramasser les ossements et Double suicide), Bestiaire, Illusions de cristal, Elégie, La Lune dans l'eau, La Tétralogie de Sumiyoshi, Le Maître de go, Nuée d'oiseaux blancs, Yumiura, Le bras, Le Pissenlit (Tanpopo).
Comptent parmi les oeuvres controversées : La danseuse, Le Lac, Kyôto, Tristesse et beauté.


Arrivé là, je m'interroge : les romans, recueils de nouvelles... d'Inoue sortent par caisses entières... et de Kawabata, rien.

Et pourtant, à voir la liste ci-dessous, les inédits en Français ne manquent pas !

Alors, pourquoi Inoue et pas Kawabata ? Plus facile à lire ?
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 22:43

eXPie a écrit:
Nuée d'oiseaux blancs, c'est chez 10/18... si tu le trouves d'occasion, vu que le tirage est épuisé. humeur

Arrivé là, je m'interroge : les romans, recueils de nouvelles... d'Inoue sortent par caisses entières... et de Kawabata, rien.

Et pourtant, à voir la liste ci-dessous, les inédits en Français ne manquent pas !

Alors, pourquoi Inoue et pas Kawabata ? Plus facile à lire ?

Merci pour la référence, évidemment épuisée, il ne me reste plus qu'à esperer pouvoir trouver le livre un jour.

Tout ce qui tu dis sur les livres écrits par Kawabata et pas traduits en français me navre, j'aimerais tellement pouvroir tout lire de lui. En ce qui concerne Inoue, je ne suis pas la mieux placée pour en parler, j'ai lu laborieusement 2 de ses livres, Le sabre des Takeda et Le fusil de chasse, je m'y suis consciencieusement ennuyée, et je n'ai pas trouvé cela facile, mais très pénible à lire.

Mais j'ai tendance à avoir des goûts pervers, Anne Rice aussi je l'ai trouvée terriblement difficile à lire, alors que des auteurs comme Joyce ou Musil par exemple, je les trouve irrésistiblement passionnants, cela se lit tout seul.
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 23:03

eXPie a écrit:
Nuée d'oiseaux blancs, c'est chez 10/18... si tu le trouves d'occasion, vu que le tirage est épuisé. humeur
Je ne veux pas faire trop de publicité pour un 'magasin' qui n'est pas trop favorable pour les petites librairies - mais je dois dire que le service des achats de livres d'occasion chez amazon.fr est très bon. Plusieurs fois déjà fait l'expérience (ah oui, d'ailleurs la dernière fois avec Jacques Chessez que j'ai commenté sur son fil sur ce forum). Juste une idée pour avoir parfois des livres épuisés.
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 23:26

kenavo a écrit:
eXPie a écrit:
Nuée d'oiseaux blancs, c'est chez 10/18... si tu le trouves d'occasion, vu que le tirage est épuisé. humeur
Je ne veux pas faire trop de publicité pour un 'magasin' qui n'est pas trop favorable pour les petites librairies - mais je dois dire que le service des achats de livres d'occasion chez amazon.fr est très bon. Plusieurs fois déjà fait l'expérience (ah oui, d'ailleurs la dernière fois avec Jacques Chessez que j'ai commenté sur son fil sur ce forum). Juste une idée pour avoir parfois des livres épuisés.

J'ai déjà utilisé aussi ce moyen...dans des cas désespérés!content
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 23:28

C'est vrai qu'Amazon propose ce livre d'occasion.

Pour Inoue, je n'ai guère lu que Le Fusil de Chasse, pour le moment. Bof. Il y a des contradictions (que personne n'a remarquées ?? ou bien c'est censé être profond ??), mais il y a pire : c'est quelconque.
Ooops, je suis dans le fil Kawabata, pas Inoue, gomen !
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyLun 4 Fév 2008 - 23:32

eXPie a écrit:
C'est vrai qu'Amazon propose ce livre d'occasion.

Pour Inoue, je n'ai guère lu que Le Fusil de Chasse, pour le moment. Bof. Il y a des contradictions (que personne n'a remarquées ?? ou bien c'est censé être profond ??), mais il y a pire : c'est quelconque.
Ooops, je suis dans le fil Kawabata, pas Inoue, gomen !

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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyMar 5 Fév 2008 - 8:37

J'ai suivi vos conseils et j'ai commandé Nuée d'oiseaux blancs sur Amazon.
eXPie "quelconque" est à mon sens l'adjectif parfait pour qualifier Inoue, mais je n'en parlerais pas plus ici, puisqu'il a son propre fil. Je me permettrais juste de remarquer, que le fil d'Inoue ne fait qu'une page, alors que celui sur Kawabata 5, il semble qu'au moins sur ce forum, il y ait plus d'amateurs de Kawabata. Wink
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyMar 5 Fév 2008 - 11:40

arabella a écrit:
J'ai suivi vos conseils et j'ai commandé Nuée d'oiseaux blancs sur Amazon.
eXPie "quelconque" est à mon sens l'adjectif parfait pour qualifier Inoue, mais je n'en parlerais pas plus ici, puisqu'il a son propre fil. Je me permettrais juste de remarquer, que le fil d'Inoue ne fait qu'une page, alors que celui sur Kawabata 5, il semble qu'au moins sur ce forum, il y ait plus d'amateurs de Kawabata. Wink
Ou que les lecteurs de Kawabata sont plus bavards que ceux d’ Inoué innocent …je ne suis pas un inconditionnel de ce dernier, notamment pour ses classiques peut-être surestimés, mais je doute que Paroi de glace laisse une impression quelconque… nonnon
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 EmptyDim 2 Mar 2008 - 16:51

Je n'ai pas aimé Pays de neige. Je suis restée complètement hermétique aux personnages du début à la fin de ma lecture, que j'ai fini par abandonner au 2/3 du roman.
J'ai préféré de loin Nuée d'oiseaux blancs, que ce soit au niveau de la richesse des thématiques abordées que de la poésie qui s'en dégageait.

Je remercie Queenie d'avoir cerclé ce roman, même si je suis peinée de ne point pouvoir partager votre enthousiasme à son sujet jypeurien
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MessageSujet: Re: Kawabata Yasunari   Kawabata Yasunari - Page 5 Empty

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