Que lisez-vous en janvier?

Passagers clandestins de Timothy Findley



Et il faudrait que je trouve le temps de parler de mes lectures passées !.....

Terminé "La compagnie des menteurs" (élu meilleur thriller de l'année par le New York Times) Bof-bof
Et reprise du bouquin de Franzen "Les corrections"

Lecture de Mme Igor: "Chaos sur la toile" de Kristin Marja Baldursdottir (Islande).
Un bouquin qui l'enchante. Je l'ai emprunté à la médiathèque par erreur, pensant que c'était Audur Ava Ólafsdóttir (ma lecture des noms propre laisse à désirer).
Bref, elle le conseille fortement!
Ce qu'on en dit chez le marchand:
Présentation de l'éditeur
Karitas vient tout juste de verser l’eau bouillante dans la bassine lorsque les belles-sœurs frappent à la porte de l’atelier glacial. Elles viennent quémander à l’artiste les décors pour le spectacle de Noël. Les belles-sœurs ne savent-elles donc pas à qui elles ont affaire, à quel genre d’artiste ? Karitas n’existe que pour l’art qui, lorsqu’il vient, crée le chaos sur ses toiles. Elle vit à Reykjavík, loin de son mari, loin de ses enfants. Le jour où elle prend la décision de partir pour Paris, ville d’art par excellence, alors qu’elle étend le linge dans l’arrière-cour, l’un de ses fils surgit. Avec une petite fille. Sa petite-fille à elle. Et Karitas se retrouve avec deux valises au lieu d’une pour découvrir le monde. Elle sillonne les musées, se nourrit des œuvres des plus grands peintres. Mais quelle vie d’artiste peut-on mener dans le Paris des années 50 avec en permanence un enfant calé sur la hanche ?Pourtant Karitas crée, expose, vend ses toiles. La petite Silfa se souviendra à jamais du jardin public en face de la pension, des manèges en bois, de l’horloger qui vendait un gros réveil rouge avec un carrousel, des soirées enfumées chez Elena, l’artiste portugaise qui habitait à côté, du violon enflammé de Dengsi, le bon ami islandais. Silfa se souviendra aussi de l’escapade dans les calanques marseillaises avec le bel homme qu’elle appelle vite papa tout comme elle appelle Karitas maman ; Sigmar, l’armateur aux yeux vert océan qui couvrirait d’or l’artiste, sa femme, si elle voulait seulement se laisser faire.
Biographie de l'auteur
Kristín Marja Baldursdottir est née en 1949 à Hafnar-fjordur en Islande. La condition des femmes fait partie des thèmes qu’elle aborde dans son œuvre : si l’Islande fut longtemps un pays précurseur (notamment avec le droit de vote acquis dès 1915 pour les plus de quarante ans), les droits des femmes sont aujourd’hui menacés de régression. Dans Karitas comme dans Chaos sur la toile, Kristín Marja Baldursdottir entend tirer la sonnette d’alarme.

Je finis L'allée du roi, qui traîne un peu en longueur sur la fin et je commence La ple avant qu'elle tombe de Jonathan Coe.

J'ai commencé Lyonel Trouillot - Rue des pas perdus. Pas mal.

J'ai arrêté Kashishe, je m'endormais.

Quelques poèmes de Nietszche, et toujours H Bosco, mais je fais une pause, car trop fatiguée et certains auteurs nous demandent une concentration totale.
Même un abandon total.

Hélas, le quotidien doit être géré aussi et on ne peut pas être partout !

Que j'envie les oisifs !

Pour ma plus grande joie je suis toujours dans les Buddenbrook, j'avance lentement car peu de temps pour lire hélas.
Mais je savoure.

darkanny a écrit:

Pour ma plus grande joie je suis toujours dans les Buddenbrook, j'avance lentement car peu de temps pour lire hélas.
Mais je savoure.

C'est vrai que ça ne se lit pas en cinq minutes, mais c'est rudement bien !

Je relis Farenheit 451 qui me frappe toujours autant pas sa justesse et son aspect visionnaire.

Madame B. a écrit:

Je relis Farenheit 451 qui me frappe toujours autant pas sa justesse et son aspect visionnaire.

Bonne relecture Madame B. ! Moi aussi, je l'ai relu plusieurs fois et je suis d'accord avec toi : on redécouvre toujours de nouveaux aspects de ce livre, à croire qu'on ne pourra jamais s'en lasser.

Possession (A.S. Byatt)

Après l'échec cuisant d'un été sans les hommes , je reviens à une valeur sûre...

Et Nietzsche a pleuré d'Irvin Yalom

Je commence Les frères Karamasov de Dostoievsky.

Le goût des pépins de pomme, de Katharina Hagena

sentinelle a écrit:

Je commence Les frères Karamasov de Dostoievsky.

un livre énorme, dense, orgiaque !

je le lirais bien un troisième fois moi.

Après Scènes d'été (Nagai Kafû), Monsieur Walser (Tavares).

L'armoire des robes oubliées de Riika Pulkkinen