Le Café Ciné

Queenie a écrit:

J'aime tellement Total Recall. J'ai envie de pleurer.

Désolé de te l'avoir dit, alors... Mais tu peux toujours l'oublier, si tu veux, et te faire implanter d'autres souvenirs à la place.

eXPie a écrit:

Queenie a écrit:

J'aime tellement Total Recall. J'ai envie de pleurer.

Désolé de te l'avoir dit, alors... Mais tu peux toujours l'oublier, si tu veux, et te faire implanter d'autres souvenirs à la place.

Wè. Mais si c'est pour finir par me sortir un œuf de la narine... Non merci !

Ça m'a fait bien rire (la "collaboration" avec Michael Bay, notamment) :

juste pour toi : clic

animal a écrit:

juste pour toi : clic

Très bon !
Quel réalisateur !

tombé dessus par hasard, c'est à conserver tellement j'adore le côté joyeux de l'affaire :

Jsuis fan !

Les Gérard d'Or 2012 ont été attribués, on pourra trouver la liste ici.
Notamment :

Citation :

Gérard de l’acteur culte qui tournait dans des bons films. Et puis, un jour visiblement, ça l’a fait chier :
Jean-Pierre Bacri dans Avant l’aube

Gérard du désespoir féminin :
Judith Godrèche dans Low cost

Gérard du désespoir masculin :
Jean Reno dans Comme un chef

Gérard du film :
La Guerre des boutons et La Nouvelle guerre des boutons de Yann Samuell et de Christophe Barratier avec Eric Elmosnino et Mathilde Seigner et avec Laetitia Casta et Guillaume Canet (exæquos)

Ah, ah, toujours curieuse de découvrir les malheureuses victimes des Gérard d'Or

Ca me donne envie de regarder toutes ces performances...plus que lorsqu'il s'agit des prix habituels... (roooh !)

Ah tiens. . .

J'avais raté que Cronenberg avait ramené fiston sur la croisette :



Section Un certain regard, il présente son film Antiviral.

Histoire chelou d'une communion biologique : des fans se font injecter le virus de leur star préférée.


On sent pas un peu l'influence de papounet ?

Oui, mais traité de manière différente nous dira le papounet !
On ne demande qu'à voir

Ah, film du fiston ? A surveiller alors, ne serait-ce que pour le plaisir de comparer

Un film jugé très proche du David Cronenberg des années 70 (comme on pouvait le pressentir au vu du scénario). Une curiosité intéressante d'après les critiques cannoises, même si Brandon n'a pas encore trouvé son propre style.

Karmitz, à propos du dernier Kiarostami :

Citation :

«J’ai pris une très belle éponge d’Yves Klein à laquelle je tenais beaucoup, et je l’ai confiée à Sotheby’s qui l’a vendue aux enchères aux Etats-Unis. Avec l’argent de l’éponge, j’ai pu faire le film…»

(tout l'article sur Libé).
Ca laisse rêveur.