Dans la ville blanche
Un mécanicien qui a passé sa vie à errer sur la mer, décide un jour de déserter, de s’arrêter dans une ville étrangère, et d’y errer, entre cafés, alcools, amours…Et de filmer cette ville (Lisbonne), se filmer. Tenter de se retrouver, ou de se perdre complètement. Dans un temps comme suspendu, hors du temps.
Un moment douloureux et magique à la fois, entre la beauté un peu distanciée des images, et la perdition du personnage joué par Bruno Ganz.
Marquant.
Hier, j'ai vu L'homme qui a perdu son ombre. Et c'est tout simplement un délice.