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| Bruno Podalydès | |
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Auteur | Message |
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traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Bruno Podalydès Ven 17 Juil 2009 - 22:19 | |
| - Citation :
- Bruno Podalydès est un scénariste, réalisateur et acteur français, né le 11 mars 1961 à Versailles (Yvelines). Il est le frère de l'acteur Denis Podalydès.
source et suite : wikipedia.org - Citation :
- Lucie arrive à son bureau et découvre, accrochée sous une fenêtre de l'immeuble d'en face, une banderole noire avec écrit : "HOMME SEUL".
Est-ce un gag, un cri du coeur, un appel au secours ? Lucie et ses deux collègues s'interrogent et décident de mener leur enquête... A midi, elles pique-niquent à côté, au "SQUARE DES FRANCINE". Là, les amoureux graves, les solitaires enjoués, joueurs de tous âges, tournent autour du joyeux jet d'eau. La ronde continue en face, au magasin "BRICO-DREAM" où, sous les conseils plus ou moins compétents d'une équipe de vendeurs en sur-effectif, les clients calculent, échafaudent, tendus, angoissés, ayant peur de repartir avec des étagères trop courtes, des vis trop longues... A la fin du jour, aurons-nous croisé l"'homme seul" parmi la multitude de ces personnages affairés ? Les multiples saynètes qui tiennent de lieu de script dans Bancs publics sont forcément inégales d'autant que le défilé de la moitié des acteurs français a tendance à éparpiller l'intérêt. Le film peut être considéré comme le maillon faible de la trilogie versaillaise de Bruno Podalydès, autrement plus efficace quand il s'appuie sur une scénario digne de ce nom. Tout n'est pourtant pas à jeter loin de là, en particulier les scènes du magasin de bricolage où le burlesque impose sa loi. Quand Podalydès laisse la folie s'installer dans ce lieu où se retrouvent toutes les classes de la société, l'absurde y côtoie le pathétique dans un délire qui rappelle que l'être humain est un bien étrange animal. Globalement, Bancs publics est plus convaincant dans le registre de la dérision que dans celui de la gravité ou de l'introspection métaphysique. Voici donc un film bancal pour le public qui sera diversement accueilli selon sa propre conception de l'humour. | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Bruno Podalydès Mer 20 Juin 2012 - 22:32 | |
| Adieu Berthe de Bruno Podalydès - Citation :
- Mémé is dead. Berthe n'est plus. Armand avait "un peu" oublié sa grand-mère… Pharmacien, il travaille avec sa femme Hélène à Chatou. Dans un tiroir de médicaments, Armand cache ses accessoires de magie car il prépare en secret un tour pour l'anniversaire de la fille… de son amante Alix. Et mémé dans tout ça ? On l'enterre ou on l'incinère ? Qui était Berthe ?
Et si Bruno Podalydès était le Wes Anderson français ? Allez, pas totalement, mais un peu, quand même ? C'est plus particulièrement vrai dans Adieu Berthe ou l'enterrement de mémé, qui tente, et réussit assez souvent, à mêler jeux de mots impossibles, histoires sentimentales compliquées, poésie du quotidien, fantaisie allègre et évocation iconoclaste de la mort. Avec un soupçon de magie en plus, histoire de faire disparaître les peines et l'illusion de notre immortalité. Avec son frère Denis, acteur toujours subtil, Denis Podalydès prend ses aises avec le vaudeville, son genre fétiche, en lui donnant une profondeur et une gravité cachées, qu'il n'avait jamais autant travaillé au corps. La mise en scène n'est pas renversante, soit, mais, ceci mis à part, le film parvient, sous des aspects volontairement vieillots ou burlesques, à parler intelligemment de notre époque, de ses manies ridicules et de ses rites amoureux, aussi touchants que pathétiques. Les textos tiennent une place capitale dans Adieu Berthe, média des transports amoureux, des petits mensonges et des arrangements avec les tracasseries de la vie. Ce film est fragile, un souffle de vent suffirait à déranger sa gracieuse harmonie, mais il tient la distance, nonobstant quelques trous d'air. Valérie Lemercier, Isabelle Candelier, Michel Vuillermoz et une foultitude de seconds rôles, aux côtés des frères Podalydès, intègrent parfaitement leurs voix dans cette sarabande joyeuse qui fait la nique à la grisaille ambiante. Avec une fausse insouciance et une vraie tendresse.
Dernière édition par Avadoro le Mer 30 Déc 2015 - 14:11, édité 2 fois (Raison : transformation en fil réalisateur (bio + photo)) | |
| | | Avadoro Zen littéraire
Messages : 3501 Inscription le : 03/01/2011 Age : 39 Localisation : Cergy
| Sujet: Bruno Podalydès Mar 26 Juin 2012 - 0:02 | |
| Adieu Berthe (Bruno Podalydès)
J'ai aimé retrouvé l'univers si particulier des frères Podalydès, une tendresse vis à vis des personnages et un quotidien où peut survenir à chaque instant l'inattendu. La mise en scène révèle une belle simplicité et s'accorde au jeu des acteurs pour la plupart irréprochables. Je garde toute de même une certaine frustration dans la durée, face à des choix discutables (la répétition des gags téléphoniques) et un récit qui ne valorise pas assez la dimension d'une fantaisie et d'un imaginaire. Bruno Podalydès cherche à se renouveler sans toujours convaincre et Adieu Berthe semble parfois trop terre à terre, prévisible dans sa recomposition d'une cellule familiale. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Mer 11 Juil 2012 - 14:55 | |
| Adieu Berthe, l’enterrement de mémé (2012) de Bruno Podalydès Berthe a crevé… La mort n’a plus le charme qu’on trouvait dans les foyers d’antan. A la tristesse et au désespoir grandiloquents a cédé l’ennui de la gestion des formalités post-mortem, au-dessus desquelles culmine l’organisation de la cérémonie funèbre. Organisation rendue d’autant plus complexe que l’offre en la matière dépasse souvent la demande, et lorsque la famille du défunt n’arrive plus à trancher entre enterrement et inhumation, ou entre les différents genres de cercueils, l’âme disparue est invoquée pour imposer son avis depuis l’au-delà. Le film commence bien, qui met en scène cet esprit burlesque qui sied au sujet. Les personnages ne sont pas loin d’être inhumains mais pourtant, on ne peut rien leur reprocher : la lutte qu’ils mènent contre leurs propres soucis personnels de mortels les accapare tant qu’on comprend aisément qu’ils ne puissent pas détourner le regard de leur nombril. Ainsi, la mort de mémé Berthe tombe vraiment mal pour Armand. Peut-être aurait-il pu s’émouvoir de sa disparition si, par ailleurs, il ne s’était pas trouvé en proie à un cruel dilemme amoureux… Crise de la cinquantaine oblige, l’envie de refaire sa vie s’impose à lui sans lui laisser le choix. Après une vie calme et rangée menée avec son épouse, il prend l’envie à Armand de tout plaquer pour convoler avec Alix, femme aussi délurée et volcanique que son épouse était posée et compréhensive. Pauvre petit Armand… A force de vouloir nous le faire passer pour un homme fondamentalement sympathique, malmené par des forces extérieures hors de son contrôle, il finit par devenir ennuyeux voire détestable. Son œil de chien battu, ses cheveux en bataille, sa trottinette de poche et sa sonnerie de portable exaspérante –à la base de running gags fatigants- font de ce personnage de tragicomédie un abruti qui préfère se faire passer pour un pantin plutôt que de justifier son indécision et sa mollesse. Ceux qui entourent Armand ne méritent pas davantage de compassion. Construits tout en stéréotypes, dans l’intention claire de faire rire le chaland, ils épuisent en cinq minutes leurs potentialités. Parce qu’on ne voit en eux que l’intention pour laquelle Bruno Podalydès les a construits, il est impossible de faire naître un quelconque attachement et se prendre d’intérêt pour leurs histoires qui se ramènent toutes à des finalités de fesses. Heureusement, c’est à ce moment charnière, où l’intensité des imbroglios atteint son apogée, que mémé Berthe est de nouveau invoquée. Car il fallait bien qu’elle serve à quelque chose et si ce n’était de son vivant, ce le sera maintenant qu’on s’apprête à l’ensevelir. Parce qu’il en a marre de ses bonnes femmes hystériques, et pour se changer les idées, Armand décide de se passionner pour la vie de feu mémé. Comme il aurait branché la télé et aurait zappé jusqu’à trouver un film convenable pour la soirée, il fouille dans les affaires de la vieille et s’arrête sur sa correspondance de jeunesse. A travers la lecture d’une histoire d’amour malheureuse, Armand fait connaissance avec sa mémé et déborde soudain de tendresse pour cette vieille dame dont l’existence consista uniquement à attendre jusqu’à la mort un magicien peu doué pour l’empathie. Tout ça fait cogiter Armand… et si lui aussi était ce magicien égoïste, aveugle à l’amour éperdu de sa femme ? Derrière un discours à peine macho et un poil mégalo, Armand se fait passer pour la belle âme que la mort a su révéler à elle-même. Le cynisme que l’on avait cru voir un instant s’incarner à travers la peinture acerbe des relations se transforme en une mièvrerie bourrée d’hypocrisie, à en faire crever Berthe une seconde fois. Est-ce parce que l’été revient et que la période des canicules se fait pressentir que les vieux deviennent à nouveau le centre de nos préoccupations ? Il faut leur donner à boire, les garder au frais dans des caves ou des supermarchés… Autant dire qu’ils nous embêtent. Grâce aux Podalydès, vous allez les considérer autrement. Le grand message d’ Adieu Berthe est le suivant : non, les vieux ne sont pas inutiles. Penchez-vous un instant sur leur vieille carcasse et souvenez-vous qu’ils ont été jeunes avant vous. Ils peuvent encore vous faire rêver et vous faire réfléchir sur votre vie de malheur, vous, tous jeunes que vous êtes. Car les vieux ne servent qu’à ça : presser leur maigre existence achevée pour en extraire une sentence qui se résume à une phrase de morale, assénée droit dans la cervelle. Sous couvert d’un amoralisme de pacotille (parler de la mort le sourire aux lèvres, entre deux insinuations scabreuses et quelques parties de jambes en l’air), Adieu Berthe se propose seulement de nous rabâcher les mêmes emplâtres poussiéreux que des générations avant la nôtre ont déjà dû s’enfiler. En réalité, ce film est un mensonge : il ne traite pas de la mort de Berthe mais bien, au contraire, de sa réincarnation à travers le personnage d’Armand. | |
| | | odrey Sage de la littérature
Messages : 1958 Inscription le : 27/01/2009 Age : 46
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Mer 11 Juil 2012 - 18:08 | |
| - Citation :
- et lorsque la famille du défunt n’arrive plus à trancher entre enterrement et inhumation
Crémation tu veux dire? L’inhumation, c'est l'acte de mettre en terre, comme dans un enterrement donc. Oui, je sais, tu t'en fous. Bon, je n'ai pas vue le film, tu me donnerais presque envie d'y remédier. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Mer 11 Juil 2012 - 21:52 | |
| - odrey a écrit:
-
- Citation :
- et lorsque la famille du défunt n’arrive plus à trancher entre enterrement et inhumation
Crémation tu veux dire? L’inhumation, c'est l'acte de mettre en terre, comme dans un enterrement donc. Oui, je sais, tu t'en fous. Bon, je n'ai pas vue le film, tu me donnerais presque envie d'y remédier. Oui je me suis trompée en effet. Ravie de t'avoir convaincue (même si ce n'était pas le but) | |
| | | odrey Sage de la littérature
Messages : 1958 Inscription le : 27/01/2009 Age : 46
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Jeu 12 Juil 2012 - 16:33 | |
| Je sais mais j'ai l'esprit de contradiction. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Jeu 12 Juil 2012 - 20:16 | |
| Moi aussi ! Ca tombe bien, si tu vas le voir et que tu l'apprécies, on se réjouira toutes les deux à exercer notre esprit de contradiction ! Allez, réserve-toi une soirée dans les jours qui viennent pour aller voir ce film | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Jeu 12 Juil 2012 - 20:19 | |
| Je compte aussi aller le voir. Et je trouve que Coli a vraiment la dent dure en ce qui concerne le cinéma. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Adieu Berthe ( Bruno Podalydès) Jeu 12 Juil 2012 - 21:22 | |
| Y a intérêt ! | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Mer 1 Aoû 2012 - 21:27 | |
| - traversay a écrit:
Adieu Berthe de Bruno Podalydès - Citation :
- Mémé is dead. Berthe n'est plus. Armand avait "un peu" oublié sa grand-mère… Pharmacien, il travaille avec sa femme Hélène à Chatou. Dans un tiroir de médicaments, Armand cache ses accessoires de magie car il prépare en secret un tour pour l'anniversaire de la fille… de son amante Alix. Et mémé dans tout ça ? On l'enterre ou on l'incinère ? Qui était Berthe ?
Et si Bruno Podalydès était le Wes Anderson français ? Allez, pas totalement, mais un peu, quand même ? C'est plus particulièrement vrai dans Adieu Berthe ou l'enterrement de mémé, qui tente, et réussit assez souvent, à mêler jeux de mots impossibles, histoires sentimentales compliquées, poésie du quotidien, fantaisie allègre et évocation iconoclaste de la mort. Avec un soupçon de magie en plus, histoire de faire disparaître les peines et l'illusion de notre immortalité. Avec son frère Denis, acteur toujours subtil, Denis Podalydès prend ses aises avec le vaudeville, son genre fétiche, en lui donnant une profondeur et une gravité cachées, qu'il n'avait jamais autant travaillé au corps. La mise en scène n'est pas renversante, soit, mais, ceci mis à part, le film parvient, sous des aspects volontairement vieillots ou burlesques, à parler intelligemment de notre époque, de ses manies ridicules et de ses rites amoureux, aussi touchants que pathétiques. Les textos tiennent une place capitale dans Adieu Berthe, média des transports amoureux, des petits mensonges et des arrangements avec les tracasseries de la vie. Ce film est fragile, un souffle de vent suffirait à déranger sa gracieuse harmonie, mais il tient la distance, nonobstant quelques trous d'air. Valérie Lemercier, Isabelle Candelier, Michel Vuillermoz et une foultitude de seconds rôles, aux côtés des frères Podalydès, intègrent parfaitement leurs voix dans cette sarabande joyeuse qui fait la nique à la grisaille ambiante. Avec une fausse insouciance et une vraie tendresse.
C'est déprimant, mais encore une fois je n'aurais vraiment rien à rajouter au commentaire de Traversay, je signe des deux mains. D'accord sur la réserve concernant la mise ne scène, mais voilà ce ton décalé, doux amer, cette vie pas toujours à la hauteur des espoirs et qui nous quitte petit à petit, les petites et grandes compromissions pour garder une petite part du rêve, et la capacité à rire de soi-même, tout cela fait que le film m'accroché du début à la fin, alors que l'exercice était périlleux et que cela aurait pu déraper et donner le pire. Un bon moment. Désolée, Colimasson. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Mer 1 Aoû 2012 - 22:28 | |
| - Arabella a écrit:
Désolée, Colimasson. C'est peut-être moi qui ne sait pas apprécier les films à leur juste valeur ? | |
| | | domreader Zen littéraire
Messages : 3409 Inscription le : 19/06/2007 Localisation : Ile de France
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Jeu 2 Aoû 2012 - 9:04 | |
| - colimasson a écrit:
- Arabella a écrit:
Désolée, Colimasson. C'est peut-être moi qui ne sait pas apprécier les films à leur juste valeur ? Je n'aurais pas la dent aussi dure que coli, mais je la rejoins sur bien des points, j'ai trouvé le film prometteur au début puis il s'est dégonflé comme un soufflé au fur et à mesure jusqu'à me laisser indifférente à ce qui se passait sur l'écran en attendant la fin. J'en suis ressortie avec une impression d'ennui vague. Mais Podalydes acteur est, lui, toujours parfait. | |
| | | Avadoro Zen littéraire
Messages : 3501 Inscription le : 03/01/2011 Age : 39 Localisation : Cergy
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Jeu 2 Aoû 2012 - 21:41 | |
| Le ton des frères Podalydès reste très particulier, on y adhère ou pas. Petite précision, mon avis (positif malgré quelques notes en demi-teinte) a été égaré à la page 15 du sujet consacré aux sorties 2012. | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Bruno Podalydès Jeu 2 Aoû 2012 - 22:31 | |
| - Avadoro a écrit:
- Le ton des frères Podalydès reste très particulier, on y adhère ou pas. Petite précision, mon avis (positif malgré quelques notes en demi-teinte) a été égaré à la page 15 du sujet consacré aux sorties 2012.
Oui, je sais par avance que j'aurai du mal le jour où je le verrai (enfin, où je commencerai à le voir). Le frères Podalydès, pour moi c'est comme Matthieu Amalric, dès que je les vois, j'ai une envie irrésistible de sommeil - Tournée, ah la la, heureusement que je ne suis pas allé le voir au cinéma, je n'aurais peut-être même pas eu le courage de me lever de mon siège... ennui colossal ; exception : Le scaphandre et le papillon, il faut vraiment un réalisateur de talent pour en venir à bout ; c'est aussi vrai pour les Frères Larrieu, et donc frères Larrieu + Amalric = Les derniers jours du monde... de quoi ça parlait, ça ? Je dois être allergique à ce type de cinéma. On a tous nos limites... | |
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| Sujet: Re: Bruno Podalydès | |
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| | | | Bruno Podalydès | |
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