USA : go west !

eXPie a écrit:

Ecoutons maintenant Scott McKenzie, lors du fameux concert de 1967 à Monterey, où nous étions peu de temps avant :

notre radio local n'arrête plus de jouer cette chanson.. et je me suis posée la question s'ils ont suivi le voyage d'eXPie...
mais non, Scott McKenzie est décédé le samedi, 18/08/2012

Déjà le voyage d'Expie à remué beaucoup de souvenirs, maintenant une des icônes qui disparait...
Du coup, j'ai un peu ce feeling:

eXPie a écrit:

Nous sommes au sol, maintenant.
Ouf.
L'appel d'air du canyon crée des turbulences... et se pencher à droite et à gauche pour photographier, ça n'est pas toujours très bon.
Il arrive que les vols soient annulés quand les vents sont trop violents.



"Les amateurs de randonnées doivent prévoir au moins deux jours pour descendre au fond des gorges" (Guide Bleu). Je ne l'ai pas fait... mais d'après ce que j'ai cru comprendre les deux journées ne sont pas tant pour descendre que pour remonter...

Réellement fabuleuses ces prises de vue, Bravo Expie!

Je t'admire d'autant que lors de notre expérience de survol du Grand Canyon (en mars 97) il m'était impossible de regarder au travers du hublot. Je n'ai pourtant pas souvent peur en avion, mais là les turbulences étaient si fortes que j'ai bien cru notre dernère heure arriver. On se sentait aspirés vers le bas puis subitement projetés par les masses d'air chaudes. Alors les photos...

Tout comme Igor, après avoir relu la dernière partie de ton reportage, j'ai un vague sentiment de plaisir et de nostalgie mêlés qui me prend à rebours, et c'est plutôt agréable...Ta photo du lonesome boy perdu dans la grande ville est terrible Igor!

Merci encore, c'était magnigfique tout ça

Vraiment sympa le reportage, tes photos d'Arizona et d'Utah tombent à point nommé pour illustrer ma toute dernière lecture, Journal des canyons, d'Arnaud Devillard (éditions Le mot et le reste).

Citation :

Sur les traces de l’écrivain et écologiste américain Edward Abbey, Arnaud Devillard chronique au jour le jour son périple aux États-Unis. Mais les paysages qu’il découvre ne sont pas exactement les espaces presque vierges des années soixante… Entre les descriptions tragi-comiques du trajet le long de la route 66 au mythe terni depuis longtemps et ses errances sur les parkings immenses des grands parcs, Arnaud Devillard nous livre mille anecdotes sur Abbey, l’histoire des États-Unis, la musique et les films américains. Journal des canyons est un récit de voyage plein d’humour et d’autodérision, drôle et rafraîchissant, qui prend à contre-pied les figures imposées du road movie et aborde la question de l’écologie avec le sourire.

Pour poursuivre ton périple en livres et peut-être y retrouver des impressions communes, je te le recommande, l'auteur nous fait partager aussi bien son émerveillement face à la beauté des sites que son effarement devant l'exploitation touristique à outrance des National Parks. Et surtout, il faut lire les oeuvres d'Edward Abbey (Désert Solitaire, Le gang de la clé à molette, Un fou ordinaire), grand amoureux du désert et pourfendeur en chef du Lake Powell.

nezumi a écrit:

Vraiment sympa le reportage, tes photos d'Arizona et d'Utah tombent à point nommé pour illustrer ma toute dernière lecture, Journal des canyons, d'Arnaud Devillard (éditions Le mot et le reste).

Citation :

Sur les traces de l’écrivain et écologiste américain Edward Abbey, Arnaud Devillard chronique au jour le jour son périple aux États-Unis. Mais les paysages qu’il découvre ne sont pas exactement les espaces presque vierges des années soixante… Entre les descriptions tragi-comiques du trajet le long de la route 66 au mythe terni depuis longtemps et ses errances sur les parkings immenses des grands parcs, Arnaud Devillard nous livre mille anecdotes sur Abbey, l’histoire des États-Unis, la musique et les films américains. Journal des canyons est un récit de voyage plein d’humour et d’autodérision, drôle et rafraîchissant, qui prend à contre-pied les figures imposées du road movie et aborde la question de l’écologie avec le sourire.

Pour poursuivre ton périple en livres et peut-être y retrouver des impressions communes, je te le recommande, l'auteur nous fait partager aussi bien son émerveillement face à la beauté des sites que son effarement devant l'exploitation touristique à outrance des National Parks. Et surtout, il faut lire les oeuvres d'Edward Abbey (Désert Solitaire, Le gang de la clé à molette, Un fou ordinaire), grand amoureux du désert et pourfendeur en chef du Lake Powell.

ça a l'air bien toutes ces lectures. Merci Nezumi.