Que lisez-vous en Août 2012?

Affliction de Russell Banks.

Harelde a écrit:

Bon Rétablissement de Marie-Sabine Roger. Auteure qui, décidémment, me plait beaucoup !

J'ai beaucoup aimé ses romans précédents! L'humour et l'humanité qui caractérisent son oeuvre.

silou a écrit:

Couleur de terre de Philippe Jaccotet

A déguster tout tranquillement...

Après Les Mystères de Yoshiwara (Matsui Kesako ; pas mal), j'ai commencé Le Peuple genévrier (petits textes de Juhani Aho).

Harelde a écrit:

Bon Rétablissement de Marie-Sabine Roger. Auteure qui, décidémment, me plait beaucoup !

J'aime aussi énormément ses livres. Je n'ai pas encore lu celui -ci. Tu peux en dire quelques mots?

Qui a parlé récemment d'un policier qui faisait une référence à Wallander??? J'avais noté la référence et je l'ai perdue!

topocl a écrit:

Qui a parlé récemment d'un policier qui faisait une référence à Wallander??? J'avais noté la référence et je l'ai perdue!

Nezumi et Igor sur le fil de Lönnaeus?

Madame B. a écrit:

Harelde a écrit:

Bon Rétablissement de Marie-Sabine Roger. Auteure qui, décidémment, me plait beaucoup !

J'aime aussi énormément ses livres. Je n'ai pas encore lu celui -ci. Tu peux en dire quelques mots?

Livre terminé hier soir (lu dans la journée).
Commentaire à suivre dans la matinée.


J'enchaine avec La Douce empoisonneuse, le premier livre de Arto Paasilinna a me passer entre les mains. Ca se fête !

"Le roi n'a pas sommeil" de Cécile COULON

Un "Idées noires" et de vieux "Gaston Lagaffe" de FRANQUIN que j'ai retrouvés et que je déguste lentement avant de m'endormir.

Exini a écrit:

"Le roi n'a pas sommeil" de Cécile COULON

Je lis actuellement L'enfant bleu. C'est tellement fort que je suis obligée de le lire par passages courts (un chapitre à la fois) pour les digérer au fur et à mesure. J'aime vraiment la sensibilité de cet auteur.

kenavo a écrit:

topocl a écrit:

Qui a parlé récemment d'un policier qui faisait une référence à Wallander??? J'avais noté la référence et je l'ai perdue!

Nezumi et Igor sur le fil de Lönnaeus?

Merci Kenavo, notre mémoire à tous!

j'ai fini'' soufi mon amour'' ( presque 500 pages en deux jours ) . Il fait partie de ces livres qui quand on le finit , on voit le mode autrement. Je ne sais pas si c'est parce que je suis moi-même très proche du courant soufi mais je crois qu'il est par delà l'appartenance religieuse puisqu'il parle d'une transcendance universelle . Au niveau de l'écriture techniquement parlant , il y a certes des maladresses mais je suppose qu'en turc cela doit être tout simplement magique. Même traduit et donc trahi ce roman est marquant. L'auteure nous y ballote entre un temps révolu et un temps moderne puisqu'américain tout en nous faisant découvrir l'éternel humain. Ella l'héroïne est d'une fadeur mortelle et on se demande ce qu'une américaine même pas branchée , trompée, banale peut avoir avec une figure aussi originale que celle d'un Rûmi ou d'un Chams de Tabriz. L'auteure relève le défi de trouver beaucoup de liens. Tout comme Shams fait découvrir à Rumi épris d'érudition et de livres morts le sens de l'amour de Dieu, un roman ( dans le roman) apprend à Ella ( même son prénom fait penser à la banalité d'être elle, une elle comme il y en a des milliards) éprise de recettes de cuisine le sens de l'existence ...Dépaysé au début par ce va et viens entre deux mondes antinomiques on découvre des ressemblances frappantes entre les personnages d'hier , d'aujourdhui et de demain. L'amour y est si bien cerné qu'il a raison de toutes les tristesses même de la mort ..mmmm ! adorable parfum d'Orient.
Magnifique sensibilité. Je vous le recommande vivement ...

Sous un ciel qui s'écaille de Goran Petrovic

Happy Fanny a écrit:

j'ai fini'' soufi mon amour'' ( presque 500 pages en deux jours ) . Il fait partie de ces livres qui quand on le finit , on voit le mode autrement. Je ne sais pas si c'est parce que je suis moi-même très proche du courant soufi mais je crois qu'il est par delà l'appartenance religieuse puisqu'il parle d'une transcendance universelle . Au niveau de l'écriture techniquement parlant , il y a certes des maladresses mais je suppose qu'en turc cela doit être tout simplement magique. Même traduit et donc trahi ce roman est marquant. L'auteure nous y ballote entre un temps révolu et un temps moderne puisqu'américain tout en nous faisant découvrir l'éternel humain. Ella l'héroïne est d'une fadeur mortelle et on se demande ce qu'une américaine même pas branchée , trompée, banale peut avoir avec une figure aussi originale que celle d'un Rûmi ou d'un Chams de Tabriz. L'auteure relève le défi de trouver beaucoup de liens. Tout comme Shams fait découvrir à Rumi épris d'érudition et de livres morts le sens de l'amour de Dieu, un roman ( dans le roman) apprend à Ella ( même son prénom fait penser à la banalité d'être elle, une elle comme il y en a des milliards) éprise de recettes de cuisine le sens de l'existence ...Dépaysé au début par ce va et viens entre deux mondes antinomiques on découvre des ressemblances frappantes entre les personnages d'hier , d'aujourdhui et de demain. L'amour y est si bien cerné qu'il a raison de toutes les tristesses même de la mort ..mmmm ! adorable parfum d'Orient.
Magnifique sensibilité. Je vous le recommande vivement ...

Bon ! Et c' est de qui ?