Nos lectures de mars 2013

topocl a écrit:

j'y reviens puisque tu relance le sujet Queenie, j'ai du mal avec cette comparaison, qaund même Irving est beaucoup plus inventif, parfais à al limite du délire créatif, impossible de lire un livre de lui sans le reconnaitre avec ses ours et ses enfants chabraques (même si j'apprécie beaucoup Udall, il est quand même plus "classique")

Oui, il est beaucoup plus classique, mais dans le genre enfant chabraque Edgar Mint n'est pas mal, et son destin hors du commun aussi. C'est ça qui m'a fait penser à Irving (Owen Meany, et aussi un souvenir analogue dans 'The Cider House Rules') entre autres.

Des larmes sous la pluie de Rosa Montero

coline a écrit:

Kannskia a écrit:

La Bête humaine de Zola.
J'ai manqué de me décrocher la mâchoire sur les 30 premières pages mais là, ça décolle.

C'est pas drôle, ça fait mal de bailler aussi fort

Sullien a écrit:

Kannskia a écrit:

La Bête humaine de Zola.
J'ai manqué de me décrocher la mâchoire sur les 30 premières pages mais là, ça décolle.

Même impression que toi quand je l'avais lu. Malheureusement, elle ne m'a pas quitté, contrairement à toi.

En fait, c'est le personnage de Jacques, le conducteur de la locomotive Lison, qui a attisé mon intérêt. Je crains qu'au moment où il s'effacera pour laisser la place à d'autres personnages, l'ennui revienne... Je ne vais pas tarder à le savoir, j'y retourne.

Alamut de Vladimir Bartol. Ca fait déjà froid dans le dos.

après ma lecture enchantée de Catalin Dorian Florescu, je vais continuer avec un autre de lui: Jacob beschliesst zu lieben ou Le turbulent destin de Jacob Obertin comme il va s'appeler dans la version française qui va paraître dans quelques jours

auteur qui pourrait plaire à Traversay et tous les parfumés qui aiment le talent des "fabulateurs" des pays de l'Est

Une pose du coté de l’Amazonie pour suivre Deon Meyer "A la trace"
Un gros livre qui offre l'avantage d'être écrit avec de gros caractères

Toujours en apnée à l'ombre du vent. Mes joues s'empourprent.

domreader a écrit:

topocl a écrit:

j'y reviens puisque tu relance le sujet Queenie, j'ai du mal avec cette comparaison, qaund même Irving est beaucoup plus inventif, parfais à al limite du délire créatif, impossible de lire un livre de lui sans le reconnaitre avec ses ours et ses enfants chabraques (même si j'apprécie beaucoup Udall, il est quand même plus "classique")

Oui, il est beaucoup plus classique, mais dans le genre enfant chabraque Edgar Mint n'est pas mal, et son destin hors du commun aussi. C'est ça qui m'a fait penser à Irving (Owen Meany, et aussi un souvenir analogue dans 'The Cider House Rules') entre autres.

Ok, je le note!

je n'aurais pas tant de livres en attente, je me referais bien un petit Irving! Qui sait?

kenavo a écrit:

après ma lecture enchantée de Catalin Dorian Florescu, je vais continuer avec un autre de lui: Jacob beschliesst zu lieben ou Le turbulent destin de Jacob Obertin comme il va s'appeler dans la version française qui va paraître dans quelques jours

auteur qui pourrait plaire à Traversay et tous les parfumés qui aiment le talent des "fabulateurs" des pays de l'Est

Ah, NON ! Catalin Dorian Florescu est un écrivain suisse allemand. Il a toujours écrit en allemand. Ce n'est pas parce qu'il est né dans un pays de l'est (en Roumanie où vit / a vécu une minorité allemande) qu'il en porte les " talents " dans ses gênes.

topocl a écrit:

je n'aurais pas tant de livres en attente, je me referais bien un petit Irving! Qui sait?

Moi aussi !

Maline a écrit:

kenavo a écrit:

auteur qui pourrait plaire à Traversay et tous les parfumés qui aiment le talent des "fabulateurs" des pays de l'Est

Ah, NON ! Catalin Dorian Florescu est un écrivain suisse allemand. Il a toujours écrit en allemand. Ce n'est pas parce qu'il est né dans un pays de l'est (en Roumanie où vit / a vécu une minorité allemande) qu'il en porte les " talents " dans ses gênes.

je te comprends très bien que tu veux défendre les couleurs helvétiques, mais je suis navrée, parmi tous les auteurs suisse que j'ai lu, il n'y a jusqu'à présent personne qui est capable d'une pareille "mélodie"
tout comme Melinda Nadj Abonji p.ex., il doit y avoir quand même un truc avec les gênes

Au-delà des "gênes",dans le biographie de Kenavo, il aurait quitté la Roumanie pour la Suisse à 15 ans.... Cela en fait des années.

Maline a écrit:

kenavo a écrit:

après ma lecture enchantée de Catalin Dorian Florescu, je vais continuer avec un autre de lui: Jacob beschliesst zu lieben ou Le turbulent destin de Jacob Obertin comme il va s'appeler dans la version française qui va paraître dans quelques jours

auteur qui pourrait plaire à Traversay et tous les parfumés qui aiment le talent des "fabulateurs" des pays de l'Est

Ah, NON ! Catalin Dorian Florescu est un écrivain suisse allemand. Il a toujours écrit en allemand. Ce n'est pas parce qu'il est né dans un pays de l'est (en Roumanie où vit / a vécu une minorité allemande) qu'il en porte les " talents " dans ses gênes.

Et bien moi, je vais vous en présenter un autre de suisse allemand, Adolf Muschg, et c' est peu dire que je l' ai aimé !

J'ai terminé A l'ombre des jeunes filles en fleur et je ne sais pas quoi lire à présent (ne me dites pas Du côté de Guermantes, je suis trop fatiguée pour continuer avec Proust, j'aime beaucoup mais il faut avouer que c'est assez éprouvant comme lecture ...)