Kif du jour

On attend les premières impressions demain matin.

A l'aube !!

 

églantine a écrit:

      
Un cadeau inattendu que je viens de trouver , il y a cinq minutes , emballé  grossièrement dans un papier" kraft " sous de la vaisselle rendue par un proche !!!!!

Et il s'agit de ............ CONFITEOR  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
[...]Je crois que je ne vais pas pouvoir en dormir de la nuit !!!!

 

c'est en remerciement d'une confiture, d'un gâteau ...................?  

Bédoulène a écrit:

c'est en remerciement  d'une confiture, d'un gâteau ...................?   

Oui Bédou ...... 
Ce que je faisais de façon professionnelle il ya quelques temps , je le fais pour faire plaisir à mes amis !!!

Je viens de découvrir un auteur dont ce matin encore j'ignorais même le nom :
Une belle lecture et introduction avec Ingo Schulze (un auteur allemand qui a un moment donné a intéressé Madame B., tom léo, et quelques autres) qui présente un auteur allemand peu connu chez lui (et pas traduit en français), Ludwig Greve (1924-1991). Pourtant Ludwig Greve - écrivain, poète, épistolaire et bibliothécaire - a été pendant plus de 30 ans un des responsables des archives de la littérature allemande à Marbach.

Comme sa famille faisait partie de la bourgeoisie juive de Berlin, Ludwig Greve a connu l'exil dès son jeune âge en France comme en Italie et finalement en Palestine. Dès 18 ans il s'engage dans la résistance sous le nom de guerre Louis Gabier. Si lui-même et sa mère échappent au sort des juifs allemands, son père et sa jeune sœur vont être gazés à Auschwitz. Sa vie d'errance lui permet aussi de parler plus de quatre langues et donc à se poser l'éternelle question des cosmopolites, dans quelle langue on est vraiment chez soi.

Je sens que cet hiver je vais faire plus ample connaissance avec Ludwig Greve.

Ecouter du jazz dans la salle immense de la philharmonie de Berlin, en occurrence deux heures et demie de pure bonheur : Jan Garbarek et ses acolytes comme Rainer Brüninghaus au piano et au keyboard, Manu Katché à la batterie, et j'ai oublié le nom du joueur de la guitare.

Un exemple du son de Jan Garbarek et de son groupe:

Maline a écrit:

Ecouter du jazz dans la salle immense de la philharmonie de Berlin, en occurrence deux heures et demie de pure bonheur : Jan Garbarek et ses acolytes comme Rainer Brüninghaus au piano et au keyboard, Manu Katché à la batterie, et j'ai oublié le nom du joueur de la guitare.

peut-être Eberhard Weber?
Veinarde en tout cas... et il a même son fil

kenavo a écrit:

Maline a écrit:

... et j'ai oublié le nom du joueur de la guitare.

peut-être Eberhard Weber?

Non, je ne pense pas que c'était Eberhard Weber qui est plutôt contrebassiste et, surtout, dont la chevelure contraste fortement(!) avec celle du guitariste d'hier soir. Mais je vais demander à l'amie qui m'avait proposé de l'accompagner au concert si elle connait son nom.

Bill Frisell peut être

Je sors du thème. Relativement à mes études, j'ai pris une décision de raccourcir la charge de mes cours suivis (2 cours plutôt que 3). J'ai abandonné Littérature et géographie. Je vis actuellement cette décision comme une libération. Je considère avoir cheminé dans mes réflexions quant à ce que je préconise comme études de deuxième cycle. «Littérature et géographie» est centrée sur la géographie et comme la littérature repose secondairement et en priorité sur le genre spécifique du récit de voyage, je trouvais que cette perspective était assez entravée d'un point de vue quant à la liberté poétique. Je priorise la poésie plutôt que le genre littéraire en tant que tel. Je n'aime pas ressentir les limites du fait de devoir se cantonner à un genre littéraire précis et à une façon de percevoir qui soit «restrictive». Je trouvais que les lectures étaient fort fournies et se prêtaient mal à une liberté académique qui laisse une créativité s'exprimer quant au cadre d'analyse adopté.

Maline, ton enthousiasme me fait dire que puisque cet auteur parle Français, il aurait pu, du être traduit en France !  

JHB, tu es maître de tes choix !

Et ceux qui n'écrivent pas leur kif du jour tous les jours, c'est pour quelle raison : parce que ces kifs sont minables ou inexistants ? (ou trop personnels ?)

colimasson a écrit:

Et ceux qui n'écrivent pas leur kif du jour tous les jours, c'est pour quelle raison : parce que ces kifs sont minables ou inexistants ? (ou trop personnels ?)

Parce qu'on a pas de kif tous les jours, et que trop de kifs tue les kifs.

Perso cela fait quelque temps que je n'ai pas eu un kif notable... C'est une question de cycle je suppose.

le bazar collectif ! (et la lecture en cours mais ça....)