kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Miguel Duplan Sam 9 Oct 2010 - 19:33 | |
| Miguel Duplan est né en 1963 à La Martinique, où il vit aujourd’hui après avoir passé vingt-cinq ans en Guyane française. Il travaille dans le monde enseignant. Il est l’auteur de L’Acier (Prix Carbet de la Caraïbe 2007, L’Harmattan) et Le Discours profane (Éditions des Équateurs, 2008). source: RadioSun | |
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kenavo Zen Littéraire
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| Sujet: Re: Miguel Duplan Sam 9 Oct 2010 - 19:33 | |
| Un long silence de carnaval - Citation :
- Présentation de l'éditeur
« Cayenne en ce début de millénaire ressemblait à toutes mes envies... » Flic quelconque, uniforme bleu-pâle-bleu-foncé, Jean-Baptiste Simonin, dont la voix s'essouffle sur les chemins chaotiques de la ville, est en rupture, comme détaché de tout. Sa double vie part à vau-l'eau, son supérieur le méprise et ses collègues l'indiffèrent. Seule la litanie d'un poète toxico chante avec lyrisme l'idéal qui manque à son existence. « Un long silence de carnaval » raconte avec fulgurance l'ordinaire d'une vie inapaisée. Quelle lecture étrange.. et quel exercice de donner une idée de ma lecture. J'ai déjà commencé 4 fois, d'abord je voulais dire que je suis restée tout à fait en dehors de ce livre.. mais ce n'est pas vrai à 100% je voulais dire que je ne comprenais pas où l'auteur voulait m'amener, mais ce n'est pas le cas non plus Finalement le mieux sera si je vais dire que cette écriture est bonne, qu'il sait de quoi il parle, mais j'étais quand même par moment pas accessible à ses idées et du coup cela me laisse un goût de "demie-lecture", j'ai compris les mots, j'ai eu plaisir à les lire, je pense que j'ai trouvé son idée derrière tout cela.. mais, navrée, pas plus d'émotions de ma part Et puisque ce n'est probablement que moi, voilà une critique qui en dit du mieux « Dans sa description de Jean-Baptiste Simonin, flic martiniquais émigré en Guyane et sale type pathétique, qui traite aussi mal ses collègues et ses concitoyens que ses femmes, Miguel Duplan, l'auteur de ce court et fiévreux roman, réussit à nous faire sentir le potentiel de poésie et de drôlerie de l'indigne et du minable ; il fait aussi un magnifique portrait du Cayenne des années 2000. » Natalie Levisalles,Libération | |
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