Drôles d'oiseaux

chrisdusud a écrit:

Je vous invite à voir le blog de mon fils, 13 ans, passionné par les rapaces :

félicitations pour son travail

kenavo a écrit:

chrisdusud a écrit:

Je vous invite à voir le blog de mon fils, 13 ans, passionné par les rapaces :

félicitations pour son travail

Merci Kénavo .

Oui, bon !

Mais si on l' accuse l' aigle de bouffer du singe, faudra le prouver !

Je vais aller voir...

PS. Je suis en panne de smileys !
Il y a un rookit qui m' a sauvagement attaqué, je ne sais pas si ça a un rapport...
Mais ce n' est pas un vrai animal le rookit, autrement j' aurais déjà négocié, pensez, mais un rookit c' est une bète informatique, alors
il n' y a qu' Animal qui pourrait le combattre !

chrisdusud a écrit:

Je vous invite à voir le blog de mon fils, 13 ans, passionné par les rapaces :

J'y suis allée faire un petit tour mais j'y reviendrai sûrement. Bravo pour tout ce travail!


Moi aussi, les rapaces me fascinent.

Nezumi a écrit:

chrisdusud a écrit:

Je vous invite à voir le blog de mon fils, 13 ans, passionné par les rapaces :

J'y suis allée faire un petit tour mais j'y reviendrai sûrement. Bravo pour tout ce travail!


Moi aussi, les rapaces me fascinent.

Moi aussi je dis bravo.

bix229 a écrit:

Mais si on l' accuse l' aigle de bouffer du singe, faudra le prouver !

il a bien des collègues qui tournent au lapin alors...



peut-être falloir penser à munir le singe d'un parapluie...

Merci pour vos visites ! Mon fils passe son temps la tête en l'air à scruter le ciel ...

D' accord, je me rends à l' évidence !
L' aigle des singes mange des singes, mais c' est parce qu' il a faim,
et non par crauté et il est menacé de mort puisque les forets des
Philipines sont abattues...

Aigles des singes et pandas, meme combat !

Les étourneaux sont partis voilà y reste plus que les oiseaux qui passent l'hiver dont les corneilles. Dans le journal de hier il y avait un article qui parle des corneilles qui sont beaucoup trop nombreuse dans la région, et les experts cherche une solution pour s'en débarrasser.

Les oiseaux se préparent à l' hiver et ils agissent en conséquence.

Ce matin j' ai vu les plus gros d' entre eux : pies, geais et un pivert
qui fouillaient activement la terre pour se procurer des protéines.
Retour des mésanges qui sont de grosses mangeuses. Elles ont
commencé à picorer les coings que j' ai suspendu aux branches...

Mais ce qui m' a fait le plus plaisir, c' est de voir un rouge-gorge...
Celui qui avait son territoire près de ma maison,ous l' avons trouvé mort un jour et ça m' avait chagriné. J' étaishabitué à sa présence...
Je pense, j' espère que celui que j' ai vu va le remplacer.

J'adore les estampes.. pas trop concernant insectes ou oiseaux.. mais - faut dire les images sont vraiment très jolies


Utamaro Kitagawa, Deux albums d'estampes - insectes choisis, myriades d'oiseaux

Citation :

Dans un précieux coffret à fermeture japonaise sont reproduites en fac-similé les estampes originales de deux albums d’Utamaro qui nous éblouissent encore par la fraîcheur de leurs coloris.

Le peintre Utamaro, célèbre pour ses merveilleuses estampes de courtisanes des quartiers de plaisir, publia entre 1788 et 1791 une trilogie consacrée au règne animal, dont les deux pièces maîtresses sont l’Album des insectes choisis et le Concours de poèmes des myriades d'oiseaux. Par la délicatesse du dessin et le raffinement de la gravure, ces deux luxueux albums sont considérés comme les chefs-d’œuvre inégalés de l’estampe polychrome japonaise. Edmond de Goncourt les tenait pour les meilleures réalisations d’Utamaro et en loua, dans sa biographie de l’artiste, la « perfection miraculeuse des impressions ».
Chaque album est accompagné d’une trentaine de kyôka, ces poèmes burlesques de cinq vers, à la mode dans les salons littéraires d’Edo à la fin du XVIIIe siècle. Ces épigrammes, truffés de calembours et d’allusions, sont autant d’exercices de style dans lesquels une cinquantaine de poètes, célèbres ou inconnus, rivalisent pour décrire leurs sentiments envers des courtisanes, tout en mettant en scène insectes et oiseaux. Ce fac-similé reproduit, au format des originaux, les deux albums ayant appartenu au couturier et mécène Jacques Doucet et qui passent pour les plus beaux tirages connus de ces ouvrages. Ils sont aujourd’hui conservés à la bibliothèque de l’Institut national d'histoire de l'art.

faites-vous le plaisir de le feuilleter: l'éditeur donne l'opportunité ici

Merci Kena !

Je connais Utamaro et j' aime beaucoup et aussi Hokusai, Kunisada, Kuniyoshi et quelques autres.
La précision dans le rafinement ...

J'ai répéré un autre livre qui pourrait plaire aux amateurs de ce fil


Fabienne Raphoz (Auteur), Ianna Andréadis (Dessins) ,
L'aile bleue des contes : L'oiseau

Citation :

Présentation de l'éditeur
Cent un contes et mythes de tradition orale de tous les continents sont ici donnés (ou traduits) et commentés qui, tous, illustrent la fascinante figure de l'oiseau, lequel réalise l'image première dont parle Bachelard : " celle que nous vivons dans les sommeils profonds de notre jeunesse ". L'anthologie est divisée en deux grandes parties : les contes d'oiseaux et l' oiseau des contes. De la première, consacrée aux contes d'animaux proprement dits et aux mythes des Nations Premières, il semblerait ressortir que le gouffre n'est plus si grand entre l'occident des contes et les sociétés totémiques (aborigènes) ou animistes (amérindiennes) telles que les a définies Philippe Descola, dans la mesure où les contes d'oiseaux témoignent d'une certaine forme de continuité entre l'homme et son environnement. Dans la deuxième, l'oiseau, tour à tour héros, aide, plus rarement, adversaire, intervient dans toutes les fonctions du conte merveilleux. Les plus séduisants sont les mieux connus, ce sont les oiseaux fabuleux, oiseaux d'or ou de feu ; ce sont aussi les moins typiquement oiseaux d'entre eux, ces humains métamorphosés, princes aux ailes bleues, femmes-cygnes, frères corbeaux... Les notes portent sur la structure du conte lui-même et ses variantes et sur l'oiseau en tant qu'espèce lorsque les commentaires ornithologiques s'imposent. Tous les oiseaux de ces histoires sont aussi présents par l'image. Soixante-dix d'entre eux ont été spécialement dessinés par l'artiste Ianna Andréadis tandis que le cahier central et le dossier complémentaire poursuivent les portraits et les analogies. L'anthologie est suivie d'une postface : L'oiseau monde, une omniprésence ; elle comporte trois index (oiseaux, animaux, pays) et la liste typologique des contes du volume.

Ou celui-là !

Le rouge-gorge, toujours solitaire....jamais en bande, comme les autres, on se demande comment ils se reproduisent.
Les merles vont souvent en couple, on reconnaît la femelle, moins noire...les pies par deux aussi, les moineaux... par tribus, mais le rouge-gorge ne dévoile pas son intimité.
En ce moment, il fait froid et il pleut beaucoup ici, et le rouge-gorge est le seul qui continue à prendre son bain dans sa piscine. (qui se remplit toute seule...d'eau de pluie) Et il mange quand tous les autres sont partis. Toujours tout seul.
Bix, tu sais quelque chose sur la solitude de cet oiseau?